Comment progresser en coaching ? Comment devenir un excellent coach individuel et d’équipe?
Progresser en coaching sur 4 axes
Vous le savez, nous raisonnons souvent en 4 directions, nous adossant à la symbolique des 4 éléments, pour être sûr d’être complets et équilibrés dans la pensée. Ainsi, progresser en coaching en passera par 4 axes :
- développer votre disponibilité, ici et maintenant et la manière d’offrir un espace de dialogue ouvert et sécurisant (poser un cadre structurant)
- approfondir votre authenticité dans une relation juste à l’autre : respectueuse et sans ingérence, mais depuis une qualité de présence, qui ne laisse aucun doute sur votre empathie et votre engagement à ses côtés
- vous laisser inspirer par les idées nouvelles et vos propres intuitions, oser l’impertinence et la créativité pour ouvrir de nouvelles perspectives
- être de plus en plus lucide et objectif, pour focaliser sur une action ambitieuse et réaliste, centrée sur des choses simples qui débouchent sur des résultats significatifs, qui font vraiment la différence pour vos clients
C’est un chemin de vie, le vôtre, un chemin personnel, que vous offrez à vos clients, en toute humilité. Vous n’avez rien d’autre à proposer de toutes façons ! Vous ne pouvez vous appuyer que sur ce que vous êtes pour tendre un miroir propre et efficace, où la relation se chargera de provoquer les insights nécessaires aux changements que vise le client.
Pour progresser en coaching, il faut pratiquer !
Il y a quelque chose de singulier dans le coaching, c’est qu’on n’a pas tant que ça l’occasion de pratiquer ! Si nous considérons n’importe quel métier, un boulanger par exemple, il fait du pain toute la journée, tandis que la plupart du temps, un coach ne coach effectivement que quelques heures par jour, et encore pas tous les jours… Que dire des coachs qui ont du mal à se lancer, et qui restent plusieurs mois sans avoir de clients, après leur formation initiale ? Même les coachs les plus senior, exercent plusieurs activités : de la formation, de l’écriture, des conférences, etc… Mais du coaching pur, la très grande majorité des coachs du marché ne l’exercent que quelques heures par semaine !
Alors, à votre avis, quel serait le niveau d’excellence d’un boulanger qui ne ferait du pain que quelques heures par semaine, ou d’un champion Olympique qui ne s’entraînerait que quelques heures par semaine ? Il n’y a pas de mystère, pour devenir excellent dans quelque domaine que ce soit, il faut pratiquer énormément ! Tous les jours. Et analyser sa pratique, se confronter à d’autres professionnels, lire sur le sujet, parler du sujet, être tout le temps dans le bain quoi…
Pour progresser en coaching, il faut penser coaching, manger coaching, dormir coaching, tout coaching. Mais, évidemment, on ne peut pas « faire du coaching » tout le temps : il faut bien dormir, manger, se détendre, etc… Je ne vous propose pas de devenir des obsédés du coaching pour progresser en coaching.
Bien au contraire ! Mais je vous invite cependant à cultiver un tel alignement dans votre vie, que l’extérieur soit la pleine expression de l’intérieur, et que votre vocation de coach s’exprime en toute occasion, à chaque instant. Expliquons-nous…
Etre coach tout le temps
On l’a déjà dit ailleurs, pour bien faire du coaching, il faut « être coach« , et cela c’est possible tout le temps. Tout le temps ? Oui, et cela veut dire : maintenant. Vous savez s’il existe une infinité du temps, une sorte d’éternité, elle a forcément déjà commencé, et c’est en ce moment même qu’elle a lieu ! Etre coach, cela déborde du cadre de la relation d’accompagnement de quelqu’un en particulier, c’est presque une position de vie, qui s’applique en général et s’illustre dans toutes sortes de situations du quotidien, en dehors de la pratique du coaching envers un client.
