Dans cet article, nous allons explorer deux niveaux de conscience complémentaires en coaching. Le premier est la conscience mentale ordinaire, le second favorise l’insight du client et les possibilité de le coacher en profondeur. Expliquons-nous… Il existe deux positions en soi-même (et pas seulement en coaching). Je voudrais donc partager avec vous cette expérience à vivre de deux niveaux de conscience possibles, en fonction des positions internes que vous adoptez lors d’un coaching :
- Il y a une position en avant de soi-même, concentré dans le front, et focalisé sur un point précis en face de soi : une question, un mot, un détail…
- L’autre position est comme plus en arrière de soi, comme si vous vous appuyiez sur votre dossier de chaise (mais cela n’a rien à voir avec la position du corps. Je ne prends cette image que pour vous mettre sur la piste d’une sensation intérieure, d’un mouvement de l’attention), à partir de laquelle vous embrassez la situation dans sa globalité depuis un espace plus vaste que vous. Dans cette seconde position, on voit à la fois son propre point de vue, celui de l’autre, et l’ensemble de la situation. Les personnes ayant une forte expérience de la relation d’aide et de l’écoute flottante situeront aisément dans leur propre expérience à quelles sensations je fais référence…
Dans la deuxième position, prenant appui à l’arrière plan de votre conscience, tout semble être à l’intérieur de vous. Vous voyez les choses avec à la fois, plus de recul et plus de « présence ».
Il n’est pas question de dire qu’une position est meilleure que l’autre, car les deux niveaux de conscience sont complémentaires et sont vécus simultanément lorsqu’on prend appui sur la deuxième position (qui, en quelque sorte : englobe et inclut la première)
Nous aimerions vous mettre sur la piste de cette manière sensorielle et sensitive de percevoir les situations depuis cette deuxième position…
L’enjeu du coaching systémique
Citons ici un paragraphe de notre article « favoriser l’insight en coaching » : « Nous savons que les solutions sont toujours à l’extérieur du problème, car si elles étaient à l’intérieur : le client les auraient trouvées tout seul depuis longtemps.
Tout l’art du coaching est d’élargir le cadre de référence du client pour le faire sortir de l’espace problème dans lequel il s’est enfermé, à partir de sa manière d’envisager son contexte et son objectif.
Or il se trouve que cette manière de poser des problèmes est dans son mental, à l’extérieur de lui-même en quelque sorte, comme l’illustre le schéma suivant :
Pour se connecter avec ses solutions intimes, qui sont au centre de son être (et à l’extérieur du problème posé par le mental), le client doit revenir au centre de lui-même. Ce retour au centre, brutal parfois, est ce que l’on appelle l’insight en coaching, la prise de conscience. Et c’est ce que l’on recherche en coaching, pour le plus grand bénéfice du client, qui trouve par lui-même et en lui-même les solutions auxquelles il aspire pour résoudre le problème dans lequel il s’est exilé tout seul ! »
La vie n’est pas un problème en soi ! C’est le mental qui fabrique des problèmes avec la vie. Le problème du client est donc toujours dans son mental, puisque c’est avec le mental qu’il le formule. Pour le sortir de l’espace problème et l’amener vers la source des solutions « out of the box », le jeu est de le faire revenir vers son centre.
Deux niveaux de conscience en coaching
Depuis son mental, le client a une vision pointue (cônique), qui focalise sur le problème, tandis que depuis le centre de son être, le client (comme le coach) dispose d’une vision globale (plutôt sphérique) de la situation, incluant les solutions et les ressources pour la mettre en oeuvre.
Utilisant le reflet systémique, pour que le client change son regard (au sens propre : il doit passer de niveaux de conscience côniques à une conscience sphérique), le coach modélise le comportement cible que le client cherche à s’approprier, en changeant lui-même sa posture intérieure, et donc ses niveaux de conscience.
