Dans cet article, j’aimerais partager avec vous une réflexion d’ordre global sur le chemin pour s’individualiser, c’est-à-dire le cheminement personnel qui nous conduit à devenir des « individus » à part entière… Je ne dis pas que la vision exposée ci-après soit absolue : ce n’est que le partage d’un point de vue, celui que me confèrent ma propre expérience et ma propre réflexion.

Point de vue

Je suis né en Occident, mais j’ai tout d’abord été attiré puissamment par l’Orient (qui ne m’a plus quitté depuis, au travers du yoga, de la méditation, etc…), mais en bon Gaulois, tel Obélix, je suis également tombé très jeune dans la potion Occidentale…

Ainsi, après un une première incursion en culture exotique : je me suis senti pleinement chez moi, dans la Tradition métaphysique et alchimique Occidentale. Et depuis j’y suis pour toujours (mais loin de toute école d’appartenance, que je respecte, mais que je laisse à ceux que cela tente d’appartenir à quelque chose). Et je fus fort étonné, rassuré et fier, de me rendre compte que cette partie du monde, pourtant si polluée et si profane, était encore, elle aussi, animée de la flamme éternelle, la même qui m’avait tant attiré en Orient. Sous l’injustice et le chaos de l’absurde, la présence rassurante de l’esprit est donc partout.

Pas besoin de chercher midi à 14 heures

En Occident pas moins qu’en Orient, n’en déplaise aux fantasmes qui font qu’on cherche toujours dans le pré d’à-côté si l’herbe n’y serait pas plus verte… Sous le manteau sucré de la religion, notre culture est infestée de spiritualité crue. Depuis les Celtes, qui ont baptisé les lieu-dits en fonction de leur nature occulte, jusqu’aux bâtisseurs de cathédrales, qui ont gravé leur connaissance métaphysique jusque dans la pierre des églises, au nez et à la barbe des prélats qui « n’en pouvaient mais », notre culture est sous-tendue, imprégnée, canalisée, par des courants fulgurants, tenus aux grands carrefours de l’histoire par des êtres formidables et discrets, à toutes les époques, et dans toutes les civilisations.

A chacun de retrouver par soi-même ces petits cailloux blancs laissés sur le chemin (peut-être par le petit poucet ?)… Personnellement, je n’appartiens à aucune école, à aucune secte. Je suis un être en cours d’individuation comme tout le monde, et aussi un être libre par essence, comme vous.

(Mais ceci est facile à dire : ce qu’il faut c’est reconnaître cette liberté fondamentale de l’être, concrètement en soi-même, non seulement par sa tête, mais aussi par son coeur et jusque dans ses tripes. Et ça, cela prend un peu de temps, du moins en ce qui me concerne. Quoi qu’en disent certains tenants de la « non-dualité », il me semble que le chemin pour s’individualiser s’inscrit dans une certaine durée. Si vous cheminez déjà depuis quelques temps, vous comprendrez par votre vécu ce que je dis-là. Et sinon, si vous croyez que c’est instantané, attendez donc quelques minutes encore, et voyez donc par vous-même si un miracle s’opère dans l’intervalle… 🙂  Mais n’attendez quand même pas trop longtemps, parce ce que ce qu’il faut c’est s’empoigner pour progresser.

« Les Flambeaux ne s’arrachent pas à la Nuit, sans que l’Homme ne Combatte lui-même… » – Jacques Breyer

L’appel du Sentier

Alors, tout en découvrant en moi peu à peu cette liberté, intrinsèque à ce que je suis, j’assume ce Sentier qui m’a suscité, qui est mon parcours et mon conditionnement tout à la fois, et qui me sert de tremplin, pour sauter justement par-delà mes conditionnements divers (culturels, familiaux, personnels). Je vais donc vous parler à partir de la symbolique occidentale qui m’a formé, laquelle n’est qu’un doigt qui pointe vers la lune. S’il vous plaît, ne regardez pas le doigt, mais plutôt dans la direction vers laquelle il pointe…

Pas une question de « croyance »

Si, malgré d’éventuelles allergies bien compréhensibles envers les religions, il vous prenait de vouloir soulever un coin du voile, nous pourrions peut-être nous rejoindre, amicalement, dans une réflexion libre, par-dessus les querelles de clochers entre :

Parce que la question n’est pas du tout de « croire »…Laissons cela à ceux qui s’en contentent et osons plutôt expérimenter ET « réfléchir », par nous-même, chacun pour soi, et ce : depuis le tout premier instant de la naissance…

Une erreur nécessaire

D’abord, on naît seul, on émerge seul du ventre de notre maman. Mais la conscience ordinaire, qui fera qu’on se prendra pour « moi », est encore embryonnaire, parce que justement à ce moment-là : « moi » n’est pas encore construit. Mais très vite, les relations avec les autres nous renvoient une image qui pointe vers l’intérieur, là d’où part notre regard, et il nous semble que ce retour d’image serait peut-être : ce que je suis. Ainsi se construit peu à peu une représentation mentale de « moi », notre « personnalité », un « moi » complètement conceptuel, sans aucune réalité. Mais ce « moi » devient tout de même actif et opérant, avec le début de la croyance, qui est le début de l’erreur : je crois que je suis « moi », même si c’est évidemment faux.