On ne peut pas faire du coaching tout le temps : pour cela il faut être face ou avec un « client », à qui l’on tend le miroir. Mais on peut « être coach » tout le temps : un coach est d’abord un entraîneur, et même quand il n’y a personne à entraîner, il s’entraîne tout seul, et cet état d’esprit « rayonne » naturellement !…Un peu comme le soleil rayonne, qu’il y ait du monde sur la plage pour en profiter ou non, qu’il y ait des nuages en-dessous ou pas. C’est sa nature, c’est comme ça, et c’est tout ! Sympa comme image, non ?
Fréquenter des coachs
Nous avons crée un club de coachs, pour vous aider justement à ne pas rester seul, et à fréquenter d’autres coachs, à nouer des relations professionnels avec d’autres praticiens, à vous entraîner entre vous, en attendant d’aimanter des clients qui seront naturellement attirés, au fur et à mesure que votre « être coach » se révèlera naturellement à l’extérieur dans le monde.
Pas besoin de forcer, ni de vous agiter. J’ai vu plein d’exemples personnels et autour de moi, où l’on agite en vain et où par contre dans le repos, les résultats espérés viennent tout seuls comme par enchantement…
Encore faut-il mettre un peu le nez à la fenêtre et faire le minimum pour se faire connaître. Mais vous avez probablement déjà fait ce minimum :
- vous êtes très motivé, vous avez très envie de faire du coaching, de rencontrer des clients, de les aider, de créer de la valeur pour eux… c’est probablement votre vocation, et c’est tout à votre honneur !
- vous vous êtes formés et vous êtes même en supervision
- vous vous êtes inscrit à une fédération de coaching (ou vous y songez… moi aussi j’y ai songé longtemps, et maintenant je m’en suis retiré 🙂 tellement cela ne m’a pas apporté de clients.
- vous parlez de votre activité autour de vous, au sein de votre réseau. Vous avez peut-être même déjà préparé votre « pitch »… Si ce n’est pas le cas, vous avez loupé une marche, il faut commencer par là !
Se coacher soi-même
Personnellement, je travaille sur les 4 axes que j’ai cités au début de cet article :
- cultiver ma disponibilité, par un haut niveau de vitalité (il en faut pour soutenir la concentration et être pleinement créatif et challenging)
- me centrer dans une relation juste à l’autre
- me laisser inspirer par les idées nouvelles
- être de plus en plus lucide et objectif
Voici comment je m’y prends en ce moment :
1-D’abord, j’entretiens ma santé, parce que j’ai besoin de vitalité pour être concentré intensément et longtemps. J’ai besoin d’être en forme pour offrir une qualité de présence aux autres, au lieu de roupiller au fond du wagon. Pour ça c’est très simple, je fais essentiellement 3 choses :
- un peu de gym tous les matins (10 minutes, pas plus, essentiellement des étirements)
- de la marche : j’adore faire du coaching téléphonique en marchant
- je suis attentif à mes sensations et je m’enracine dans mon corps
- (bon, et puis de temps en temps, je fais un peu de yoga… j’évite de manger des trucs mauvais pour mon corps, et je me refais la cerise en dormant longtemps quand il m’arrive de devoir dormir peu)
2- Ensuite, je « pratique » la méditation, ou du moins je m’assieds un peu en silence, tous les jours. Je ne suis pas très doué (si cela a un sens de dire une ânerie pareille, mais je le dis pour nous décomplexer), mais j’aime bien : je reste là tranquille, à respirer, à ressentir, à constater…
Et puis quand je me promène dans la campagne autour de chez moi, je regarde et j’aime la nature.
J’appelle cela la marche contemplative, je dis merci à tout ce que je vois, considérant que ce n’est pas qu’un décor, amis que c’est vivant, que cela m’aime aussi, que cela est conscient de « moi » qui l’aime… Je m’imprègne du sentiment et de la sensation, que mon petit corps fait partie de cette immensité que j’embrasse dans son ensemble dans ce que je suis. Bref, chacun sa façon de prier !
3- Après, je n’aime pas lire, mais je lis quand même, parce que j’aime les idées que je pioche dans les livres. Cela m’inspire. Je trouve cela sympa de commander par internet toutes sortes de livres, et de pouvoir lire les grands penseurs, les grands sages de toutes les traditions, comme ça en restant chez moi.
