Voici les pires erreurs de management à éviter. Elles sont assez grossières mais pourtant assez répandues. Nous les voyons parfois chez nos clients quand nous intervenons en coaching d’équipe. Espérons que vous ne vous y reconnaîtrez pas trop. Si c’était malheureusement le cas, sachez que nous pouvons vous aider en quelques séances de coaching, à sortir d’un mauvais pas, à modifier vos habitudes et à retrouver de la sélénite et plus d’efficacité. Voici notre petite liste des pires erreurs de management à éviter :
CHERCHER À “ÊTRE À LA HAUTEUR” !
De quelle hauteur parlons-nous au juste ? Dès que vous entrez en compétition avec vous-même, vous marchez à côté de vos pompes en cherchant à être un autre (vous en mieux peut-être). D’une part c’est impossible et d’autre part c’est absurde : pourquoi être autrement serait-il mieux qu’être ce que vous êtes ?
- Sur quel référentiel absolu, s’évaluerait-on dans notre relativité pour établir cette comparaison désavantageuse à votre endroit ?
- Et s’il ne s’agit que d’une référentiel relatif, à quoi bon s’y mesurer, puisqu’il y aura de toutes façons toujours un cran au-dessus de n’importe quel cran, si haut soit-il ?
Vous me direz, que c’est bien de se dépasser, et de progresser… Certes. Dans ce cas, progressez donc dans qui vous êtes et ne vous comparez pas. Contentez-vous d’être déjà… content, justement. Et depuis ce contentement plein de gratitude et de joie de travailler, voyez quelles opportunités de progrès s’offrent d’elles-mêmes à vous, sans effort de votre part (voir à ce sujet notre article : “effort ou énergie ?”) Vous êtes à la bonne hauteur, puisque c’est la vôtre, et elle est bien suffisante. Et ce n’est pas en montant sur la pointe de vos pieds que vous grandirez.
- Chercher plutôt à retirer toutes les pressions inutiles, tous les conditionnements qui vous embarrassent et vous empêchent d’être à votre pleine hauteur.
- Chercher plutôt à se reconnecter à la profondeur de soi-même. Chercher surtout à s’enraciner, plutôt qu’à grandir, car c’est en ayant de bons appuis que la croissance peut avoir lieu.
Pourquoi douter de vous ?
“Voila encore une idée qu’elle est mauvaise…”. Vous me direz, “on n’y peut rien : quand on doute, on doute ! Même de soi, surtout de soi, c’est un peu une maladie…” Erreur : oui c’est une maladie, mais vous y pouvez quelque chose ! Vous pouvez soigner cette maladie et en guérir.
- Certes votre passé, et un certain nombre d’erreurs (bien naturelles) vous ont conduit à douter de vous (surtout si vous faites plein d’effort pour paraître très sûr de vous !).
- Mais rien ne vous oblige aujourd’hui à douter de vous. Il vous suffit de cesser d’entretenir ces pensées toxiques à votre encontre pour que vous laissiez peu à peu émerger des profondeurs de votre être des ressources insoupçonnées. Laissez le passé derrière vous. Il n’y a rien à regretter, contentez-vous d’apprécier l’instant présent et de faire de votre mieux. Si vous acceptez de lâcher prise sur le résultat, vous ne serez que plus disponible et plus efficace.
