Il arrive souvent qu’entre un client et son coach des transferts aient lieu à leur insu.

Chers coachs systémiques, alors que nous explorons les profondeurs de notre pratique en supervision, je vous invite à une introspection sur un outil puissant et parfois subtil : les reflets systémiques et les échos systémiques. Ces manifestations, qui se révèlent dans le système que nous accompagnons (client, équipe, organisation), mais aussi parfois dans la relation de coaching elle-même, sont des indicateurs précieux des dynamiques sous-jacentes. Elles peuvent être des répétitions de schémas, des résonances émotionnelles, ou des parallèles comportementaux qui pointent vers des enjeux systémiques plus larges.

Pour débuter notre réflexion, voici trois questions que je vous propose d’explorer :

  1. Comment affûtez-vous votre perception pour capter ces reflets et échos systémiques, souvent imperceptibles au premier abord, et comment les différencier des simples bruits de fond ou des projections personnelles ?
  2. Une fois identifiés, de quelle manière utilisez-vous concrètement ces reflets et répétitions pour informer votre coaching, aider le système à prendre conscience de ses dynamiques, et initier des changements pertinents ?
  3. Quels sont les défis que vous rencontrez le plus fréquemment lorsque vous travaillez avec les reflets et échos systémiques, et comment assurez-vous que leur utilisation reste éthique et au service du client ?

Dans cet article, je vais mettre en parallèle deux séances :

Et nous verrons Les Échos entre les deux séances, ainsi que les déductions que pourra en faire le coach pour préparer sa prochaine séance de crachin avec son client suite à cette supervision.

A Retenir

La Séance de Coaching : Quand l’Émotion Parasite la Relation

Marie, coach expérimentée de 42 ans, accueille Thomas dans son cabinet pour leur cinquième séance. Thomas, directeur commercial de 38 ans, traverse une période difficile avec son équipe. Dès qu’il s’installe dans le fauteuil, Marie perçoit cette tension familière qui l’envahit depuis leurs premières rencontres.

« Je n’y arrive plus, Marie. Mon équipe me résiste sur tout. J’ai l’impression qu’ils font exprès de ne pas comprendre mes directives. Hier encore, Sarah a remis en question ma stratégie devant tout le monde en réunion. »

Marie sent immédiatement une vague d’agacement monter. Cette sensation la dérange et la surprend. Habituellement si posée, elle ressent une irritation inexpliquable face aux plaintes répétées de Thomas. Elle tente de se recentrer, mais ses propres émotions semblent prendre le dessus.

« Thomas, vous dites que votre équipe vous résiste… Mais qu’est-ce que vous faites concrètement pour créer l’adhésion ? » La question sort plus sèchement qu’elle ne l’aurait voulu.

Thomas se raidit. « Mais enfin, Marie, je fais tout ce qu’il faut ! Je leur explique, je reformule, je prends du temps avec chacun. C’est eux qui ne veulent pas comprendre ! »

Marie sent son cœur s’accélérer. Cette exaspération de Thomas fait écho à quelque chose en elle, mais elle n’arrive pas à identifier quoi. Elle a envie de lui dire d’arrêter de se plaindre, de prendre ses responsabilités. Cette pensée la choque elle-même.

« Écoutez, Thomas, peut-être que le problème ne vient pas uniquement de votre équipe. Avez-vous déjà envisagé que votre façon de communiquer puisse… »

« Non mais attendez ! » l’interrompt Thomas, se redressant dans son fauteuil. « Vous aussi, vous me remettez en question ! C’est exactement ce que fait mon équipe. Personne ne me soutient, personne ne comprend la pression que j’ai ! »

Marie se sent prise au piège. Une partie d’elle a envie de le rassurer, de lui dire qu’elle le comprend, qu’effectivement c’est difficile. Mais une autre partie, plus forte, veut le secouer, lui faire voir sa part de responsabilité. Elle oscille entre empathie excessive et agacement croissant.