4- Et puis, je crois qu’on a une tête pour penser, et il faut s’en servir. Mais pas penser des idées (ça je viens d’en parler, à propos des livres et des échanges avec les autres), penser profondément, « verticalement ». Se mettre à l’écoute d’une pensée métaphysique et géométrique, presque sans mots. Mais il faut quand même « Réfléchir »…
C’est intéressant ce mot de « réflexion » : qu’est-ce qui se réfléchit dans quoi ? Là encore, la réflexion n’est pas l’agitation mentale des pensées ordinaires, ce serait plutôt comme des traits de conscience qui jaillissent du fond de la tranquillité.
Voilà, j’ai essayé de partager avec vous, comment je vis en ce moment, en tant que « coach en chemin », comment je progresse en coaching, jour après jour, non seulement en pratiquant auprès de mes clients, mais aussi en écoutant la profondeur de l’expérience, n’importe laquelle, celle qui est là, tout de suite. Bien à vous, du fond de ma caverne 🙂
Devenir excellent coach !
C’est quoi devenir excellent ? Est-ce simplement d’afficher une succession de performances ? C’est quoi la réussite ? Est-ce l’obsession de la performance ? Ne serait-ce pas plutôt d’entrer résolument dans la dynamique du travail, instant après instant ? …quitte à ne pas se soucier autant du résultat et de la performance !
Quand l’inspiration arrivera,
… qu’elle me trouve en train de travailler ! »
Pablo Picasso
Le meilleur moment pour progresser est maintenant. Découvrez comment notre supervision systémique peut optimiser votre pratique du coaching et faire évoluer votre business.
En savoir plusDevenir excellent par le travail
Après avoir défini une vision claire et en désirant fortement le résultat, le travail est la clé. C’est à-dire, l’engagement total dans l’action. Après, évidemment il faut persévérer.
Et pour cela, il faut procéder à des ajustements de nos croyances : il faut croire en soi, ne pas douter…tout en se remettant en cause périodiquement, pour progresser ! Le coaching peut vous aider à :
- clarifier vos aspirations et intentions, de façon à définir un projet percutant et bien aligné avec vos valeurs profondes
- augmenter votre confiance en soi, vous empêcher de vous auto-saboter, vous concentrer sur vos talents et oser agir (passer à l’acte)
- vous concentrer sur une action à la fois, en focalisant votre énergie, pas à pas
Devenir excellent, dans l’instant présent
Que tu gagnes ou que tu perdes, on oublie et on passe au match suivant ! Peu importe le résultat, du moment qu’on progresse et qu’on y prend plaisir. Le résultat viendra bien assez tôt, et il est presque superflu. Quand on croit qu’on deviendra enfin quelqu’un quand on aura un résultat, on se trompe lourdement, car on ne deviendra jamais quelqu’un, avec ou sans résultat.
De plus, croire qu’on pourrait se définir grâce à un résultat est une autre illusion, une réduction de soi.
En fait, à bien y regarder, dans une introspection profonde il est presque impossible de se définir : on est… un champ de conscience, un courant d’énergie, une progression, un amour de l’action ou une action d’amour… mais sûrement pas « quelqu’un ». Ce serait trop misérable !
Devenir un excellent coach
L’excellence en coaching n’est pas plus un mythe qu’en Tennis ou en peinture. Il est possible de s’inscrire dans une dynamique de progrès permanents, en travaillant sur soi, et en s’ouvrant à l’autre (sachant se montrer vulnérable et accessible), en cultivant un regard positif, une attention aux interactions, une orientation vers les solutions, une focalisation sur l’action vers les résultats !
Lorsque vous osez vous éloigner des liens de surface pour aller vers des relations authentiques, vous devez vous mettre à nu, vous découvrir… pour que l’autre vous découvre, et lui offrir l’opportunité de vous aimer.