Etre serein, trouver la paix intérieure ?

C'est beaucoup plus simple que vous ne l'imaginez. Quelques séances de coaching peuvent vous aider à vous recentrer, à y voir clair et à prendre quelques décisions salutaires. Ne restez pas seul(e) avec votre difficulté. Voyez courageusement comment la résoudre, ou comment vivre avec !

Voyons ce qu'on pourrait faire ensemble...

Pourquoi est-ce faux ?

Pour quelle raison ne serais-je pas ce « moi » ? Tout simplement parce que j »étais avant l’apparition progressive de ce moi, qui est apparu plus tard, construit de toutes pièces (rapportées). « Je » suis avant ce « moi » et au-delà de ce « moi » : Je suis, c’est évident. Peu à peu, se construit une agrégation d’images mentales, au gré des expériences, et cette somme de bouts disparates, serait « moi », comme un manteau sensé me désigner, alors qu’il ne fait que m’habiller, tandis que je suis forcément toujours nu en-dessous, à jamais (et heureusement : depuis « toujours ») Mais rassurons-nous, cette illusion de se prendre pour notre « moi » n’est pas si grave, même si elle est chargée de conséquences lourdes en termes de souffrances…

Une erreur inévitable

C’est une erreur qu’on ne peut pas ne pas commettre. C’est une souffrance qu’on ne peut pas ne pas rencontrer. Et ce qu’il faut c’est la vivre et la traverser, pour la reconnaître, la démasquer, et s’émanciper de son emprise… 100% des gagnants ont joué ! On ne peut pas espérer gagner au jeu de l’accès à sa propre vérité, sans même prendre un ticket pour démasquer l’illusion.

Pour la démasquer, en soi, pour soi et par soi-même, il faut d’abord la rencontrer, c’est-à-dire la vivre, et y croire à cette illusion, sans même savoir que c’en est une (sinon, évidemment, on n’y croirait pas et on ne la vivrait pas)…Il n’y a là aucune « injustice Divine » ni aucune faute coupable de l’homme.

La question, qui vous creuse jusqu’au trognon…

chemin pour s'individualiser

La question qui vous creuse : « Qui suis-je ? »
Elle nous mène tout droit à l’affirmation radieuse : « Je suis ! »

Alors, vous voici lancé dans la vie, en pleine illusion des sens, identifié à votre ego, quand survient la première incision possible : se poser La Question ou pas (Et puis aussi : insister ou abandonner tout de suite). Quelle question ? Devinez, gros malins ! Mille questions bien sûr, et finalement une seule sous-jacente à toutes : « Que suis-je ? » C’est peut-être en partie lié au destin, c’est certainement aussi une question de libre arbitre… : Toujours est-il que certains se laissent inciser par la question et d’autres s’en détournent.

Les premiers se mettent en chemin, tandis que les autres « bourrent dans le tunnel », sans conscience, et traversent les évènements-miroirs placés à tout moment sur leur chemin sans jamais s’y voir.

Accueillir la question ?

Du moins en est-il ainsi, tant qu’ils n’accueillent pas la question : « Qui suis-je ? Au delà de ce corps, de ce personnage, du contenu de mes pensées et de mes émotions, qui suis-je ? » (Voir à ce sujet les 3 articles suivants : « Qu’est-ce que la Présence ? », « Etat de présence« , « Présence en coaching« ).

Et puis tôt ou tard, cette question s’impose d’elle même. Pas d’une manière philosophique ou intellectuelle, mais d’une manière expérientielle et émotionnelle. Et tout en appréciant la succession des instants crées par le cerveau (le temps psychologique), on découvre qu’en fait il n’y a qu’un seul instant : l’instant présent !