« Thomas, je ne vous remets pas en question, j’essaie de vous aider à voir… »

« Mais si ! Vous faites comme eux ! Vous ne me soutenez pas ! » Thomas a maintenant les larmes aux yeux. « J’ai l’impression que personne ne croit en moi. Même vous, mon coach, vous doutez de moi. »

Marie se sent complètement déstabilisée. Son cœur se serre devant la détresse de Thomas, mais simultanément, elle ressent une forte irritation face à ce qu’elle perçoit comme de la victimisation. Elle a l’impression d’être tiraillée entre deux pôles opposés : l’envie de le materner et celle de le confronter.

« Thomas, je… » Elle s’arrête, ne sachant plus quoi dire. La séance devient un dialogue de sourds. Plus elle tente de le faire réfléchir, plus il se braque. Plus il se braque, plus elle se sent agacée et coupable à la fois.

Les quarante minutes suivantes sont laborieuses. Marie oscille entre moments d’empathie où elle se fait rassurante et phases où elle devient presque directive, voire confrontante. Thomas réagit en miroir : tantôt reconnaissant pour sa compréhension, tantôt résistant face à ses interpellations.

Quand Thomas repart, Marie reste seule dans son bureau, épuisée et troublée. « Qu’est-ce qui m’arrive ? Je ne me reconnais pas avec ce client. » Elle a l’impression d’avoir été happée dans une dynamique qu’elle ne contrôle plus.

La Séance de Supervision : Quand l’Écho se Répète

Trois jours plus tard, Marie retrouve son superviseur, Paul, pour leur séance mensuelle. Paul, superviseur expérimenté en approche systémique, l’accueille dans son bureau lumineux.

« Bonjour Marie, comment allez-vous ? »

Marie s’installe, visiblement préoccupée. « Paul, j’ai besoin de votre aide. J’ai un client avec qui ça se passe mal et je ne comprends pas ce qui m’arrive. »

Elle commence à raconter sa séance avec Thomas, mais très vite, Paul remarque quelque chose d’inhabituel dans sa posture. Marie, habituellement si structurée dans ses présentations de cas, semble dispersée, émotionnellement chargée.

« Paul, je ne sais plus quoi faire avec lui. Il se plaint sans arrêt, il ne remet jamais rien en question, c’est toujours la faute des autres. J’ai envie de le secouer ! »

Paul observe Marie attentivement. Il perçoit une tension, une charge émotionnelle inhabituelle chez cette coach qu’il connaît pour sa mesure habituelle.

« Marie, que ressentez-vous quand vous me parlez de Thomas ? »

« De l’agacement ! Et ça me culpabilise parce que je sais que ce n’est pas professionnel. Mais il m’énerve avec ses plaintes constantes. Et en même temps, il me fait pitié. Je me sens tiraillée entre l’envie de le comprendre et celle de lui dire ses quatre vérités. »

Paul hoche la tête, mais ne répond pas immédiatement. Il laisse un silence s’installer. Marie commence à s’agiter sur sa chaise.

« Paul, vous ne dites rien. Vous pensez que je suis mauvaise coach ? »

« Qu’est-ce qui vous fait penser cela, Marie ? »

« Ben… vous ne me donnez pas de solution, vous ne me dites pas comment faire différemment. J’ai l’impression que vous me jugez. »

Paul sourit intérieurement. Il commence à percevoir l’écho systémique. Marie, en ce moment même, reproduit avec lui la dynamique qu’elle vit avec Thomas.

« Marie, comment Thomas réagit-il quand vous ne lui donnez pas immédiatement les réponses qu’il attend ? »

Marie s’arrête net. « Il… il se braque. Il dit que je ne le soutiens pas, que je le juge comme son équipe… » Sa voix se fait plus lente. « Oh… »

« Que remarquez-vous ? »

« Je… je suis en train de faire la même chose avec vous. Je vous demande des solutions immédiates, et quand vous prenez du recul, je me sens incomprise, jugée. »

Paul acquiesce. « Et que ressentez-vous maintenant que vous en prenez conscience ? »

« C’est troublant. J’ai envie de me justifier, de vous expliquer que Thomas est vraiment difficile, que ce n’est pas de ma faute si… »

« Si ? »

Marie s’arrête à nouveau. « Si je n’arrive pas à l’aider. Exactement comme Thomas dit que ce n’est pas de sa faute si son équipe ne le suit pas. »

Le silence s’installe. Marie semble réfléchir intensément.