Cela rejoint le point de vie de Claude Onesta, malgré les apparences, puisqu’avec beaucoup de lucidité, il rappelle que dans une équipe, on n’est pas là pour « s’aimer »… Cela dit, rien ne l’interdit 🙂
Loin de toute médiocrité, faire de son mieux, procède d’un engagement à outrance ! Vivre l’instant comme si c’était la première fois ET comme si c’était la dernière fois :
- avec fraîcheur et étonnement
- et avec désespoir (c’est-à-dire une qualité d’attention sans espoir, sans projection, sans attente…)
Voir cela bien en face et clairement, sans fantasme et avec objectivité, est une condition nécessaire pour vivre l’excellence, dans n’importe quel domaine d’activité. L’excellence est un processus, pas un état. On ne s’installe pas dans l’excellence une fois pour toutes ! En revanche on peut décider à chaque instant de se maintenir dans cette qualité d’engagement, engagement à faire de son mieux, maintenant !
- Comme si votre vie en dépendait
- Comme s’il n’existait rien d’autre que cela à faire…
L’essence du coaching véritable
‘essence du coaching tient déjà dans les mots que l’on emploie pour en parler. Ainsi, réfléchissons à la signification le mot « coaché » et à son impact sur la relation de coaching…
N’est-ce pas très important de bien comprendre ce qu’on dit et d’être précis dans le choix des mots qu’on emploie quand on a un métier d’experts du Langage ?
Dans l’essence du coaching, le client est actif !
Le mot « Coaché », définit le bénéficiaire du coaching de façon passive, comme s’il était un objet et pas un sujet, acteur et auteur de son coaching. On s’étonne ensuite que les coachs donnent des conseils au lieu de se contenter d’accompagner.
-
- Au sens propre « on ne se fait pas coacher », mais on se coache soi-même avec l’accompagnement d’un coach, qui ne nous fait rien du tout, à part tenir compagnie en inclinant le miroir.
- Si on disait qu’on se fait coacher, cela ressemblerait à la situation quand on amène son animal passif chez le véto pour le faire soigner.
La relation de coaching est fondamentalement paritaire
Le misérable mot « coaché » ne désigne le bénéficiaire du coaching uniquement que par sa relation au coach (qui du coup prend une place centrale qui n’est pas la sienne). Du coup, on perd la notion de parité entre deux sujets, autonomes et acteurs de leur vie !
Contraire à l’essence du coaching
Vous voyez : C’est contraire à l’esprit du coaching par deux aspects. Vous ne trouvez pas que c’est déjà beaucoup pour un seul mot, alors que nous sommes sensés être des experts du langage et de la sémantique ? Certes dans le mot client, il y a le côté mercantile, mais cela ne nous gêne pas, puisque c’est la réalité : le client paye !
Je passe mon temps dans les formations à expliquer aux stagiaires qu’eux même n’aimeraient probablement pas qu’on les appelle des « clientés »… J’ai pris moi-même conscience de cette subtilité (assez énorme) lors d’une formation qu’animait Alain Cardon, que j’ai trouvé très pertinent une fois de plus ce jour-là.
Exceller en coaching
Comment la posture de coach préserve de l’imposture…
Vous connaissez ces techniques d’animation de groupe :
- Ne pas laisser l’opposition se faire en mode « ceci OU cela » et le recadrer en « ceci ET cela »
- Visualiser au tableau par des schémas éclairants, pour aider le groupe à comprendre ce qu’il est en train de vivre ou d’élaborer
- Recentrer le débat périodiquement, poliment mais avec fermeté, ne craignant pas de confronter si nécessaire
- Réguler les tensions et les conflits émergents.
- Synthétiser et élucider, expliciter l’implicite.
Des compétences comme celles-ci, qui ne sont que la base du métier, il faut bien évidemment les repérer, les apprendre et s’y entraîner jusqu’à l’excellence. Quand on les maîtrise, c’est là seulement que peut démarrer le vrai coaching !
Et c’est quoi le « vrai coaching » alors ?
En évoquant les exemples ci-dessus, on parlait d’animation, dont le coaching se sert pour conduire la dynamique des groupes. Mais en soi ce n’est pas encore du coaching. Il en va de même que pour l’ingénierie de préparation : proposer une architecture miroir qui met le client collectif en position de se voir, pour conscientiser ses valeurs et croyances. C’est un une bonne base (indispensable) mais ce n’est pas encore du coaching !