VOULOIR JUSTIFIER DE VOTRE LÉGITIMITÉ
Voila encore un grand classique du genre, parmi les erreurs de management à éviter ! Alors qu’en fait le savoir et l’expérience ne servent qu’à une seule chose : savoir que cela ne sert à rien, et pouvoir donc se consacrer pleinement au pouvoir de l’instant présent, sans vous disperser, sans projeter votre mémoire sur le futur, en accueillant simplement ce qui est là sans jugement et sans manipulation mentale, juste en laissant jaillir la réponse de la situation. Banissez donc le poids des habitudes, sortez des sentiers battus, osez la nouveauté, dans laquelle le savoir sera inutile autant que l’expérience. Installez-vous une bonne fois pour toutes dans l’instant présent, sans référence au passé et au futur et faites votre job, tranquillement. Les autres se stressent ? Qu’ils continuent si cela les aide. Mais, vous, gardez votre cap sur les étoiles et restez fidèle à votre tranquillité. Laissez passer devant vous les excités. Vous les rattraperez quand ils auront un point de côté. Et s’ils terminent la course devant vous, tant mieux pour eux, cela voudra dire qu’ils l’ont mérité. Mais ce n’est pas une raison pour vous dépêcher… Si vous devez apprendre, faîtes-le par plaisir, comme le reste, pas POUR quelque chose, mais parce que vous êtes curieux et avez de l’appétit pour apprendre des choses nouvelles, à la limite “pour”… perfectionner votre art, de façon désintéressée et sans calcul (donc sans attente et sans histoire). On ne dit pas qu’il ne soit pas utile de savoir calculer, ou de faire des plans, mais ce n’est pas de cela dont on parle aujourd’hui : nous parlons d’être léger et de vivre sa vie en poète, sans lourdeur ! On ne dit pas non plus qu’il ne faille pas être compétent, et donc légitime. Mais chercher à être légitime aux yeux des autres est une autre calamité, qui n’a pas de fin non plus. Vous ne serez légitime que lorsque vous cesserez de chercher à l’être, en assumant ce que vous êtes déjà et en jouant au mieux avec vos cartes actuelles. Cela c’est être légitime, quelles que soient vos cartes.
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- Il nous arrive d’ailleurs à tous de vivre parfois des situations, où nous sommes tellement pris par ce que nous faisons, que nous en perdons la notion du temps. Dans ce cas, peu importe la fatigue et le reste du monde, nous sommes à la fois absorbés et nourris par ce que nous faisons. C’est une excellente façon de cultiver un haut niveau de vitalité !
- A l’inverse, il nous arrive de passer des journées à toucher à tout, sans rien mener à son terme, et de finir ces journées avec un sentiment de frustration. Ces journées sont ennuyeuses, mais elles nous filent entre les doigts, parce que nous les vivons en pensant à autre chose, en pensant à ce qui devrait être, au lieu d’être présent à ce qui est !
A chaque pas, laisser le passé en arrière et le futur en avant, ne se concentrant que sur le présent… Se concentrer sur des petits pas, faciles à réaliser, en y mettant toute son attention, au point qu’il n’y ait presque plus de place pour autre chose
- Sous prétexte qu’il faut toujours être joignable, on laisse toujours son portable allumé,
- parce qu’il faut se tenir informé, on écoute très souvent « les informations »,
- parce qu’on n’a plus l’habitude de rester tranquille en silence, on met la radio, on feuillette des magazines, on bavarde pour ne rien dire…
Tout cela est très bien sans doute, mais il n’est pas mal non plus de savoir s’accorder des pauses, sans dispersion, des “vides” pleins de soi. Qu’il s’agisse de jardiner, de peindre, de jouer d’un instrument, de marcher en silence, de courir en s’intériorisant dans le souffle, ou de méditer : de nombreuses activités permettent de se recentrer dans une seule chose à la fois. Même des petites choses comme prendre sa douche, se laver les dents ou faire la vaisselle, peuvent être des occasions de se concentrer sur l’instant. Au lieu de les « faire », en pensant à autre chose, il est intéressant d’y « être » présent, totalement. A la fois dans son corps, dans ses sensations, dans l’action, aussi minime soit-elle. En étant ainsi intériorisé, l’impression qu’il n’existe qu’un seul instant qui s’étire, au lieu d’une succession d’instants séparés les uns des autres. Plus de stress, plus de hâte, tout se joue, maintenant. Et après ? Après, on verra… pour l’instant, nous sommes maintenant. Et quand viendra « après », on le vivra aussi comme : « maintenant »… Faites une seule chose à la fois, et faites la doucement. Ensuite quand elle est finie, n’y revenez plus ! Essayez, vous verrez : c’est très reposant, et bien plus efficace ! Je connais des managers qui planifient des réunions moins nombreuses et plus courtes pour éviter de faire perdre trop de temps à plein de gens en même temps et qui, par ailleurs, se donnent toujours un quart d’heure de plus pour leurs entretiens qualitatifs, afin de ne pas être pressés quand le jeu en vaut la chandelle. Un déjeuner par exemple, au lieu de l’avaler le plus vite possible, pourquoi de temps en temps ne pas en profiter pour le prolonger par un bon échange en marchant une demi-heure après le repas ? Pourquoi, lors des entretiens annuels, ne pas se donner largement le temps d’un échange sur le fond, en les faisant dans un cadre agréable, qui permet de sortir des habitudes et des comportements induits par l’environnement de travail habituel ? Cela prend du temps, qui en fera gagner beaucoup, en prenant soin de la profondeur de l’alliance de travail.
