Comment faire face à la solitude des managers ? Face à des gros enjeux et une forte pression…vers qui pourriez-vous vous tourner pour vous confier et pouvoir dire en toute confiance :
- que vous ne savez pas, que vous ne voyez pas la solution…
- qu’on n’ose pas, qu’on ne croit pas suffisamment en soi, qu’on a peur de ne pas y arriver,
- qu’on se sent découragé, qu’on n’y croit plus
- qu’on est en colère…
Et pourtant, douter et se sentir un peu désemparé doit bien arriver de temps en temps aux meilleurs d’entre nous, non ? Vous n’allez pas pouvoir vous confier à vos collègues. Et encore moins à votre patron ! Le coaching va vous aider à sortir de l’impasse de la solitude des managers… Vous avez certainement plein de qualités et de ressources pour relever les défis qui s’imposent à vous. Mais parfois vous ne le savez pas, ou ne parvenez pas à mobiliser ces ressources. Tout semble peser une tonne, l’environnement semble résister au changement que vous tentez d’impulser…
Du coup, on doute, et on manque de confiance en soi. C’est normal, mais du coup vous ne mettez plus toutes vos forces du bon côté, et vous avez d’autant moins de chances de vous en sortir par le haut !
Parfois même, la confusion est telle dans certaines situations complexes, que vous ne savez même plus de quoi vous avez vraiment envie, parce que vous focalisez sur ce qui vous déplaît et vous cause du tourment, au lieu de vous tourner vers votre désir d’amélioration et les bons aspects de votre situation (voir : processus de pivot, cette technique va beaucoup vous aider. Pas besoin d’attendre de commencer un coaching pour la mettre en pratique tout de suite. Votre coaching n’en sera que plus profitable !)
Grâce au coaching, vous allez faire un peu de tri, mettre un peu d’ordre en vous-même. Et vous pourrez reprendre confiance en vos capacités. Vous allez même pouvoir les développer, et en acquérir de nouvelles Vous allez progresser, et votre coach vous accompagnera dans ce travail sur vous-même, en vous proposant des exercices faciles et inspirants.
A chaque séance, vous ferez part de vos retours d’expériences, et ensemble vous ajusterez, jusqu’à ce que vous réussissiez de mieux en mieux à créer des boucles de réussite.
La solitude des managers
Il arrive parfois qu’il y ait des obstacles qui vous freinent, comme si vous deviez faire une longue randonnées avec un caillou dans la chaussure. Le plus intelligent sera donc évidemment de repérer tout de suite ce qui vous empêche d’avancer et de le traiter, de façon à ce que la voie soit enfin libre et que les conditions de réussite soient réunies…
L’entreprise n’accueille pas bien l’expression des doutes et des émotions… (voir à ce sujet : « maîtriser ses émotions« ) Pour être « compétitif », il faut montrer qu’on y croit, qu’on se contrôle, qu’on assure…Du coup :
- Pas évident de se confier à son patron, qui est la personne qui nous évalue,
- Pas sûr qu’il soit très astucieux de faire part de ses doutes aux membres de son équipe, qui pourraient perdre confiance,
- Pas forcément adroit de s’épancher auprès de pairs, qui sont peut-être en compétition et qui ne sont pas forcément disponibles,
- On ne pense pas toujours à recourir aux supports RH (on n’est pas forcément sûr de leur neutralité ou de leur compétence sur ce problème particulier…)
- Délicat parfois de ramener à la maison des problèmes du boulot pour demander avis et conseils…d’ailleurs là aussi : à qui s’adresser, qui soit compétent, suffisamment à l’écoute et qui reste suffisamment neutre pour être objectif ?…
La solitude des managers est donc une réalité. Une réalité qui fait peur, comme toutes les formes de solitude :
- peur de prendre une position confrontante face à ses collègues
- peur de quitter un job dans lequel on ne se sent plus bien,
- peur de quitter un emploi pour créer sa propre activité,
- peur de se faire mal voir, d’être jugé et rejeté,
- peur de perdre son emploi en se faisant virer
- peur de ne pas retrouver facilement un nouveau job
… et tout ça, sous diverses raisons de surface, par pure peur de la solitude qui risque d’en résulter. Au nom de cette peur de la solitude, on supporte un job pour lequel on n’est pas fait, on se laisse marcher sur les pieds par des importuns, et on est susceptible de passer à côté de sa vie (voir à ce sujet notre article : « vocation ambition« )
Cette peur de la solitude est non seulement très coûteuse au regard de tout ce qu’elle nous empêche d’oser, mais elle est également parfaitement infondée. En fait, la solitude n’est tellement pas une calamité qu’elle est même bien au contraire : une grâce ! » (voir : vivre la vie désirée)
La solitude des managers peut être accompagnée
Un Coach professionnel, externe, payé pour vous écouter et vous aider à réussir est encore votre meilleur allié, pour vous aider à faire le point sur vous-même.
