Pour devenir un leader, il y a des qualités à développer en soi-même, et des actes à poser pour faire rayonner ces qualités. Cet article répondra à ces deux questions :
- Quelles sont les qualités à développer pour devenir un leader ?
- Quels sont les actes à poser pour devenir un leader ?
Nous examinerons ces réponses à travers les 4 énergies de notre modèle de leadership : Terre, Eau, Air, Feu
Devenir un leader avec les 4 éléments
Les 4 éléments correspondent aux 4 énergies de la vie :
- L’élément Terre correspond à l’énergie solide : Cette symbolique renvoie aux méthodes, à la structuration, à la manière de poser et manager le cadre, à la manière de « contractualiser » et de battre la cadence pour donner du rythme
- L’élément Eau correspond à l’énergie liquide : Cette symbolique renvoie à la relation, à la confiance, à la qualité de présence, d’accueil et d’écoute, à la cohésion, à l’unité des groupes
- L’élément Air correspond à l’énergie gazeuse : Cette symbolique renvoie à l’inspiration, à la vision, aux idées, à l’innovation, à la créativité, à la capacité d’embarquer et d’enthousiasmer
- L’élément Feu correspond à l’énergie ignée : Cette symbolique renvoie à la responsabilité de la décision et l’action, au progrès et aux résultats, à la capacité de montrer l’exemple pour mettre en mouvement end e terminer les gestes pour accompagner les transformations jusqu’à leur terme
Leader complet ou leader spécialisé ?
Un grand leader peut avoir développé à un haut niveau les qualités qui correspondent aux 4 éléments. Dans ce cas, il est très complet et très développé. Mais un grand leader peut également avoir développé une spécialité dans une ou deux énergies, au détriment des autres. Cela ne fait pas de lui quelqu’un de complet, mais c’est également parfait. Et il peut tirer toute sa puissance d’une seule énergie ou de deux.
Pour le reste, il devra bien s’entourer pour réunir autour de ses projets les compétences qui lui manquent. Il exercera un leadership très fort à partir de ce qu’il est et encouragera le leadership d’autres partenaires, associés, collaborateurs aux endroits où il n’est pas positionné naturellement.
A défaut de faire cela, on dira d’un tel leader : « C’est dommage, il est super, mais il n’est pas ceci ou cela, et cela nous fait terriblement défaut… » comme si on devait attendre toutes les qualités de la même personne. Vous l’aurez compris, une des grandes qualités de leader, perpendiculaire aux 4 énergies, est d’encourager le développement des qualités de leadership des autres, notamment en complémentarité avec les siennes propres.
Devenir un leader de Terre
Pour développer cette forme de leadership, vous devrez devenir le « référent » stable et solide, qui rassure pas sa maîtrise et son calme (un peu comme « l’église au milieu du village » qui donne l’heure éloigne la foudre, quoi qu’il arrive). La maîtrise dont on parle, c’est certes la maîtrise de soi, mais c’est aussi la maîtrise du métier, des compétences techniques et des dossiers. Cela s’obtient par le croisement du don et de l’expérience (ou le travail). Le leader de Terre détient une double compétence de spécialiste (expérimenté dans chaque domaine) et de généraliste (la vue d’ensemble et des combinaisons).
Mais le leader de Terre n’est pas un technicien, ni un expert, c’est d’abord quelqu’un qui donne de la structure en posant le cadre. Il définit explicitement les résultats attendus, et transmet des consignes précises sur ses exigences. Sous cette rigueur, il y a des fondations solides.