« Marie, jusqu’où va votre demande d’accompagnement avec moi aujourd’hui ? » demande soudain le superviseur.

Marie le regarde, surprise. « Comment ça ? »

« Qu’est-ce que vous attendez vraiment de moi ? Des techniques pour gérer Thomas ? Une validation que vous êtes une bonne coach ? Ou l’exploration de ce qui se joue pour vous dans cette relation ? »

Marie reste silencieuse un long moment. « Je… je ne sais pas. J’ai envie que vous me rassuriez, que vous me disiez que Thomas est effectivement difficile et que ce n’est pas ma faute. Mais je sens que ce n’est pas ça qui va m’aider. »

« Qu’est-ce qui vous aiderait vraiment ? »

« Comprendre pourquoi je réagis comme ça avec lui. Pourquoi je me sens si… impliquée émotionnellement. »

Paul hoche la tête. « Et si nous explorions cela ensemble ? Êtes-vous prête à regarder ce qui se joue pour vous, même si c’est inconfortable ? »

Marie hésite. « Ça me fait peur. Et si je découvrais que je ne suis pas faite pour ce métier ? »

« Et si vous découvriez autre chose ? »

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L’Exploration à deux en supervision : Démêler les Échos systémiques

Paul invite Marie à explorer plus profondément sa réaction à Thomas. À travers un questionnement systémique, il l’aide à identifier que Thomas réveille en elle une part liée à sa propre relation à l’autorité et à la reconnaissance.

« Marie, dans votre histoire personnelle, quand avez-vous ressenti cette même frustration face à quelqu’un qui se plaignait sans se remette en question ? »

Les yeux de Marie s’écarquillent. « Mon frère… Mon frère cadet qui était toujours dans la plainte, et mes parents qui le consolaient constamment. Moi, l’aînée, j’avais l’impression de devoir être forte, responsable, et lui avait droit à la compassion. »

« Et que ressentiez-vous ? »

« De l’injustice. Et de la colère contre ma mère qui le consolait au lieu de le responsabiliser. Exactement ce que je ressens avec Thomas… »

Paul l’accompagne pour voir comment cette projection personnelle influence sa capacité à accompagner Thomas avec neutralité. Il l’aide aussi à identifier son propre besoin de reconnaissance qui transparaît dans sa demande de validation.

« Paul, je réalise que j’attends de Thomas qu’il progresse rapidement pour me prouver que je suis une bonne coach. Et quand il stagne, je le vis comme un échec personnel. »

« Et comment cette pression influence-t-elle votre posture de coach ? »

« Je deviens moins patiente, moins à l’écoute. Je veux le faire avancer de force au lieu de respecter son rythme. »

L’Art de la Supervision Systémique : Les Tours de Main

Paul utilise plusieurs leviers spécifiques à la supervision systémique :

Le jeu des échos : Il fait remarquer à Marie comment elle reproduit avec lui la dynamique qu’elle vit avec Thomas, créant une prise de conscience par l’expérience directe.

Le questionnement circulaire : « Si Thomas était là et vous entendait décrire votre agacement, que pensez-vous qu’il ressentirait ? » Cela permet à Marie de sortir de sa perspective unilatérale.

L’exploration des loyautés invisibles : Paul aide Marie à identifier comment ses loyautés familiales (être la « forte », celle qui ne se plaint pas) influencent sa réaction face aux plaintes de Thomas.

La vérification de la demande : En questionnant ce que Marie attend vraiment de lui, Paul modélise comment elle pourrait elle-même clarifier la demande réelle de Thomas.