Je vais essayer de vous faire mieux comprendre de quel glissement il s’agit, en prenant quelques exemples :
- Supposons que vous vous promeniez quelque part, disons dans la nature. Habituellement, la perception que vous avez de cette situation est que votre corps, auquel vous vous identifiez généralement, se déplace dans un environnement. Eh bien essayez maintenant de vous représenter que vous n’êtes pas « dans » ce corps, mais qu’au contraire c’est ce corps qui est « en » vous-même, dans votre conscience globale du tout, et que l’environnement, tout comme le corps sont à l’intérieur vous, dans votre champ de conscience. Amusez-vous à passer d’un point de vue à l’autre, et cela vous donnera une expérience de ce qu’on ressent quand on passe de la vision cônique à la vision sphérique.
- Autre exemple, vous écoutez quelqu’un vous parler et vous êtes concentré sur le contenu de sa communication. Mais si maintenant, sans cesser d’entendre, vous percevez d’une manière plus globale, à la fois et en même temps : la relation entre vous, l’environnement autour de vous, et vos sensations corporelles, tandis que vous continuez de comprendre mentalement ce que l’interlocuteur vous dit, vous passez d’une focalisation pointue sur le message, à une ouverture plus globale à l’ensemble de la situation, perçue comme plus vaste.
- Si en plus d’écouter les mots, vous écoutez les sons, et même le silence entre les sons, vous aurez peut-être la sensation que les mots ne sont que des mouvements superficiels à la surface du silence qui siège en profondeur, dans le calme immobile de la conscience que vous êtes. Sans confondre l’individu que vous êtes avec celui qu’est le client, vous serez conscient d’être dans un même bain vital, un champ de conscience commune, dans lequel vous prenez chacun vos appuis… Il ne s’agit pas de « fusionner », ce qui ne serait qu’une illusion (préjudiciable au coaching de surcroît) puisque vous gardez la conscience d’une différenciation claire.
Voici encore un autre exemple de passage des niveaux de conscience cônique à la conscience sphérique :
Le meilleur moment pour progresser est maintenant. Découvrez comment notre supervision systémique peut optimiser votre pratique du coaching et faire évoluer votre business.
En savoir plusNiveaux de conscience élargie
Etant vous-même, bien centré, dans votre corps adoptant une posture de vigilance détendue, et accueillant intérieurement une attitude d’attention non dirigée, vous allez ressentir une « ouverture » et une disponibilité, comme la sensation d’une Présence qui écoute et qui vous inspire des réponses non personnelles (qui n’impliquent pas votre ego). Cette Présence n’est pas celle de quelqu’un d’autre, c’est tout simplement vous-même, mais un vous-même « élargi », qui n’est pas limité à votre personnage ordinaire. Aussi paradoxal que cela puisse vous paraître si vous n’avez pas encore fait cette expérience : vous êtes totalement impliqué dans la situation, mais absolument pas d’une manière personnelle. Vous êtes là, présent, sans intention autre que celle d’accompagner, sans effort spécifique, sinon celui de rester attentif à cet état de disponibilité. Vous êtes en quelque sorte : à l’écoute de l’écoute elle-même ! Veillant simplement à ne pas vous laisser entraîner par des agitations intérieures, vous voyez des pensées se présenter, vous les observez tranquillement de façon détachée, sans partir avec. Dans ces niveaux de conscience, vous accueillez le client autrement que lorsque vous l’écoutez uniquement avec votre mental. Alors, vous serez peut-être surpris de constater une sorte de coaching spontané, comme si « cela » se mettait à coacher à travers vous, sans que vous ne fassiez d’effort. Je précise, que décrit ainsi, on pourrait imaginer un coach en transe, les yeux dans le vide, grand expert de la méditation, versé dans les arts internes… Il n’en est rien, c’est heureusement beaucoup plus accessible que ça : vous oscillez simplement entre les deux niveaux de conscience, vous êtes à la fois mentalement présent, et en même temps attentif d’une manière plus vaste et radiante, qu’avec la simple activité du mental ordinaire.
Niveaux de conscience… OK, mais gardons bien les pieds sur terre !