De même qu’avec deux yeux on voit mieux les reliefs, en comparant votre point de vue avec celui du Coach, vous analyserez mieux les situations, identifierez de nouvelles solutions, et sortirez de la solitude des managers. Quelques séances suffisent souvent à prendre un peu de hauteur et à débloquer une situation, simplement parce qu’on l’envisage autrement…
Face à un cas de harcèlement, face à un dilemme, face à un challenge difficile, face à un risque de burn-out, face à une grosse fatigue et un découragement, ne restez pas seul : Des fois, il n’y en a pas pour longtemps pour faire le point sur soi-même, prendre un peu de hauteur pour retrouver de la lucidité, calmer ses émotions et prendre une décision simple et claire. Quel soulagement de pouvoir parler avec un spécialiste des processus de décision.
Vous ne pouvez pas ne pas prendre de décision
Ce qui est sûr, c’est qu’on ne peut pas ne pas décider ! Ne pas décider est une forme de décision, par laquelle s’applique malgré soi un programme « par défaut », non choisi et généralement médiocre.
C’est ce processus de décision non choisie, que l’on va subir tout de même et qui se sera improvisé de lui-même au fil de l’eau à partir des pressions de conformité, par les chemins hasardeux de la facilité où personne ne prend position et où personne n’assume non plus de responsabilité.
La non décision est donc rarement une bonne solution.
Et s’il fallait dans ce cas : reconsidérer le sujet autrement pour apercevoir d’autres perspectives, qui modifient même la question posée ?
La décision est le propre de la responsabilité et de la liberté.
Un manager a ce pouvoir dans son périmètre d’action. C’est cela qui fait justement tout l’intérêt de ce métier. Mais parfois décider est difficile, quand on ne sait pas, quand on n’y voit pas clair, quand on hésite entre deux options toutes deux insatisfaisantes.
Dans ce cas, il est probable qu’on soit pris dans une impasse, et qu’il nous faille reposer l’équation autrement (voir poser l’équation pour sortir de la boite). Qu’ont de commun ces options qui ne conviennent pas et entre lesquelles on hésite (à juste titre, puisqu’aucune n’est bonne) ? Elles sont toutes deux prises au sein du même réseau de contraintes !
Pour en sortir, il faut donc trouver une solution non contrainte, qui réponde à un autre cahier des charges, tout en poursuivant le même objectif, mais en abandonnant certaines contraintes qui rendent la quadrature du cercle impossible… Faire cela tout seul n’est quasiment pas possible, parce que c’est justement votre manière de raisonner et de poser l’équation qui vous enferme à l’intérieur d’un espace trop étroit, dans lequel la solution ne se trouve pas.
Alors : Think out of the box ! Et facilitez-vous la décision…
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En savoir plusUne ou deux séances de Coaching ciblées
Il faut parfois l’aide d’un tiers, externe et impertinent, pour sortir de l’impasse :
- suffisamment externe pour ne pas se laisser prendre par votre réseau de contradictions,
- suffisamment adroit pour déstabiliser votre « construction » et vous permettre de vous en libérer… sans vous disqualifier !
Pour sortir de l’indécision, il faut apercevoir d’autres horizons plus tentants, et plus prometteurs. Ensuite la décision sera de nouveau simple. Et si quelques questions impertinentes vous aidaient à considérer les choses autrement, depuis un autre point de vue, pour envisager d’autres solutions, ailleurs que là où vous cherchez ?
Comment votre coaching va-t-il se passer ?