Cessez de vous agiter ?
Vous n’irez pas bien loin comme ça. Voyez plutôt que c’est une fuite en avant qui vous arrange bien et qui vous permet d’éviter de faire face à la situation présente : il vous manque des effectifs, vos collaborateurs sont inadaptés à vos objectifs, votre chef ne vous respecte pas (voir : “9 trucs pour manager son patron“), etc… Si vous êtes déséquilibré, votre exemplarité de manager incitera les gens à se déséquilibrer aussi, ou bien à compenser le fait que vous travaillez trop en ne travaillant eux-mêmes pas assez. Le résultat sera que la somme de trop et pas assez sera nulle, et que plus vous ferez trop, plus les autres en feront moins. Et bien sûr, moins ils seront à la hauteur de vos attentes en n’en faisant pas assez, plus vous en ferez trop pour compenser ! Youpi le circuit infernal… Si par malheur pour vous, quelques uns s’amusent à en faire trop aux aussi, influencés par l’exemplarité du manager, ils entraîneront le même genre de réactions de compensation autour d’eux. Vous serez donc progressivement à la tête d’une équipe de plus en plus déséquilibrée… Les pertes d’énergie, il faut les repérer et réparer les fuites, mais surtout pas compenser avec votre propre énergie ! Au contraire, plus ça va mal, plus vous DEVEZ aller bien, et vous installer dans le calme. Céder à la panique et à l’agitation fébrile est l’une des pires erreurs de management à éviter. Au contraire, cultivez le bien-être au travail, pour vous-même d’abord, et pour les autres ensuite. Pourquoi dans ce sens là ? Parce que si vous vous sentez mal vous n’entrainerez personne avec vous ! Si au contraire, vous êtes bien, déjà vous-même, alors les autres qui vous regardent s’inspireront de l’expemlarité du manager pour se porter eux-mêmes et prendre en charge leur propre bien-être au lieu d’attendre comme des enfants que cela vienne des autres !
Pourquoi souffrir en faisant tant d’efforts ?
Il y a une loi dans la vie, qui veut que faire quelque chose (quoi que ce soit) attire plus de cette même chose dans votre vie.
- plus vous procrastinez, plus vous procrastinez (remettre à plus tard les choses à faire, reporter ce qui vous embarrasse)
- plus vous cherchez à comprendre avant d’agir, plus serez tentés de chercher à comprendre au lieu d’agir
- plus avez peur de la solitude et la fuyez, plus vous allez avoir peur de la solitude et la fuir
- plus vous argumentez pour convaincre, plus vous soulevez d’objections et plus vous devrez argumenter pour convaincre… Ainsi sans le vouloir et sans vous en rendre compte, vous vous enfermez dans une vie lourde, dans laquelle vous devez toujours argumenter, discuter, négocier, pour tout, tout le temps, avec tout le monde ! (voir notre article : “ne discutez pas !”)