Quelles sont elles ces fondations ? C’est un regard positif, qui consolide les appuis de chacun. Cette aptitude à voir le positif avant le négatif, en général à travers une forme d’optimisme, et en particulier chez chacun dans une approche valorisante, est ce que nous travaillons en premier dans nos séminaires de leadership positif :
Ces outils et les exercices qui les mettent en mains, développent les deux dimensions : à la fois management et leadership,
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En savoir plusDevenir un leader d’Eau
Personne ne réussit jamais rien en restant seul dans son coin. Devenir un leader en passe nécessairement par une relation forte aux autres. Evidemment, un leader doit donc savoir bien s’entourer et déléguer. Mais avant cela, il doit déjà être capable de s’engager dans une relation profonde avec chacun. Ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir s’aventurer sous le niveau de surface du « bonjour, bonsoir ».
Aller au-delà du côté objectif, pour s’intéresser vraiment à l’autre tant que sujet de sa propre vie. Il ne s’agit pas d’indiscrétion ou d’ingérence dans la vie privée mais de capacité à se rendre disponible et accessible.
Etre capable de s’affirmer avec confiance en soi, mais aussi en reconnaissant sa vulnérabilité, donc en assumant ses émotions…
Devenir un leader d’Eau demande de développer sa maturité émotionnelle. Tout le monde n’a pas ce courage et cette vocation. Nous entraînons les participants à développer leur qualité de présence, ici et maintenant, dans la relation, en distinguant deux niveaux,
- celui de la conversation (en exerçant à maîtriser des techniques de communication comme la reformulation et les 4 niveaux de profondeur de l’écoute professionnelle),
- de celui de la relation (la capacité à être proche et « intime » sans confusion et sans promiscuité, à se reconnecter à la profondeur de soi-même, pour coacher en profondeur. Pour cela, il faut oser des relations authentiques)
A tout prendre, il vaudrait mieux établir des relations saines et fortes, mais avec une communication approximative, plutôt qu’une communication parfaite et des relations faibles ou délétères. Mais l’un n’empêchant pas l’autre, nous vous proposons de capitaliser sur des relations fortes et de les entretenir avec une communication professionnelle.
Devenir un leader d’Air
Un leader est quelqu’un qui pense en rupture et quelqu’un qui pense solutions, au lieu de rester dans le problème et dans les sillons pré-tracés de la médiocrité normale. Peser en rupture, think out of the box, c’est sortir de l’espace problème pour voir des solutions là où les autres ne regardent pas.
Nous entraînons les participants à recourir au feedforward, qui est un outil puissant pour décoller la pulpe et battre en brèche les idées reçues. Penser solutions c’est être capable de :
- proposer un questionnement orienté solutions : privilégier des questions qui font réfléchir, plutôt que des questions qui invitent à décrire ce que l’interlocuteur sait déjà et qui ne créent donc pas de valeur pour lui. Offrir des questions sur les solutions, sur le futur et sur l’action, plutôt que des questions sur le problème, le passé et la compréhension)
- ne pas se laisser ensevelir par le problème et l’exposé interminable de la complexité des contraintes liées au contexte….Il faut une bonne relation de confiance et la maîtrise de la position basse pour déstabiliser l’interlocuteur et lui proposer des raccourcis. Ce n’est pas si facile à faire, si on veut éviter de le bloquer ou de le braquer. Clairement : devenir un leader d’Air ce n’est pas être un expert qui donne des conseils, c’est être un agitateur qui stimule la réflexion out of the box vers des éléments de solutions. Donc pas besoin de s’enfoncer dans l’espace problème pour ça.
Un leader Air est aussi un visionnaire, qui transmet son enthousiasme, en étant capable de co-construire un vision partagée à partir des rêves des autres qui rejoignent le sien. Un leader Air n’a pas besoin d’être lui-même un créatif au sens des artistes qui savent exprimer leur imagination à travers l’art. Il lui suffit d’être ingénieux et de savoir confectionner, en bricoleur, des schémas qui l’aident à se faire comprendre.
Il peut recourir à des métaphores et des illustrations pour mettre les autres sur la piste d’une vision commune. Il saura aussi pour lui-même en tous cas, recourir au pouvoir de la visualisation positive, afin de permettre à se s rêves de se réaliser.
