Le bien être au travail nous est aussi utile et précieux que l’épreuve et la difficulté :

La nécessité du bien être au travail

La vie ne peut être faite que de contraintes et de devoirs, de choses à faire les unes après les autres, qui nous épuisent, tandis que nous perdons nous-même à courir après je ne sais quel objectif lointain, dont on se raconte qu’on s’en rapprocherait en faisant d’abord tout ce qui est écrit sur la todo liste interminable.

Bien sûr il faut faire des choses, et assumer un certain nombre de devoirs, faire face à un certain nombre de contraintes (dont toutes ne sont d’ailleurs pas désagréables). Mais il faut équilibrer ces nécessités par des moments de plaisir, des instants de bien être.

La qualité de vie au travail en équipe

Je connais un leader, qui reçoit régulièrement et individuellement ses Directeurs dans un restaurant du golf du Morbihan, en pleine nature, et qui passe ensuite une ou deux heures avec eux à se promener, pour passer ensemble un moment de convivialité et de bien être, tout en parlant aussi de sujets difficiles. Il me confiait que le cadre plaisant favorise des relations de meilleure qualité, un plus grand épanouissement du bien être chez chacun, offrant ainsi la possibilité de se dire des choses vraies et courageuses, plutôt que de chercher à manoeuvrer pour éviter la rencontre. Ceci est très intelligent. Cela ne coûte pas plus cher que de se voir deux heures dans un bureau, en situation de stress parfois. Ce rituel, qui reste toutefois un peu exceptionnel, est très apprécié et permet de nouer des relations plus profondes et plus authentiques entre un patron et ses N-1. C’est pourquoi aussi, les séminaires d’équipe doivent d’abord être des moments de bien être, des instants de pause, où l’on souffle et où l’on peut dialoguer autrement. Le décadrage et le changement de rythme participent au changement de point de vue, ils permettent d’ élargir son cadre de référence.

Le bien être au travail, au service de la performance

Les instants de bien être au travail, nous consolident dans ce que nous avons de meilleur. Les sensations de bien être au travail favorisent des hormones bénéfiques à la santé de l’organisme. Les émotions positives favorisent la performance collective. Elles ouvrent à la confiance en soi et à la coopération (Une étude réalisée par Daniel Goleman auprès des équipes les plus performantes montre que celles-ci reçoivent entre 3 et 11 messages positifs contre seulement 1 message négatif). Alors n’hésitez pas à partager avec votre équipe des feed-backs positifs, qui viennent du fond de votre propre expérience de bien être au travail. A partir de cet état calme et positif, vous appréciez ce que vous voyez, vous pouvez en déceler l’aspect positif, qui passe inaperçu sinon, quand vous êtes occupé à penser à je ne sais qui concernant l’instant d’avant ou l’instant d’après. Le bien-être que vous cultivez en vous-même, est ce qu’il y a de meilleur à partager. Cet état de bien être au travail est un partage bien meilleur que de transmettre des objectifs, des consignes, des explications, des corrections, etc… (qui sont pourtant également nécessaires). Il modélise ce que les autres peuvent également vivre et apprécier, maintenant, indépendamment des circonstances extérieures. C’est un état accessible à notre condition humaine, qui que l’on soit, et qui n’a rien à voir avec ce qui se passe à l’extérieur. Certains vont même jusqu’à penser que les situations extérieures sont en fait le reflet de notre connexion ou notre déconnexion avec cet état intérieur. Par exemple, si vous êtes en paix avec vous-même à l’intérieur, vos relations extérieures sont fluides, tandis que si ce n’est pas le cas, des conflits émergent autour de vous en résonance avec vos divisions intérieures. Il y a deux voies possibles :

  • vous agissez à l’extérieur pour résoudre les difficultés extérieures, en espérant inconsciemment que cela aura un effet positif sur vos difficultés intérieures
  • vous travaillez directement sur vos difficultés intérieures, et cela a immédiatement un effet de résonance positive sur les situations extérieures…

Ces deux approches ne s’excluent pas l’une l’autre, vous n’êtes pas obligé de choisir, vous pouvez les conduire parallèlement. Comment pourriez-vous encore imaginer un instant que vous puissiez être « performant » à l’extérieur, sans travailler sur vous-même d’abord et en même temps ?