Donc si vous faites des efforts, vous en ferez encore, et toujours plus. Ce sera sans fin ! Quand vous faites des efforts, vous êtes quelque part dans votre tête, au lieu d’être tranquille et attentif à votre corps. Ou bien vous êtes pris par vos émotions, et vous laissez déborder par elles. Alors vous faites des efforts pour compenser et reprendre pied. C’est un processus sans fin et bien inutile.. Acceptez plutôt de vivre l’émotion, et de l’ explorer, sans refus, sans déni, en prenant soi d’y être attentif pleinement… Sans vouloir la dissoudre, sans autre intention que de découvrir et la traverser. C’est justement là que les émotions apparaissent pour ce qu’elles sont : des nuages qui ne font que passer dans le ciel … Il suffit de voir et de constater que des émotions et des pensées sont là, sans partir avec leur contenu. Cela ne veut pas dire que dans l’action il n’y ait pas une intense dépense d’énergie, ou que le corps ne doive pas travailler et fournir des efforts. Mais cela se fait dans l’énergie, avec une relative aisance, sans souffrance et sans histoire psychologique plaquée par-dessus pour rendre le tout encore plus compliqué et pénible…
PRENDRE VOTRE ÉQUIPE DE HAUT
Une des pires erreurs de management à éviter facilement consiste à ne pas saluer ses collaborateurs. Au contraire, le matin en arrivant, faites le tour des popotes pour saluer tout le monde, surtout dans une usine par exemple. Et déjeunez de temps en temps avec vos collaborateurs: cela fait plaisir et c’est nécessaire pour «garder le lien». Vous serez ainsi accessible et on vous parlera. Du coup, vous apprendrez des infos utiles que vous n’auriez jamais autrement (ou trop tard), vous déminerez des conflits potentiels, et pourrez tenir compte des idées qui vous seront suggérées. Si vous avez été promu parmi vos pairs, diverses erreurs de management vous guettent. la première d’entre elles est de vous montrer trop proche de vos anciens collègues. La seconde est de les prendre de haut, en créant une distance qui va les blesser et leur faire penser que vous avez pris la grosse tête… (voir : prendre en mains une nouvelle équipe) Votre nouveau rôle de manager change la relation avec vos anciens collègues, mais ce n’est pas une raison pour leur faire sentir à tout bout de champ, que c’est vous le chef. Cela crée du ressentiment chez vos collaborateurs. Ils vous trouvent arrogant et vous passez finalement pour un chef avec peu d’autorité, puisque vous êtes obligé de rappeler que vous avez du galon pour vous faire respecter…. Pour écouter vos collaborateurs, vous devez être accessible, être présent. Un manager qui gère lui)-même les projets au lieu de les déléguer n’aura pas assez de temps et de disponibilité mentale pour entrer en contact direct avec ses collaborateurs. Du coup, il n’écoutera pas ou n’entendra pas leurs observations et leurs réflexions. L’erreur serait de croire que du moment que le travail est fait, vous n’auriez pas besoin de vous intéresser et à connaître les difficultés que rencontrent vos collaborateurs. Malgré la présence physique du dirigeant, cette attitude équivaut à une absence effective ressentie par les collaborateurs. Ainsi, refuser les initiatives ou suggestions de la part des membres de l’équipe, sont des attitudes qui isolent le manager et le désavouent aux yeux de ses collaborateurs. Au contraire, il faut savoir se rendre disponible (en travaillant bien sa gestion du temps pour cela), et offrir une écoute professionnelle, en posant des questions, et en valorisant les réponses. Pour travailler en bonne intelligence collective, votre équipe a besoin d’un cadre clair et d’une confiance partagée. Personne n’est dupe si vous vous contentez de faire semblant d’écouter et de tenir compte des avis, si vous n’êtes finalement pas sincère. Les méthodes participatives doivent permettre le dialogue, pas servir de faux semblant à une manipulation : il ne s’agit pas de faire semblant de demander aux gens leur avis, pour tenter de leur faire dire ce que soi-êmme on pense. Honnêtement, cette approche est très vite démasquée et la réputation que se fait le manager dans ces cas-là est très dure à décoller !
COMPTER SUR LES AUTRES !