Le recadrage positif : « Marie, votre réaction émotionnelle n’est pas un défaut, c’est une information précieuse sur ce qui se joue dans le système relationnel avec Thomas. »

Les Bénéfices en Cascade

Cette supervision transforme la compréhension de Marie. Elle réalise que ses émotions ne sont pas un obstacle mais un outil de compréhension du système relationnel. Elle développe une capacité métaréflexive qui enrichit considérablement sa pratique.

Pour Marie en tant que coach :

Pour Thomas en bout de course :

Lors de leur séance suivante, Marie aborde différemment la relation avec Thomas. Au lieu de lutter contre sa dynamique de plainte, elle l’explore : « Thomas, j’observe que vous exprimez beaucoup de frustrations concernant votre équipe. Qu’est-ce que ces frustrations vous apprennent sur vos besoins en tant que manager ? »

Cette nouvelle posture permet à Thomas de sortir progressivement de sa position de victime pour explorer sa part de responsabilité et ses leviers d’action.

Les Échos Systémiques : Une Richesse Méconnue

Les échos systémiques ne sont pas des dysfonctionnements mais des informations précieuses sur les dynamiques relationnelles en jeu. Quand un coach ressent des émotions fortes avec un client, cela révèle souvent des patterns relationnels que le client reproduit dans d’autres contextes.

La supervision systémique permet de transformer ces réactions en outils de compréhension et d’accompagnement. Elle offre un espace sécurisé pour explorer ces phénomènes sans jugement, développant ainsi l’intelligence relationnelle du coach.

Le superviseur modélise par sa propre posture ce que le coach peut développer : la capacité à accueillir les émotions et projections comme des informations sur le système plutôt que comme des obstacles à éviter.

Cette approche enrichit considérablement la pratique du coaching en donnant accès à des dimensions relationnelles et systémiques souvent invisibles mais toujours agissantes.

Vous Reconnaissez-vous Dans Cette Dynamique ?

Si cette situation fait écho à votre propre expérience de coach, si vous ressentez parfois ces projections et contre-transferts qui viennent parasiter vos séances, sachez que c’est non seulement normal mais aussi précieux.

La supervision systémique vous offre :

Ne restez plus seul(e) face à ces défis.

Ces échos systémiques sont une richesse à explorer, pas un obstacle à subir. Ils peuvent devenir vos meilleurs alliés pour un coaching plus profond et plus transformant.

Contactez-moi dès aujourd’hui pour découvrir comment la supervision systémique peut transformer votre pratique et enrichir votre accompagnement de vos clients.

Ensemble, transformons vos réactions émotionnelles en intelligence relationnelle au service de votre mission de coach.

Si vous ressentez le besoin d’un espace pour déposer, clarifier ou approfondir ce qui e joue dans vos séances de coaching, la supervision systémique est certainement un atout précieux pour vous.

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FAQ – Reflets et Échos Systémiques en Supervision de Coaching

Questions fréquentes sur la dynamique émotionnelle, les transferts et l'apport de la supervision systémique dans la pratique du coaching professionnel.

  • Que sont les échos systémiques en coaching et pourquoi sont-ils importants ?

    Les échos systémiques représentent des résonances émotionnelles ou comportementales qui émergent au sein du système accompagné (client, équipe, organisation), voire dans la relation même entre coach et client. Ils révèlent souvent des dynamiques relationnelles sous-jacentes et permettent d’identifier des schémas répétitifs ou des enjeux invisibles qui impactent la relation d’accompagnement. Les repérer permet au coach de mieux comprendre son client et d’ouvrir des pistes de changement profond.

  • Comment distinguer un écho systémique d’une projection personnelle en séance ?

    Pour différencier un véritable écho systémique d’une projection personnelle, il est essentiel de cultiver l’observation de soi, la prise de recul et la capacité de méta-réflexion. Se questionner sur l’origine de l’émotion ressentie, demander un retour au client, et confronter ses propres réflexes en supervision permet de discerner si l’émotion ou la réaction appartient au système ou au coach lui-même. La supervision constitue à ce titre un espace sécurisé pour clarifier ces phénomènes.