Moralité : Cultivez l’art de vivre au travail

Le bien être est un art de vivre. Il faut apprendre à manger bien (en se faisant plaisir tout en cultivant l’équilibre), à dormir bien, à apprécier les plaisirs de la vie sous toutes ses formes. Ce n’est pas une raison pour devenir un « jouisseur sans lendemain », mais apprécier l’instant présent depuis un état de Présence à soi-même (a lieu de dormir au fond du wagon) est certainement la manière la plus stimulante de devenir ce que nous sommes, tout en ne refusant rien de l’expérience de l’instant présent. C’est le travail d’une vie, de chaque instant, et de chaque instant de bien être, même au travers des difficultés et de la souffrance qui ne peut entamer ce bien être fondamental de notre nature intrinsèque, à condition d’y accéder et de savoir s’y maintenir. C’est un art, celui de la sagesse exercée ! Voir aussi : Etre heureux !

Etre serein, trouver la paix intérieure ?

C'est beaucoup plus simple que vous ne l'imaginez. Quelques séances de coaching peuvent vous aider à vous recentrer, à y voir clair et à prendre quelques décisions salutaires. Ne restez pas seul(e) avec votre difficulté. Voyez courageusement comment la résoudre, ou comment vivre avec !

Voyons ce qu'on pourrait faire ensemble...

Les critères du bien-être au travail

L’institut Galluop a mené une étude pour savoir quelles étaient les raisons qui faisaient qu’on rentrait le soir chez soi, heureux d’avoir passé une bonne journée au travail : 1. Je sais ce que l’on attend de moi 2. J’ai les moyens et l’équipement nécessaires pour bien faire mon travail 3. J’ai l’opportunité tous les jours de faire quelque chose que je fais vraiment bien 4. Dans les sept derniers jours, j’ai été félicité pour la qualité du travail que j’ai fait 5. Quelqu’un dans l’entreprise me considère comme une vraie personne 6. Quelqu’un encourage mon développement 7. Au travail mon point de vue compte 8. La mission ou l’objet de mon entreprise me rappelle que mon travail est important 9. Mes collègues sont attentifs à faire du travail de qualité 10. J’ai un vrai ami au travail 11. Au cours des six derniers mois, quelqu’un dans l’entreprise m’a parlé de mes progrès 12. L’année dernière, j’ai eu différentes occasions d’apprendre et de progresser. Cette liste a de quoi inspirer pour instaurer plus de bonheur au travail dans les organisations.

La France, pas très heureuse ?

Selon la dernière étude Steelcase1, livrée au printemps 2016, sur 17 pays étudiés, les salariés français seraient les moins heureux au travail. Conséquence de ce mal-être, ils seraient moins impliqués… Le constat doit être pris au sérieux, d’autant que deux économistes, Olivier Pastré, membre du Cercle des Economistes et Alexandre Jost, fondateur de la Fabrique Spinoza, estimaient en 2013 qu’une amélioration du bien être des salariés aurait pour effet d’induire un gain de croissance, pour l’économie française, de l’ordre de 1 %….

Le bien-être en entreprise est un des éléments clés qui permettra aux entreprises d’être plus créatives et surtout plus productives, que celles qui ne s’en soucieront pas. En effet, le fait qu’un salarié soit heureux au travail n’aura que des effets bénéfiques pour l’organisation :

Comment faire, alors, pour rendre ses salariés heureux et motivés ? Au-delà d’un changement de culture d’entreprise et de style managérial, d’autres pistes sont à étudier pour lutter contre le désengagement, l’absentéisme et le turnover, qui sont autant de coûts considérables pour n’importe quelle organisation. Si l’on regarde l’étude de Steelcase, on s’aperçoit que les Français sont parmi ceux qui ne travaillent que rarement de chez eux (19 % quelquefois et 79 % jamais, contre une moyenne de 36 % dans les 17 pays étudiés). Depuis le confinement, cela a dû heureusement changer les usages.