Cela aussi fait partie des pires erreurs de management à éviter. On se dit : on est une équipe, je dois pouvoir m’appuyer sur les autres. Eh bien non ! La bonne idée serait plutôt de compter d’abord sur vous-même, pour compter encore mieux avec les autres. La nuance est très importante entre « compter sur » et « compter avec » :
- « Compter sur » est l’expression d’une dépendance, d’une subordination, d’une attente, d’un espoir. Cette posture ne peut qu’entrainer tôt ou tard la déception, la frustration, le reproche et la plainte… Ces jeux psychologiques sont usants.
- « Compter avec » est l’expression d’une inter-dépendance, d’une alliance, d’une parité dans la relation. Cela repose sur une autonomie des deux parties, et d’une gratuité de l’échange, sans attente et sans reproche.Vous me direz “Et si les autres ne sont pas fiables, pas mûrs, pas compétents, etc… ?” Alors, ne comptez pas sur eux ni avec eux, comptez avec d’autres ou simplement sur vous-même, mais il est inutile d’en faire toute une histoire, en se plaignant de ls sempiternelle incompétence des autres. Cessez donc d’attendre et faites votre boulot, c’est le plus sûr moyen d’entraîner les autres dans le mouvement, sans vous poser trop de questions.
Ainsi, avant de compter avec les autres, l’exemplarité du manager serait de compter d’abord sur soi-même, justement pour entrainer les autres dans la danse de l’excellence, à partir de son propre engagement. Donnez le bon exemple et capitalisez sur l’effet de modélisation, en montrant aux autres ce que vous apprécieriez chez eux : qu’ils en fassent autant, qu’ils se prennent en charge eux-mêmes, qu’ils prennent des initiatives concertées, qu’ils soient un peu audacieux, entreprenants, qu’ils aient quelques idées et le minimum d’énergie en eux mêmes pour puiser l’élan de commencer à les mettre en oeuvre par eux-mêmes… Vous pouvez exprimer ce souhait, vous pouvez en faire la demande, mais ne comptez pas dessus. Comptez plutôt avec, avec plaisir, quand vous avez la bonne surprise que cela survient. Si vous êtes attentif aux bonnes surprises (plutôt qu’aux mauvaises), vous en verrez de plus en plus, et votre vie deviendra un parcours de bonnes surprises et de belles opportunités.
De bons principes à cultiver
- Les collaborateurs ont des ressources et des points forts pour résoudre les problèmes
- Les difficultés ne peuvent pas durer, puisque tout change sans cesse.
- Le rôle du manager est de repérer et d’amplifier le changement
- Les exceptions au problème sont une ressource précieuse. Identifier les conditions des situations où le problème ne se pose pas, nous donne des indications précieuses sur la manière d’éviter le problème
- Il n’est pas indispensable d’en savoir beaucoup sur le problème pour le résoudre
- Connaître la cause d’un problème n’aide pas forcément à le résoudre : un petit pas positif est la seule chose qui soit nécessaire pour amorcer le changement. Comprendre pourquoi n’est pas nécessaire, du moment que l’interlocuteur voit “comment” (comment s’en sortir)
- Dans l’approche systémique, il est reconnu qu’un changement dans une partie du système peut entraîner des changements dans une autre partie du système. Le coach orienté solutions valorise le client dès qu’un petit changement positif est obtenu.
- Avec l’orientation solutions, la plupart des objectifs sont atteints plus rapidement, puisqu’on fait l’économie du rappel du contexte, de l’analyse des causes, de l’inventaire des mauvaises solutions qui n’ont pas fonctionné, et de toutes les émotions négatives que ces pensées toxiques suscitent
- Nous ne cherchons pas la meilleure manière de voir, mais accompagnons celle à laquelle croit le plus notre client.
- L’orientation solutions se focalise sur ce qui est réalisable et qui peut être changé plutôt que sur ce qui est inaccessible et qui ne peut être changé.
- Penser solutions est un apprentissage qui crée beaucoup de valeur. Il est très intéressant de pratiquer cette approche pour aider les autres à changer de paradigme, afin de s’ouvrir à l’espace solutions…`