Quand tout bascule…

Et là, votre conception de la vie change, à la fois brutalement et progressivement (le temps de digérer goutte à goutte les effets de cette incision qui crée une brèche dans votre représentation mentale du monde et de vous-même). Plus tard, vous serez même susceptible de vous arrêter en chemin un certain temps, perché dans une sorte de « paradis » d’unité, où vous êtes un peu détaché de tout (puisque vous voyez bien que tout est illusion), vous vous désengagez intérieurement et risquez de ne plus vivre finalement que comme un touriste, parce que l’enjeu précédent est éventé, et pour autant vous manquez encore de lucidité pour aller jusqu’au fond de l’expérience et entrer en contact avec l’Enjeu véritable qui était dessous le premier, auquel il fallait justement accéder…

Mais heureusement, cela ne peut pas durer !

Et peu à peu, paradoxalement, le « détachement » des histoires psychologiques vous permet de vous ré-engager, encore plus, dans l’expérience du quotidien, mais en cessant de vous prendre pour ce que vous n’êtes pas ! (voir notre article : « vivre sa vie en poète« ).

Autrement dit :

Un emprunt à la symbolique traditionnelle

chemin pour s'individualiser Et là, vous êtes comme ce fronton du Portique, qui repose sur deux colonnes. Votre conscience (le fronton dans le symbole ci-dessus) repose sur deux points d’appui (les colonnes du Portique) :

La conscience du Fronton

Et, depuis ce Fronton vécu, construit dans votre essence pour de vrai à travers le chemin pour s’individualiser qui vous l’a fait expérimenter dans votre quotidien, se posent de nouveau des questions métaphysiques qui ouvrent sur une communion encore plus profonde… Ces mêmes questions qui vous avaient tout d’abord assailli, mais dont vous n’aviez su que faire, à part croire à des réponses diverses, celles des autres surtout, plus ou moins justes. Maintenant ce n’est plus vous qui les travaillez, ce sont elles qui vous entreprennent. et les réponses émergent d’elles-mêmes, comme aimantées par la question (et c’est d’ailleurs là l’origine véritable de la Loi d’attraction, loin des superstitions qui feraient qu’en y pensant très fort on va être enfin riche…bien misérable affaire !)

Nota : Le symbole du Portique ne doit pas être appréhendé d’une manière intellectuelle, il doit être ressenti et vécu, sinon il n’est que lettre morte. A ce propos, il est des « fraternités » dont j’ai toujours eu de bonnes raisons de ne pas souhaiter faire partie, qui sont dépositaires de par leur histoire de semblables symboles universels. Grand bien leur fasse, mais ces derniers appartiennent au patrimoine de toute l’humanité. Se les approprier d’une manière partisane serait évidemment ridicule. Tout chercheur sincère est fondamentalement libre de s’en emparer pour vibrer, et par eux s’exprimer… Si, par votre expérience, vous reconnaissez humblement être « un Fils », vous avez le droit d’utiliser les outils de la Maison-Humanité, qui sont donc les vôtres.

4 étapes du chemin pour s’individualiser

Récapitulons, il y a 4 étapes :

Socle : 1ère étape du chemin pour s’individualiser – Se laisser « creuser » par la question ?

Cette étape se situe symboliquement dans le socle brun du portique. Vous acceptez l’incision offerte par la vie, ou bien vous vous protégez et refusez de vous exposer à la morsure du questionnement. Auquel cas, vous restez dans le socle (bof!), et ça peut durer un certain temps, toute la vie parfois (mince !)…

Colonne noire : 2ème étape du chemin pour s’individualiser – S’engager, sinon on n’est rien !

Accédant à la colonne noire, vous osez vous lancer dans la vie, avec votre différence, et bon gré mal gré, vous entrez dans le « rat race » ou le « struggle for life », comme les autres, mais avec dépit. Précisions que l’engagement dont nous parlons n’a rien à voir avec le fait de s’adonner à un métier, sa famille, sa commune, une association quelconque. Il s’agit de l’engagement dans une démarche de conscientisation, dont vous comprenez que c’est face au dragon du quotidien horizontal qu’elle se joue, mieux que dans des séminaires ou des ateliers divers. Vous observez les autres foncer, sans se poser de questions, vers leur propre mort, qui ne les interroge pas plus que ça, et qu’ils s’arrangent pour ignorer, semblant faire comme si ils étaient éternels (ils le sont peut-être, mais pas comme ils l’imaginent). Vous n’en revenez pas de constater cette immense absurdie de tout un monde qui va droit dans le mur (et auquel vous ne pouvez pas ne pas participer) ! Et, tout en jouant le jeu le moins mal possible (parce que vous n’êtes pas cablé pour croire à ce jeu) vous êtes désolé que les autres ne vous comprennent pas, et vous rejettent plus ou moins au passage, parce que vous n’êtes pas dans le moule. Si vous avez du coeur, cela vous blesse probablement, et vous avez aussi de la peine pour eux, que vous aimez. Comment faire autrement : ce sont votre famille et vos amis ! Vous n’en avez pas d’autres. Et pourtant il va falloir les « laisser un peu derrière vous » puisque d’une certaine manière, c’est eux qui vous tournent le dos en refusant de se mettre en chemin pour et par eux mêmes, comme vous le faites. Mais comment leur en vouloir ? Ils font ce qu’ils peuvent, tout comme vous. Evidemment ils ne vous comprennent pas, et vous jugeraient même volontiers si vous leur laissiez une prise pour le faire. Vous êtes donc obligé de vous protéger, même de vos proches. Vous êtes donc finalement seul dans la vie (comme l’oisillon chassé du nid, et c’est bien ainsi pour apprendre à voler… voir à ce propos notre article : « avoir peur de la solitude« ). Donc, même s’il se peut que vous soyez bien entouré (ceci n’est qu’une question de déterminisme), vous êtes fondamentalement seul face à la grande Question (et cela, c’est un choix qui est vôtre)… C’est un choix courageux et solitaire, qu’il vous faut assumer en secret, pour ne pas déranger autrui qui ne veut pas chercher à comprendre,, et c’est son droit.