Sans aller jusqu’à un « état de conscience modifié », comme en parlent certains chamanes et thérapeutes modernes, il s’agit juste d’une autre manière d’envisager les choses. C’est plutôt une orientation énergétique, une sorte de position de vie, que le coach approfondit dans sa vie de tous les jours et qu’il pratique ponctuellement lors des séances de coaching, se laissant glisser délibérément d’une préoccupation mentale ordinaire à une disponibilité plus profonde au service de son client, tout en restant normalement impliqué dans la conversation de coaching. Pour vous rassurer sur ce point, je vous livre un extrait d’une vidéo de témoignage de Matthieu Kassovitz l’acteur, qui parle de son expérience des arts martiaux, et évoque cet état de conscience un peu modifié, une conscience globale. Et on ne peut pas dire que les boxeurs dont il parle soient des gens à côté de leurs pompes (ni forcément de grands intellectuels). Ecoutez plutôt :
Et cet état de centration et de disponibilité favorise (induit parfois) la possibilité de la même expérience chez le client, qui va pouvoir ainsi se décentrer du problème vers les solutions, en déplaçant son « centre de gravité psychique » de la périphérie du mental vers la profondeur de son être (voir notre premier schéma) … C’est difficile d’expliquer ces mécanismes subtils de bascule entre niveaux de conscience, de l’insight et du coaching de niveau 2. J’essaie de le faire pour vous qui appréciez nos articles. Pour les participants de notre cycle de formation au coaching d’équipe, c’est d’ailleurs peut-être plus facile de comprendre ces notions que pour vous, parce que pendant la formation, on pratique avec eux, et cet état étant contagieux, ils en font l’expérience à nos côtés pendant les séquences de training. N’hésitez pas à nous appeler pour en savoir plus et nous rejoindre dans nos sessions de training…
Nota 1 : on peut avoir des pensées à propos de l’instant présent, mais on ne peut pas penser l’instant présent, car l’instant présent n’est pas une « chose » que le mental pourrait manipuler, ou formuler en tant que pensée. En effet, l’instant présent n’est pas pensable, il est notre nature profonde, laquelle englobe notre mental. Celui-ci ne peut pas comprendre(prendre en soi) ni contenir ce qui le contient !
Nota 2 : Dans cet article, nous avons choisi pour des raisons didactiques de situer deux plans dans la conscience comme deux pieds sur lesquels nous pourrions prendre appui simultanément ou alternativement. En fait, à y regarder de plus près encore, il « semble » qu’il y ait deux plans, tandis qu’il n’y en a en fait qu’un seul, celui de la conscience profonde (que nous avons ici désigné comme l’arrière plan). L’autre n’ayant en fait aucune essence, il n’a d « ex-istence » que le temps que la conscience continue de s’identifier à cette restriction de soi qu’on appelle un ego, un soi séparé… En définitive, la seule « chose » intemporelle, c’est la conscience, consciente d’elle-même et de tout ce qu’elle contient et crée. A explorer… en prenant votre temps, sans tabou, ni a priori, par l’expérience directe et une réflexion simple…
7 niveaux de conscience…
Dans la littérature de l’ésotérisme et du yoga, vous entendrez parler de 7 niveaux de conscience de même qu’on parle de 7 chakras. Mais parfois, on envisage 11 plexus, ou huit. Il en va de même des stades de conscience : selon les points de vue, et les traditions, on en compte pas forcément le même nombre. Ce n’est pas très important d’ailleurs. Quoi qu’il en soit, même si cette subdivision en sept n’est pas utile dans le coaching, on peut tout de même la préciser quelque peu pour débroussailler la question, si elle vous intéresse. Les 3 premiers niveaux de conscience sont évidents : le sommeil profond, le rêve et l’état de veille. Dans le sommeil profond, on observe une légère activité cérébrale: nous répondons aux stimuli tels que le toucher, le son ou la lumière intense, mais nos sens sont engourdis. Nous faisons preuve d’un degré de perception et de cognition très faible. Quand nous rêvons,, nous sommes légèrement plus alertes et plus conscients qu’au stade précédent. Lorsque nous sommes plongés dans un rêve, nous faisons l’expérience d’images, de pensées et d’émotions. Le monde onirique peut même nous sembler parfois tellement réel que nous avons besoin de quelques minutes à notre réveil pour réaliser qu’il ne s’agissait que d’un rêve alors que nous reprenons pied progressivement dans l’état de veille ordinaire.. Ce troisième stade de la conscience, l’état de veille, caractérise tous les moments conscients de notre quotidien. Il représente donc à peu près deux tiers du temps d’une journée. Sur ce niveau de conscience, l’activité cérébrale est légèrement supérieure à celle des deux stades précédents.