Devenir un leader de Feu
Un leader de Feu cultive un regard positif sur les potentiels de ceux qui l’entourent, un regard de feu… Un soleil rayonne gratuitement, parce que c’est a nature, pas « pour » faire plaisir ou pour se rendre intéressant. Le soleil rayonne parce que c’est sa nature. Si cela plaît aux autres, tant mieux pour eux, cela relève de leur choix et de leur propre liberté que d’apprécier ce qu’ils veulent. Le leader de Feu fait ce qu’il a à faire, sans se soucier de son image ou de ce que les autres vont en penser…
Devenir un leader de feu, c’est lâcher prise sur le résultat, en reconnaissant qu’en définitive : personne n’a jamais aucune prise sur le résultat, lequel est de surcroît sans intérêt, puisque c’est une chose inerte. Ce qui compte c’est de se concentrer à chaque instant sur chaque action.
Ce qui compte vraiment pour ce leader, c’est de progresser et de transformer positivement son environnement et ses équipes ! Nous faisons faire un petit exercice sympa qui s’appelle « lâcher prise et concentration » qui permet de se focaliser à fond sur l’action en réduisant les parasites de la pression du résultat.
C’est ainsi qu’entre performance ou excellence, pour devenir un leader de Feu, il faut toujours choisir l’excellence. Pour devenir un leader de feu, il faut savoir prendre des risques et considérer toujours qu’il n’y a jamais rien à regretter. Les risques qu’il prend se ramènent en fait à un seul : prendre le risque de vivre, vivre dans l’instant présent, sans se raconter d’histoires, juste en mettant un pied l’un devant l’autre, car ce n’est que comme cela qu’on avance.
Une formation pour devenir un leader ?
Les études ne manquent plus aujourd’hui pour indiquer l’importance de l’orientation de l’énergie dans le développement des compétences et de la performance : effet pygmalion, prophéties auto-réalisatrices, avancées de la neuroscience, … Il est parfois difficile de conjuguer cette approche valorisante avec un contexte économique complexe, des enjeux de performance toujours croissants et la nécessité impérieuse que chacun tienne sa place dans des équipes resserrées. Un leader est donc confronté à de multiples défis.
Pour y réussir, en mettant toutes les chances de son côté, une attitude résolument positive est la première clé à acquérir : Aborder la vie et les relations avec les autres de façon résolument positive, reconnaître en chaque situation une opportunité, apprivoiser la chance pour qu’elle devienne votre meilleure alliée, adopter une approche solutions en toutes circonstances, rayonner auprès de ceux qui vous entourent … Tout ceci est avant tout une question de posture, qui ne va pas de soi! Cela procède d’un choix personnel, et nécessite la maîtrise de certaines pratiques très efficaces.
« Les 4 énergies du leader » est l’atelier central de notre offre. Car c’est justement celui qui vous propose de « challenger » vos croyances à propos du management et de votre rôle de pédagogue, développeur de talents. Vous en sortirez consolidés dans vos points forts, et enrichis de nouvelles pratiques qui transformeront positivement votre rapport aux autres. (voir : les 4 énergies du leader)
Dans nos séminaires pour devenir leader, nous enseignerons aux participants à développer les compétences suivantes :
- Développer personnellement un fort rayonnement positif :1.Apprécier les vertus du management positif et de l’orientation solutions et comprendre l’importance du rayonnement positif, en mesurer concrètement la plus-value2. S’entraîner à voir le positif en toute situation : comment faire une opportunité avec les contraintes qui se présentent. Apprendre à penser positif, à exprimer de l’optimisme, de l’enthousiasme, de la confiance. Et nous vous enseignerons des techniques pour réaliser cela au quotidien :
3. Se défaire de ce qui n’est pas soi et qui vous encombre et entrave le rayonnement positif naturel. Ceci relève d’un travail sur soi, pour justement « être soi-même » et cesser de vouloir ressembler à des modèles. 4- Faire face positivement aux plaintes et reproche
5- S’entraîner à favoriser “la chance” et l’émergence des opportunités Un leader imagine et partage une vision, souvent en rupture, qui nécessite de conduire une transformation du système. Contrairement au manager, à qui on demande de gérer l’existant et de se maintenir dans un budget pré-défini (c’est de la gestion des ressources dans un cadre donné), le leader bouscule les habitudes et vient apporter la contradiction, la remise en question, en vue d’un saut de performance en rupture avec le passé.