Colonne blanche : 3ème étape du chemin pour s’individualiser – s’arracher encore…

Deux cas de figure se présentent alors :

Début de Fronton : C’est là que ça commence vraiment…

Vous quittez le bien-être mièvre, vaguement dépressif, où vous étiez peut-être en train de vous engluer : dans la « pleine conscience » (pas tout-à-fait pleine, monseigneur ?) …finalement un peu à côté de vos pompes, tandis que la vie passe, sans vous, qui étiez un peu « perché sur les cimes », dans un petit monde préservé, bien à vous, une bulle d’harmonie personnelle, où le contact avec autrui devait être « filtré » pour ne pas vous exposer aux secousses d’un miroir trop « polluant »… Vous ne le faisiez pas exprès, et il le fallait bien pour vous concentrer et vous extraire, c’était une étape à vivre sur le chemin pour s’individualiser. Là encore, aucun sentiment de culpabilité, aucun reproche, juste vivre et voir… Et là vous retrouvez les questions métaphysiques, qui vous avaient tout d’abord servi de tremplin, mais que vous aviez dû partiellement abandonner pour vivre pleinement l’épreuve face au dragon, ce grand tamis du collectif, cette forge où telle une épée, sur l’enclume de Vulcain vous avez tout d’abord été martelé, sans égard pour votre petite « personne »… Ces questions métaphysiques ne sont plus intellectuelles pour vous. Dorénavant, vous les vivez, et les réponses parfois s’imposent, qui émergent du fond de la conscience impersonnelle, et s’expriment d’une manière individualisée à travers votre prisme individuel. Se pourrait-il, dans cet état, que certaines expériences naturelles et simples vous soient enfin accessibles, où la réalité dépasse la fiction, et où rien n’a la même forme que ce dont vous aviez vaguement nourri le fantasme, à l’écoute des récits d’autrui ? « Savoir-Vouloir-oser-Se taire » nous suggère le sphinx antique… Parce qu’au-delà de tout secret enfantin qui ne retient que les nigauds, c’est à chacun de vivre sa propre expérience quand il arrive là. C’est tout.

Rien de rigide, mais un ordre structurant

Dans ce texte, le chemin pour s’individualiser semble être mis en équation avec 3 étapes, 3 opportunités, et tout bien dans l’ordre. Mais ce n’est bien sûr qu’un effet de présentation symbolique, qui décrit les choses de l’extérieur. En fait, quand on les vit de l’intérieur, on vit un peu tous ces états à la fois, avec des allers et retours entre les différentes options, et nous l’avons déjà dit cela dure quelques années… N’y voyez aucune rigidité : Il n’y a pas de rejet, pas de jugement. La vie est fondamentalement « inclusive », et c’est toujours « maintenant » le bon moment pour se mettre en chemin. Mais la vie est tout de même structurée, organisée, sinon il n’y aurait rien (Or, ce que nous constatons, c’est qu’il y a bien « quelque chose »… Ne serait-ce que nous-même pour nous poser cette question !). Alors, trêve de faux débats, on va dire dans l’après coup, que des grandes étapes semblent se dégager, qui permettent de se repérer dans ce qu’on vit. Voilà, ce n’est pas une grosse affaire… Vivons tout cela avec légèreté, ce n’en sera probablement pas plus désagréable.

Un ami sur le Sentier…

Pour aller plus loin sur le chemin pour s’individualiser :

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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