L’art du coaching d’équipe va consister en des petits coups de miroir bien affutés, proposés de-ci de-là, avec tact et impertinence :
– Tantôt des feed-backs, confortant les points d’appui
– Tantôt des questions puissantes, décalant le regard et provoquant des prises de conscience
– Mais aussi bien sûr : du décadrage, du challenge, voire de la confrontation, ou du recadrage
– Sans oublier de mettre en lumière les processus parallèles, d’incarner le comportement cible, de modéliser le système de réussite, etc…
Tout cela, cela s’apprend. Mais pas au travers d’un module porte clés, qui vient en bonus d’une formation au coaching individuel, comme s’il s’agissait d’un petit truc en plus.
C’est l’essence même du métier de coach d’équipe, qui nécessite une formation de fond et un maximum de training !
Devenir coach d’équipe ?
Nous sommes NRGy, une école de coaching spécialisée dans le coaching d’équipe, et nous croyons qu’entre les grands systèmes difficiles à manœuvrer, et l’individu souvent impuissant … il y a la dynamique d’équipe. Et que c’est elle qui accomplit des miracles lorsqu’elle est bien coachée !
Et nous lançons actuellement notre tout nouveau programme de certification de coach d’équipe. Pour en bénéficier, réservez dès maintenant votre entretien stratégique avec l’un de nos coachs formateurs pour valider et clarifier l’adéquation de votre projet avec les exigences de notre école. Voir le lien en commentaire
Pour bien réussir un coaching d’équipe, il faut penser stratégique : concevoir un dispositif miroir dans lequel l’équipe va passer par des prises de conscience, en élaborant des solutions aux résultats visés.
Pour cela, il faut avoir construit un itinéraire de travail à la fois logique et pédagogique, dans grâce auquel l’équipe va réussir et se trouver performante.
Cela va non seulement faire avancer les choses, mais aussi donner confiance et motiver les troupes.
Mais pour autant, il faut savoir lâcher le conducteur ! On ne conduit pas un coaching d’équipe comme on anime une formation.
Conduire au « bruit du moteur » (et pas à l’aiguille du compte tours) :
– Peut-être que le moteur tourne au ralenti ? C’est signe que la question est mal posée, que la motivation n’est pas au rendez-vous, que les conditions ne sont pas réunies. Il faut faire miroir, poser des questions, confronter, challenger… du pain béni pour un coach digne de ce nom !
– Peut-être que le moteur tourne comme une mécanique bien huilée ? Il faut montrer le processus, pour modéliser les éléments clés du système de réussite, ce qui valorise le groupe et le fait grandir en conscience de ses points forts. Excellent !
– Peut-être que la machine s’emballe, les gens s’excitent : irritations et tensions ou enthousiasmes fébriles et agitation frénétique ? Il faut encore une fois tendre le miroir et questionner le processus : qu’est-ce qui vous arrive ? de quoi avez-vous besoin ? qu’est-ce qui sécuriserait votre projet ?
Ne pas respecter l’itinéraire à la lettre
Dans 80% des cas, on ne respecte pas à la lettre les « conducteurs » ou « déroulés » que l’on se prépare à l’avance, parce qu’on ne peut pas et parce que ce n’est pas souhaitable.
Faut-il une bonne préparation, se traduisant par une bonne architecture : évidemment !
Faut-il s’en tenir au conducteur : évidemment pas !
Un bon coach doit être agile et savoir s’adapter. Mais il le pourra d’autant mieux que sa préparation sera excellente. C’est elle qui donnera la capacité à traiter en direct et à chaud s’il le faut les phénomènes de groupe qu’on est justement venu coacher.
Evidemment, pour devenir professionnel de quoi que ce soit, il ne suffit pas d’avoir l’envie et le talent, il faut commencer par se former !
Nous vous invitons à réservez dès maintenant votre entretien stratégique avec l’un de nos coachs formateurs pour valider et clarifier l’adéquation de votre projet avec les exigences de notre école. (liens en commentaire)
En attendant nous avons construit une formation TERRE, EAU, AIR, FEU entièrement gratuite spécialement à votre attention. (liens en commentaire ci-dessous pour accéder aux vidéos gratuites de la formation)