Les vertus du télétravail

Instaurez la possibilité de travailler au moins un jour par semaine de la maison. La recherche le prouve, on est plus efficace, car moins dérangé, et on peut se consacrer, au calme, à ses tâches. Sans oublier un autre bénéfice : la confiance démontrée de cette façon aux salariés génèrera certainement une amélioration des conditions de vie, de l’efficacité, de la reconnaissance et de la fidélisation. Là encore, donnez l’exemple : travaillez vous même à distance de temps en temps, tout en restant joignable. Vous constaterez que vous serez plus concentré. Avez-vous remarqué comme on est efficace quand on travaille dans le TGV par exemple ? Pas d’interruptions, et une très grande productivité !

Préparer une réunion dans le train, boucler un budget le soir à la maison, répondre à des e-mails dans le bus… Tous les moments passés par un manager à travailler hors cadre professionnel relèvent d’une tâche dont le suivi et la reconnaissance sont difficiles, car il s’agit souvent d’un télétravail ponctuel et informel. Avec l’essor des tablettes, smartphones et des tiers-lieux de travail, on devient tous des travailleurs nomades : où vous voulez, quand vous voulez !

Nota : Le télétravail peut s’effectuer depuis le domicile, un télécentre, un bureau satellite ou de manière nomade (lieux de travail différents selon l’activité à réaliser), dans le cadre du travail salarié, mais aussi depuis des espaces partagés (coworking), dans le cadre du télétravail indépendant. Le « télétravail nomade » a été encouragé par la mondialisation économique.

Cette nouvelle forme de travail offre de sérieux avantages

Avantages pour le collaborateur :

Avantages pour l’entreprise :

Lorsqu’ils sont interrogés sur les avantages et les prérequis du travail à distance, les utilisateurs de cette pratique font ressortir plusieurs caractéristiques :

Combattre le stress sur le lieu de travail

Certes, il faut parfois savoir donner un coup de collier, surtout si une « deadline » importante approche, mais pas question de gérer les équipes par la pression. Le stress est l’ennemi de la performance. Les effets à long-terme sont trop néfastes. En effet, en situation répétitive de stress, le cerveau opte pour la solution de repli ou celle d’une plus grande raideur. De quoi tuer la créativité, la fluidité et l’authenticité des relations…

Encourager le quart d’heure de sieste professionnelle ! La plupart de vos salariés aimeraient faire des micro-siestes. Malheureusement, personne n’ose aller dormir 15 minutes, si la direction de l’entreprise ne l’a pas clairement autorisé et même qu’elle la recommande. Si vous avez un peu de budget, créez donc directement une salle de sieste composée de grands poufs et d’une lumière tamisée.

Des cours de yoga corporate au bureau ?

Vous pouvez aussi organiser des cours de pleine conscience, ou un week-end en équipe où vous consommerez de la nourriture detox, pratiquerez la méditation, vivrez en communion avec la nature et surtout éteindrez vos téléphones portables.

Les effets de cours de yoga ou de Qi Gong au travail sont très bénéfiques, et immédiatement constatés. Non seulement en terme de santé physique (en réduisant les tensions musculaires dues à la position assise, par exemple) mais aussi pour le moral, la mémoire, et la concentration. La pratique du yoga et les principes du Qi gong, améliorent les défenses immunitaires et diminue les maux de tête. Cela contribue à réduire elles arrêts de travail et limite les épidémies (une personne en bonne santé n’est pas quelqu’un qui va contaminer les autres avec sa gastro ou sa grippe)

Faites venir un professeur de yoga dans votre entreprise et organisez des cours de façon régulière (une ou deux fois par semaine). Evidemment, si vous y participez, vous donnerez non seulement l’exemple, mais aussi l’envie à d’autres de pratiquer… à moins que cela ne fasse fuir tout le monde ? 🙂