  • Quels sont les risques si le coach n’identifie pas les reflets et échos systémiques ?

    Ignorer ou méconnaître ces reflets et échos systémiques peut entraîner une aggravation des tensions, un appauvrissement de la relation, et parfois le développement de transferts ou contre-transferts contre-productifs. Le coach risque alors d’agir davantage selon ses propres enjeux plutôt qu’au service du client, ce qui freine la prise de conscience et le changement du côté du client.

  • Quelles techniques sont utilisées en supervision systémique pour traiter ces dynamiques ?

    La supervision systémique s’appuie notamment sur :

    • Le jeu des échos : identifier et nommer les dynamiques qui se répètent entre différentes relations (coach–client, coach–superviseur).
    • Le questionnement circulaire, qui invite à adopter de nouvelles perspectives.
    • L’exploration des loyautés et schémas familiaux invisibles.
    • Le recadrage positif des émotions comme outil de compréhension du système.
    • La vérification de la demande véritable du coach ou du client.

    Ces approches permettent au coach de mieux différencier ses propres enjeux de ceux du client et de transformer ses réactions en leviers d’accompagnement.

  • Quels sont les bénéfices à travailler avec les échos systémiques en supervision ?

    • Développer une intelligence relationnelle et systémique affinée.
    • Transformer ses émotions en boussole pour décoder le système accompagné.
    • Gagner en neutralité, patience et capacité d’écoute dans les accompagnements.
    • Éviter de « porter » ses clients ou de projeter ses propres attentes sur eux.

    Ce travail bénéficie à la fois au coach (renforcement de la posture, confiance, différenciation) et à ses clients (accompagnement plus neutre, plus profond et plus efficient).

  • Comment la supervision systémique permet-elle d’éviter les pièges du transfert et du contre-transfert ?

    En offrant un espace sécurisé d’exploration sans jugement, la supervision systémique aide le coach à identifier et accueillir ses propres réactions émotionnelles. Le coach, accompagné par son superviseur, peut ainsi différencier ce qui relève de lui-même de ce qui appartient au système du client. L’apport du regard externe du superviseur réduit fortement le risque de se laisser envahir par les transferts.

  • Est-il normal pour un coach de ressentir régulièrement de fortes émotions en séance ?

    Oui, ces phénomènes sont fréquents et font partie intégrante de la relation de coaching. Les réactions émotionnelles du coach ne sont pas nécessairement des faiblesses : elles constituent au contraire des indicateurs précieux pour comprendre le système du client. L’important est de savoir les identifier, les interroger et les mettre au service de l’accompagnement.

  • Existe-t-il des outils pour transformer ses réactions émotionnelles en leviers d’accompagnement ?

    Oui, la supervision systémique propose des outils concrets : exploration des émotions en méta-position, questionnement réflexif, analyse des situations miroir, ainsi que des exercices de clarification des enjeux personnels vs. professionnels. Ces pratiques renforcent le discernement du coach et l’aident à utiliser ses ressentis au service de la relation.

  • À qui s’adresse la supervision systémique ?

    La supervision systémique s’adresse à tous les coachs, quel que soit leur niveau d’expérience, qui souhaitent:

    • Affiner leur posture professionnelle
    • Développer une meilleure compréhension des dynamiques relationnelles
    • Transformer les moments de difficulté ou de doute en opportunités d’apprentissage
    • Disposer d’un espace confidentiel pour clarifier et approfondir leur pratique

    Elle est particulièrement pertinente lorsque le coach souhaite dépasser les impasses ou incompréhensions dans ses séances.

  • Comment bénéficier d’une supervision systémique ou en savoir plus ?

    Pour découvrir comment la supervision systémique peut enrichir votre pratique, contactez directement Paul Devaux ou consultez les tarifs de supervision. Il est aussi possible de prendre rendez-vous par téléphone au 06.71.84.97.06.

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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