On définit à l’avance un nombre de séances, lors de la séance exploratoire dès que le coaching commence.
- Séance exploratoire : Explorer la demande et élaborer les objectifs
- Séance tri-partite : Se mettre d’accord sur les objectifs et les indicateurs de réussite avec l’aide du N+1 et/ou du RH. Identifier les ressources sur lesquelles s’appuyer
- Succession des séances : Certaines en face à face et d’autres plus courtes par téléphone. Echange de mails si besoin.
- Dernière séance tri-partite : Évaluer les résultats et clôturer la mission
Les séances se déroulent entre 2 et 6 mois, selon votre appétit, votre capacité à « digérer » et mettre en oeuvre vos décisions, et bien sûr aussi vos contraintes d’agenda..
Certains prescripteurs RH aiment bien briefer le Coach avant la séance exploratoire pour lui préciser la thématique et le contexte du Coaching. Cette précaution est parfois très utile, mais elle n’est pas un pré-requis. Souvent, il suffira que vous exposiez directement vos objectifs et leur contexte, comme seul préalable à l’entretien tri-partite.
Evidemment le coaching est confidentiel
Aucun feed-back sur le contenu de vos séances ne sera donné par votre Coach à votre entreprise. Si une communication entre RH/ou N+1 était nécessaire avec le Coach pendant l’accompagnement (à propos du Coaching), il conviendrait alors de prévoir un nouvel entretien tri-partite pour partager les informations complémentaires survenues depuis le lancement du Coaching.
En revanche, vous êtes évidemment libre de dire ce que vous souhaitez de votre Coaching à qui vous voulez.
Le coaching face à la solitude des managers
Les bénéfices de votre coaching viennent du fait qu’il s’agit d’un accompagnement qui aide à élargir son cadre de référence, qui bouscule les croyances limitantes et débouche toujours sur de nouvelles perspectives. Les ressources sont déjà en vous, mais vous ne le savez pas et ne pouvez donc les utiliser.
Un des principaux effets positifs du coaching c’est de vous aider à en prendre conscience et à les utiliser au service de vos objectifs bien formulés.
1- A partir du thème sur lequel vous souhaitez travailler, vous êtes tout de suite invités à choisir quelques objectifs qui vous tiennent à coeur. (voir : fixer un objectif de coaching)
2- Au travers de feed-back choisis et de questions décalées, vous êtes susceptibles de voir soudain votre situation autrement et d’y trouver des pistes de solutions là où vous ne regardiez pas (vous ne risquiez pas de les voir !)
3- C’est ensuite une partie de plaisir que de bâtir une solution et de vous engager dans l’action résolutoire vers vos résultats, avec le coeur léger…
Voici quelques exemples des bénéfices que vous tirerez de vos séances de coaching :
- Vous vous découvrirez plus libre que vous l’imaginiez, tout en prenant aussi la mesure des contraintes qui limitent votre champ d’action. Mais envisager votre présent en fonction de l’avenir que vous désirez et pas seulement en fonction du passé dont vous héritez, vous ouvrira certainement des perspectives nouvelles.
- Ce travail personnel augmentera en effet votre conscience globale, et apportera plus de lucidité et d’objectivité à votre regard positif (sur vous, sur la situation, sur les autres, etc…).
- Vous pourriez bien ressentir également plus de joie de vivre et d’enthousiasme, en vous branchant à votre créativité. Un des effets du coaching est que vous augmenterez certainement votre optimisme, en appréciant mieux les opportunités qui se présentent à vous.
- Mieux centré, vous pourrez faire levier sur vos points d’appui, pour vous dépasser et progresser de façon significative. Acquérant de nouvelles compétences, vous prendrez soin d’aligner vos nouveaux comportements avec ce que vous êtes à l’intérieur, ce qui vous permettra aussi d’équilibrer vos relations et de générer davantage d’harmonie autour de vous.