Au travail, la pratique du yoga permet de soulager le stress. Bienfait nécessaire quand on sait qu’en 2017, 24% des salariés français étaient en état d’hyper stress, selon le panel de Stimulus, cabinet indépendant de conseil aux entreprises spécialisé dans la santé psychologique au travail. Faire entrer le yoga dans le quotidien de l’open space, apporte donc aux membres de la tribu des outils immédiatement mobilisables pour relâcher la pression, se concentrer sur une prise de parole à venir, soulager une douleur au dos ou aux cervicales… En effet, les salariés passent de nombreuses heures par jour assis à leur bureau et sont souvent soumis à des rythmes de travail intenses. Or quand l’angoisse monte, la respiration s’accélère et le rythme cardiaque augmente. Apprendre à gérer sa respiration et se relaxer permet de calmer le pouls, de retrouver un souffle régulier et se départir de cette angoisse. Ainsi les employés apprennent à réagir plus calmement et avec assurance en se laissant moins submerger par les émotions. Plus encore, du côté postural, le yoga atténue ou supprime les maux de dos liés à une mauvaise position devant l’ordinateur, les migraines dues aux écrans, les douleurs liées au syndrome du canal carpien…

3 vidéos sur la qualité de vie au travail

Selon l’Accord national interprofessionnel (ANI) signé en juin 2013 par les partenaires sociaux, « les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail et leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci déterminent la perception de la qualité de vie au travail qui en résulte ». Cette définition donne une idée du large périmètre recouvert par le concept de QVT, lié aux conditions de travail qui concernent à la fois : → L’environnement (physique, technique, organisationnel, rela- tionnel) dans lequel le salarié remplit ses missions ; → Ses conditions d’emploi (carrière, formation…) ; → Les éléments de sa vie quotidienne en rapport avec son travail
(ex. : trajets domicile-lieu de travail, équilibre vie profession- nelle-vie privée). Pour sa part, la HAS définit ainsi l’objectif de la qualité de vie au travail : « Concilier les modalités de l’amélioration des conditions de travail et de vie pour les professionnels et la performance globale des établissements de santé. »

Ces vidéos sur le bien-être au travail ont été élaborées par l’anact, agence nationale

Comment concrètement améliorer la qualité de vie au travail ?

Comment se lancer concrètement dans des améliorations du bien-être au travail ?

Quelques pistes pour favoriser le bien-être sur le lieu de travail suggérées par l’ANACT : Bonheur au travail Orygin conseil

La gentillesse. La bienveillance est vaine si elle se contente d’incantations et de proclamations. Elle doit s’incarner dans des comportements. Il s’agit d’attitudes souvent très simples, mais que l’on oublie parfois, pris dans la pression du quotidien. Un climat bienveillant au travail s’instaure, entre autres, par des règles de base de politesse et de courtoisie. Attention à ne pas assimiler “gentil” avec “trop gentil” ou “naïf” ou “manque d’autorité” ou carrément “idiot”.  La gentillesse, qu’on appelle aussi « bienveillance », nous fait voir la vie plus belle, les autres plus beaux, nous rend nous-même plus beaux et rend les interactions plus saines, plus paisibles avec des impacts positifs sur l’efficacité individuelle et collective. Certains pensent que la gentillesse n’a pas de place dans le travail, pourtant la gentillesse rapproche les individus et rend la vie tellement plus sympa !

Les nouvelles technologies de la communication. Quantité de dispositifs électroniques et d’outils pour lesquels souvent nous apprenons sur le tas. Un auto-apprentissage à tâtons, plus focalisé sur les dimensions techniques et pragmatiques que sur les aspects méthodologiques, avec une impasse sur les enjeux et les risques.

La coopération et l’approche gagnant-gagnant. Il ne suffit pas de créer un collectif en arborant le mot “coopération” pour qu’une coopération vive efficacement, respectueuse de chaque individu, de sa réalité, de ses perceptions et de ses aspirations. Une coopération où le projet social et économique ne prenne pas le pas sur la QVT des individus qui y sont engagés. La coopération est la base même de l’efficacité collective.