4ème et 5ème stade de la conscience :
Le quatrième des niveaux de conscience se manifeste lorsque nous méditons, tranquilles et silencieux, attentifs et alertes. Comme si nous étions témoin observateur de notre vie, nous acceptons de ne pas contrôler, tout en restant disponible et conscient de ce qui se manifeste dans le champ de la conscience, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ce quatrième pallier de conscience induit des effets physiologiques, tant dans le cerveau que dans le corps : diminution du stress et de la pression artérielle, ralentissement du rythme cardiaque, activité hormonale ralentie, respiration plus régulière et plus subtile, activité cérébrale différente de celle de l’état de veille. On observe également un renforcement du système immunitaire. C’est comme si les batteries se rechargeaient. D’où l’intérêt, ne serait-ce que pour la vitalité, de pratiquer l’assise silencieuse de temps en temps (ou régulièrement). Par ailleurs l’expérience de cet état de conscience, aide à s’enraciner et procure de la stabilité psychologique.
5ème niveau
À ce niveau, la conscience se tourne vers elle-même, : l’évidence s’impose à l’esprit que « je suis ». Ceci n’est toutefois pas démontrable, mais c’est une conviction première, sans raisonnement, même si celui-ci peut survenir après dans l’état de veille, lorsque nous lisons de la philosophie à propos de cet état par exemple. Ce niveau de la conscience est accessible à tout moment : nous pouvons être en train d’avoir une conversation banale avec quelqu’un, tout en étant témoin du corps-esprit en activité : « je suis et j’en suis conscient, tandis que le corps-mental s’active à la conversation ». Dans cet état, nous nous sentons reliés au grand tout, et ne restons pas limités par le sentiment restrictif d’être une entité séparée. La question d cela comparaison ne se pose pas. La conscience de « je suis » est unitaire. Ce niveau de conscience favorise l’émergence de l’intuition accédant à une perception des situations dans leur globalité. Certains appellent cela la pleine conscience, qui se vit d’ailleurs facilement en état de méditation.
6 et 7ème niveaux de conscience
Après, on quitte le champ de l’expérience ordinaire pour accéder à des états dits « mystiques »… Au 6ème aspect de la conscience, en plus de nous ressentir comme une présence ou « la » présence (puisqu’à ce stade il n’ya pas de comparaison), nous sentons cette présence dans toute chose. Les croyants et les mystiques parlent alors de la présence de Dieu dans tout ce qui nous entoure, dans le visible et l’invisible, les minéraux, les végétaux, les animaux et chaque être humain. Le septième niveau est la conscience de l’unité. Nous pouvons le qualifier d’état d’illumination ou d’éveil spirituel. Nous semblons être connectés à l’intelligence infinie, et jouir d’une très grande confiance, totalement présents à l’instant présent.. Les facettes du moi sont vues depuis le « Soi » impersonnel et universel. En pratique, ces niveaux de conscience peuvent être vécus d’une façon très discrète, sans forcément traverser des manifestations spirituelles extraordinaires. Quand la conscience de l’unité s’intègre progressivement à la vie de tous les jours, il n’y a rien d’exceptionnel à le vivre, si ce n’est une joie profonde, un état intérieur de tranquillité, des capacités de travail et de concentration augmentées, un sentiment fraternel, amical envers tous, et un grand jour de la vie. Parfois aussi, la conscience plonge en elle-même dans des états de Samadhi, connus et clarifiés dans le yoga traditionnel. Mais ce n’est pas la peine d’en faire toute une histoire, en se projetant dans des fantasmes qui rendent ces expériences autant désirables qu’inaccessibles. Il est préférable de rester honnête et calme, profondément connecté à l’instant présent à travers ses sensations physiques, et laisser les expériences se succéder sans tenter de les manipuler. J’utilise parfois la métaphore du corps pour faire comprendre qu’on peut passer très simplement d’un état de conscience à l’autre, comme si on déplaçait le poids de son corps du pied arrière vers le pied avant :
On peut jouer entre les différents plans de la conscience. A l’avant plan, il y a la conversation, à l’arrière plan il y a la relation. C’est ainsi qu’on accède à l’écoute profonde et aux inspirations pour provoquer des insights puissants…
Nota : L’état de sommeil paraît contraint (on ne contrôle pas ce qui s’y passe, puisqu’on dort), alors que l’état de veille paraît libre. Du coup on a l’impression de reprendre le contrôle de soi et de sa vie lorsque l’on s’éveille de l’état de sommeil (voir : « maîtrise de soi« ).