- Apprenant comment vous connecter à votre réseau, et devenant un acteur influent au sein de votre système, vous apprécierez de vous sentir plus armé face à la solitude des managers. Développant votre empathie, vous deviendrez plus sensible à ce que ressentent les autres, et serez mieux à même de « relationner » avec douceur et justesse…(« Osez des relations authentiques« )
- Pour tous ceux qui souffrent du stress (y en a-t-il dans la salle ?), un des effets du Coaching très visible, est que ce travail vous procurera du calme de la sérénité. Comme si vous preniez appui sur vos racines, et puisiez sans cesse dans une bassine d’énergie inépuisable (voir : « S’enraciner« ). De nombreuses personnes attestent d’une plus grande confiance en soi, en accordant généreusement eux-mêmes leur confiance aux autres. Quel soulagement de pouvoir enfin déléguer, et de se sentir disponible pour les missions à forte valeur ajoutée…
- Nous avons vu beaucoup de nos clients renouveler leur appétit de vivre, avoir envie de s’engager, être davantage présent à l’instant présent. Evidemment, en pareil cas, on se sent plus en forme et tout de suite moins fatigué, entrepris par le désir de vivre pleinement l’expérience de la vie…
- Coaching spontané
- Etre Coach ou faire du Coaching ?
- Coaching de crise
- Les 3 niveaux d’ écoute en Coaching
- Maîtriser ses émotions ?
Apprivoiser la solitude
« La peur de la solitude est une des peurs racines, qui nous empêchent de vivre notre vie et d’oser nous émanciper des comprommissions qui nous retiennent en arrière :
- peur de quitter un emploi pour créer sa propre activité,
- peur de s’opposer à une injustice au travail par peur de se retrouver isolé dans une minorité
- peur de quitter un ou une partenaire de vie avec qui on ne s’entend plus,
- peur de prendre position face à sa famille par crainte d’être jugé et rejeté,
- peur de rester seul une soirée, une nuit, une semaine…
… et tout ça finalement par pure peur de la solitude qui pourrait en résulter ! Par crainte de la solitude, on supporte parfois trop longtemps un job pour lequel on n’est pas fait, on se laisse marcher sur les pieds par des importuns, et on est susceptible de passer à côté de sa vie. Cette peur de la solitude est non seulement très coûteuse au regard de tout ce qu’elle nous empêche d’oser voir cet article : « vivre la vie désirée », mais elle est également parfaitement infondée.
En fait, la solitude n’est tellement pas une calamité qu’elle est même bien au contraire : une grâce ! » Vous êtes né seul, et vous mourrez seul, même si vous êtes bien entouré. Personne ne peut vous aider en naissant, ou en mourant « un peu à votre place », ou même « un peu avec vous ». Vous pouvez être entouré et bien accompagné, mais de toutes façons, vous êtes toujours seul à vivre votre expérience « d’être bien entouré et en bonne compagnie » !
Plutôt que de fuir la solitude, acceptez la, ouvrez lui grand les bras. Elle est immensément vaste, comme le silence qui contient tous les sons, elle peut même contenir toutes sortes de rencontres, notamment au travail.Vous êtes seul responsable de votre vie, de vos choix, de votre respiration dans l’instant présent. Mais cela ne vous empêche pas d’entre en relation ! (voir : « osez des relations authentiques« )
La solitude ne vous empêche pas d’être avec les autres, de les aimer, et même éventuellement d’être apprécié en retour. Mais dans le fond, toutes ces relations, toutes ces activités extérieures : à quoi bon ? Pourquoi pas, mais à quoi bon ? Osez vous poser cette question. Vous ne risquez rien à vous la poser… Au pire, cela ne vous fera rien, au mieux cela vous emmènera vers votre chemin pour s’individualiser vers plus une plus grande maturité émotionnelle. Vous serez bien avec les autres (quoique pas toujours…), mais vous pouvez également être bien tout seul, dans vos rythmes et occupations à vous, dans vos ambiances, dans vos pensées. Rien ne vous empêche d’équilibrer, et de fréquenter qui vous voudrez, mais plus vous goûterez au silence intérieur, moins vous aurez peur de la solitude, et plus vous l’apprécierez comme un immense confort.
Si vous souhaitez vous concentrer, la solitude est une aubaine. Pour un véritable « guerrier », pour un cherchant de la vérité intime, il faut de la concentration, et la solitude est donc une bonne compagne, peut-être même la meilleure… Allez, une pointe de misanthropie taquine n’est pas pour vous déplaire ?…:-)