La confiance. Ne nous le cachons pas : nous vivons dans une société de la défiance où caméras, géolocalisation, contrôles de police, contrôle de gestion se chargent de nous faire rester dans le droit chemin, même si les statistiques montrent que les “tricheurs” ne seraient qu’une très petite minorité. La paradigme erroné est le suivant : puisque la confiance n’est pas possible avec quelques individus, alors adoptons la défiance vis-à-vis de tout le monde. La confiance, le droit à l’erreur, l’expérimentation, l’indulgence … et la bienveillance sont un ensemble de valeurs et de pratiques qu’il faut conjuguer pour améliorer la QVT.  Ces qualités humaines, qui se perdent dans nos organisations de travail doivent être reconnues comme fortement contributives (au même titre que les heures passées, et les compétences techniques acquises), encouragées, valorisées.

La démocratie. En tant que citoyens français, nous vivons dans un état démocratique et on peut imaginer que beaucoup d’entre-nous sont dans l’ambivalence : d’une part, le sentiment de chance et de fierté d’être citoyen dans une démocratie ; d’autre part, le sentiment que la façon de jouer la démocratie est insatisfaisante, en particulier parce que des élites, souvent loin de la réalité du terrain, décident pour toutes et tous. Développer plus de sentiment démocratique au quotidien dans l’entreprise est probablement une piste à creuser, notamment en termes d management de proximité, pour favoriser plus de bien-être au travail.

La gratitude attitude : Encourager des pratiques de gratitude est une sérieuse piste à encourager :  « Merci pour la clarté de ta présentation », « Vous avez vraiment fait preuve de patience ce matin avec le client », « La bonne organisation de l’équipe a permis de faire face au rush, bravo à tous »… Ces petites phrases ne sont pas anodines. Faire régulièrement des retours positifs sur le travail des autres leur procure bien-être au travail. Et rien ne remplace la gratitude entre pairs. « En effet, il n’y a pas mieux placé que quelqu’un qui fait le même travail que vous pour savoir tout ce que cela requiert de créativité, d’efforts et d’intelligence, et donc pour le féliciter dans ce sens, Mais un salarié peut aussi exprimer sa reconnaissance à son manager. Cela ne se fait pratiquement jamais car nous sommes dans la croyance que la reconnaissance doit venir du haut vers le bas. Ce n’est pas parce qu’on a un statut de manager que l’on a complètement perdu le besoin d’être reconnu. (voir à ce sujet : Les bienfaits de la gratitude)

4 étapes clés pour construire une démarche de qualité de vie au travail

1 S’INTERROGER sur la pertinence de la mise en place d’une démarche QVT tant au niveau collectif que sur le contexte dans lequel elle va se déployer (par exemple, en saisissant l’oppor tunité d’une direction commune entre établissements, ou encore en conjuguant cette nouvelle politique avec le travail sur le PAPRI- PACT*). 2 DÉFINIR les objectifs globaux de la démarche « qualité de vie au travail » en fonction des problématiques rencontrées dans l’établissement (ex. : accroître la capa- cité d’expression des agents quant à leur travail, prévenir les risques psycho- sociaux, favoriser l’égalité des chances et le développement professionnel).
3 CHOISIR et créer un système de pilotage de la démarche QVT (ex. : Comité de pilotage paritaire, groupe projet) et identifier les acteurs à mobiliser pour mettre en application les mesures envisagées. Ce groupe de pilotage joue à la fois le rôle de concepteur, d’animateur, de coordinateur et de régulateur des projets de bien être sur le lieu professionnel. 4 CONCLURE sur un accord de méthode décrivant les grandes lignes du processus à mettre en œuvre ainsi que les moyens maté- riels et humains à mobiliser.

Des coachs experts peuvent accompagner ce genre de méthodes, en les customisant aux mesures de votre culture d’entreprise, en les adaptant à vos enjeux et vos échéances. Prenez contact avec nous pour un coaching d’organisation !

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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