Pour devenir leader, il faut donc apprendre à conduire le changement et à influencer positivement les autres.
- Repérer les croyances limitantes d’une personne ou d’un groupe, pour leur permettre de sortir de l’espace problème et leur ouvrir de nouveaux horizons de solutions
- Découvrir des méthodes pour mobiliser vos équipes autour de challenges ambitieux. Donner du sens pour mettre en mouvement. Développer sa capacité à embarquer les autres et les inciter à mener les transformations jusqu’au bout
- Professionnaliser sa prise de parole, pour mieux entraîner et embarquer. L’art d’animer un débat :Outil phare des démarches participatives, le débat est entré partout dans nos vies : en famille lors des repas, à la télé, dans la vie politique, dans l’entreprise … Parfois, le débat fait peur, car on redoute qu’il n’en sorte rien de concret, car cela risque d’ouvrir la boîte de Pandore, car cela prend beaucoup de temps ! Pourtant, un débat technique bien conduit est une véritable pratique d’hygiène pour l’équipe et il est difficile d’en faire l’impasse quand on parle de dynamique d’équipe. Il permet pourtant de très nombreux effets positifs pour l’équipe :
- Il développe l’intelligence collective, par le partage de représentations sur des sujets importants, puis par la construction de solutions communes qui intègrent la valeur ajoutée de chacun
- Il renforce la coopération, la cohésion et la coordination sur des sujets techniques
- Il mobilise et engage fortement les participants, qui ont pu s’approprier la solution au fil du débat
- Il procure de la sécurité, en permettant de réduire les risques d’une mauvaise décision
- Poser le cadre et préciser les règles de fonctionnement
- A quoi sert de proposer un cadre explicite et clair ?
- A concentrer l’énergie de tous sur une cible identifiée (en augmenter l’impact et la profondeur à cet endroit et éviter les dispersions)
- A sécuriser le groupe en délimitant les périmètres de chacun
- A protéger l’équité (pour éviter d’éventuelles « dérives » et transgressions de règles allant à l’encontre de la justice au sein de l’équipe)
- A organiser le travail (se mettre d’accord sur des modes opératoires, des délais, des systèmes de coopération et sur un certain nombre de conventions qui offrent des permissions et restreignent l’accès à des impasses déjà repérées. Indiquer à chacun ses marges de manœuvre : espaces d’élaboration autonome)
- Savoir recadrer formuler un recadrage à un collaborateur, sans entrer dans le jeu des « reproches et justifications » ?Un recadrage consiste à proposer à l’autre une autre perspective, un point de vue différent qui cadre autrement la façon dont il voit les choses. C’ est un effet miroir qu’il est souvent nécessaire d’offrir, quand quelqu’un souffre à l’intérieur d’une situation qui ne lui convient pas, ou que c’est à vous qu’elle ne convient pas et que c’est vous-même qui en souffrez…Un recadrage est un rappel de conventions passées librement entre deux personnes responsables qui se sont liées par un contrat de délégation.Il s’agit d’une référence factuelle à l’accord initial, qui engage l’échange sur les solutions possibles, ne laissant aucune place à la justification.
- A quoi sert de proposer un cadre explicite et clair ?