Mais à y regarder de plus près, l’état de veille est également très « contraint » , et peut-être plus que l’état de « sommeil », qui est peut-être plus proche qu’on le croit de la liberté de la vraie nature de l’être…
La question se pose alors de savoir comment s’éveiller de l’état de veille, de même qu’on s’éveille le matin de l’état de sommeil profond après une nuit d’inconscience relative ? Comment s’éveiller aux niveaux de conscience plus éveillés ? Ceci est l’objet d’une recherche expériencielle de la spiritualité, vécue pratiquement et non seulement en imagination ou en états de conscience modifiés.
Coaching de l’énergie
Dans le coaching de l’énergie, on ne travaille pas vraiment directement sur ces chakras et enveloppes énergétiques. le travail est plus subtil que ça, en quelque sorte, et aussi plus pragmatique. Le coaching de l’énergie, est une approche systémique, à la fois spirituelle, sensible et pragmatique, dans le sens où elle intègre la dimension de l’esprit, tout en étant résolument incarnée :
- le coaching concerne le plus subtil de l’être humain, qu’il envisage dans toutes ses dimensions. C’est à partir de ce qu’il est (un corps, mais aussi une âme et un esprit) que le coach accompagne son client, lui-même considéré comme une unité corps-âme-esprit.
- le coaching est aussi une prestation concrète et contractuelle, un vrai métier, avec ses pratiques et ses outils, avec son éthique et sa déontologie, avec ses enjeux de performance pour le client et de rentabilité pour le coach.
Dans cette formation de 4 jours, vous vous perfectionnerez dans l’approche de chaque énergie :
ENERGIE DE LA TERRE
- Vous rendre pleinement et immédiatement disponible (entrer en relation authentique dès le début d’une séance)
- Repérer, assumer et renforcer l’impact de votre empreinte de coach (comment en cas de difficulté vous recentrer sur vos appuis pour marquer le point ?)
ENERGIE DE L’EAU
- Approfondir et affiner votre écoute de l’énergie (ce qui vibre en l’autre, ce qui vibre en vous et ce qui vibre entre vous, tout en distinguant clairement ce qui se joue à l’avant plan et l’arrière plan de la relation et dans chacun de vous…)
- Utiliser la confrontation comme antidote à l’interprétation (recours à la confrontation miroir au service de l’objectif du client)
ENERGIE DE L’AIR
- Vous approprier un protocole visuel qui permet au client de mettre à plat son système de pensées et de se recentrer dans l’instant présent en se libérant de leur emprise
- Découvrir une méthode simple, qui permet au client d’explorer sa situation depuis 4 points de vues complémentaires, et de bâtir une solution équilibrée à partir de 4 éclairages puissants
ENERGIE DU FEU
- Repérer comment offrir la possibilité au client de passer tout de suite à un coaching de niveau 2
- Cesser de nourrir des intentions par rapport à la réussite du coaching, pour ne pas porter la séance et permettre à votre client de se brancher à sa propre source d’alimentation