- Donner sa confiance (Crédit d’Intention Positive)
- Reconnaître et gérer ses émotions, intégrer et tenir compte de celles des Collaborateurs
Devenir un leader en apprenant à utiliser ses émotions
Vos émotions sont le carburant de votre réussite. Encore faut-il savoir les utiliser à bon escient. Voici une approche qui permet de gérer ses émotions efficacement :
- 1ère étape : Accepter l’émotion
Le mieux est d’accueillir l’expression en soi de l’émotion (voir à ce propos : »maîtriser es émotions« ). Vous observerez l’émergence de pensées telles que : » je ne suis pas d’accord avec ce que la situation m’oblige à supporter ! », puis vous constaterez que cette pensée provoque de la colère. Alors une nouvelle pensée surgira : « Tiens, il y a de la colère qui se manifeste… »
Mais voyant cela, vous êtes plus obligé de partir avec cette pensée et cette émotion.
Au contraire, vous les contenez, donc vous n’allez nulle part. Ce sont elles les pensées et les émotions qui apparaissent, et disparaissent en vous, qui demeurez calme et tranquille. Accepter la situation de frustration, de contrariété ou de douleur est la seule option.
Vous ne pouvez pas fuir (sauf dans votre tête, par vos pensées, ce qui ne serait qu’une illusion de fuite, une sorte d’analgésique que vous prenez comme une fuite en avant pour ne pas ressentir…) – Voir à ce sujet : « arrêter de penser ». Mais la douleur ne diminue pas, seulement l’impression qu’elle diminue. En fait même, en la fuyant vous l’augmentez : parce qu’en plus de la situation objective (une douleur physique par exemple) se rajoute une souffrance psychologique issue du refus.
Ce qui fait le plus mal, c’est le refus et la fuite. Vous tenterez de fuir en niant, en refusant pendant un certain temps. Mais si vous lisez encore ces lignes, c’est que vous êtes prêt à changer votre regard sur la situation et sur vous-même. Vous êtes prêt à travailler en coaching, au travers de quelques séances seulement peut-être, sur la manière d’accepter votre situation (voir : coaching de lâcher prise).
A défaut de pouvoir accepter la situation, parce qu’elle est vraiment trop douloureuse pour vous cette fois-ci, vous pouvez au moins accepter l’instant présent en tant que contenant de la situation (voir cet article : « accepter la réalité telle qu’elle est, avant d’essayer de la changer »).
Ainsi, acceptant l’idée même qu’il puisse survenir des évènements tels que celui que vous vivez, vous trouverez en vous un espace de tranquillité, ce qui est déjà un bon début. Pour la suite, vous continuerez de cette manière, à accueillir, à observer, à constater, sans tenter quoi que ce soit pour changer les choses.
De toutes manières, vous ne pourrez intervenir sur la situation extérieure, qu’en ayant d’abord accepté à l’intérieur et faites le changement qui s’impose en vous-même d’abord. Ensuite, naturellement, par effet de résonance de votre alignement personnel sur votre environnement, la situation extérieure sera modifiée, ne serait-ce que par votre changement de regard et de posture…
- 2ème étape : nourrir le désir de ce que vous souhaiteriez voir se produire
On ne peut pas forcément changer les circonstances extérieures, mais on peut toujours choisir les pensées que nous accueillons (voir : processus de pivot) . Ainsi, au lieu d’abonder dans la plainte et de nourrir ainsi la contrariété, on peut choisir de considérer les bons côtés de la situation (il y en a toujours !).
Et surtout : au lieu de ressasser la pensée que ceci ou cela ne nous convient pas, il est plus habile de nourrir la pensée de ce que nous voudrions à la place. Choisir délibérément de tourner notre attention avec plaisir vers ce que nous désirons, plutôt qu’avec amertume vers nos besoins insatisfaits et les émotions que ce genre de pensées suscite en nous.
Vous serez plus attractifs, si vous vous concentrez sur les choses désirez davantage que sur celles que vous ne désirez pas ! (lire à ce sujet : « Qu’est-ce que la loi d’attraction ?« )