Travailler moins n’est un objectif qui a du sens que si on n’aime pas son travail, ou si on travaille trop.

Beaucoup de personnes travaillent par passion, avec plaisir, dans un métier qui leur tient à coeur.

Cependant, hélas pour eux, beaucoup d’autres travaillent plus par obligation que par goût ou vocation.

Heureusement, certains de ceux qui travaillent donc par nécessité, y trouvent finalement leur compte, en se prenant au jeu.

Dans tous les cas, tout le monde est plus ou moins tenu par le rythme collectif, qui implique de toujours produire plus, avec moins de moyens. Et, alors que le sens nous échappe de plus en plus, tous travaillent plus qu’avant, et probablement trop… Chercher à travailler moins et mieux est donc une recherche tout-à-fait pertinente…

A Retenir

Complexification des tâches

Le monde se complexifie, il y a plus de règles administratives et de sécurité, il faut plus d’interactions qu’avant pour produire quelque chose, si bien que tout le monde semble dépendre de tout le monde et que bien peu de gens finalement produisent encore quelque chose de A à Z par eux-mêmes.

De plus, les tâches se complexifient, à cause des outils digitaux, qui sont cependant censés nous simplifier la vie…

La technologie joue en effet un rôle non négligeable dans l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée.

Donc, que ce soit par passion (ou addiction en ce qui concerne les workaholiques), ou par contrainte, tous travaillent finalement beaucoup.

Et nombre d’entre nous ont la désagréable impression de « perdre leur vie à la gagner » !

Et ceci est renforcé par le sentiment que le travail a perdu de son sens.

Perte de sens et dépit des professionnels

Il paraît que seuls 24% considèrent aujourd’hui le travail comme « très important » dans leur vie (contre 60% en 1990 !). Les priorités sont donc largement remises en question. Dorénavant, la quête de sens et l’équilibre personnel priment sur la recherche de statut ou de richesse.

Ainsi, 61% des salariés déclarent préférer réduire leur revenu si cela leur permet d’avoir plus de temps libre.

Et les employés ont de plus en plus tendance à s’en tenir strictement à leurs responsabilités sans aller au-delà, afin de préserver leur équilibre personnel. 

C’est donc une tendance de fond, même si elle n’est pas unanime, de plus en plus de gens aimeraient travailler moins.

D’autant que de fortes prises de conscience commencent enfin à éclore de partout sur notre responsabilité par rapport à l’équilibre de la vie sur notre planète. Nous ne comprenons toutefois pas encore que les changements de fond ne surviendront qu’à partir du moment où nous nous préoccuperons d’abord de l’écologie de notre propre esprit, avant de nous occuper de la matière.

Il s’agit de notre hygiène mentale ! Le coaching aide les personnes désireuses de se développer, en devenant à la fois plus vitales, plus sereines et plus efficaces :

Le risque écologique majeur nous saute aux yeux !

Les enjeux environnementaux accentuent encore la relativisation du rapport au travail (éco-anxiété). Devant les prises de conscience largement partagées des risques majeurs pour la sauvegarde de la vie sur notre planète, les enjeux des entreprises semblent bien dérisoires. Plus même, les entreprises et les politiques qui marchent ensemble, apparaissent coupables des solutions et des risques considérables qui pèsent sur les générations futures.

De plus en plus de professionnels cherchent des entreprises alignées avec les valeurs de respect de l’environnement et d’écologie des relations humaines. Beaucoup de jeunes gens s’orientent délibérément de façon préférentielle vers des secteurs qui participent activement à la transition énergétique.

Aggravé depuis la crise sanitaire, on peut tous ainsi constater un désenchantement collectif, et un désamour des travailleurs envers les entreprises, en lesquelles ils ont de moins en moins confiance, envers lesquelles ils se sentent moins fidèles parce qu’ils ne leur trouvent plus le sens que les générations précédentes croyaient y trouver.

On se demande même pourquoi les générations précédentes se tuaient à la tâche pour des gains misérables, et comment ils ont fait pour « croire » aux discours idéologiques de tous bords. Le désengagement actuel est donc somme toute assez sain, faisant état d’une amélioration de la lucidité collective, même si cela s’accompagne parfois d’une forme de déprime générale et de cynisme. l’épidémie de burn-outs est sans doute un prix à payer collectivement à la prise de conscience qui est en train d’éclore. La sagesse est antinomique avec le « trop » quel qu’il soit. Travailler est merveilleux, au sens de créer de la valeur pour autrui, mais travailler « trop » est un déséquilibre malsain, soit personnel soit sociétal :

Ainsi, tandis que la tendance lourde à vouloir travailler moins et vivre davantage pour soi s’affirme de plus en plus, un autre phénomène se produit tout-à-fait symétriquement, dans une forme d’excès inverse : le refuge compulsif dans le travail !

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Travailler de manière compulsive

Un nouveau terme est récemment apparu, celui de « workaholic » (une sorte d’alcoolisme du travail, qui ne consiste pas dans le fait de boire de l’alcool au travail, mais de travailler trop, au même titre que les alcooliques sont réputés boire trop).

Le workaholism, ou addiction au travail, est un phénomène de plus en plus fréquent dans le monde professionnel moderne. Ce comportement addictif a des conséquences sur la santé et sur la performance globale des entreprises.

La fausse croyance que nous serions vides à l’intérieur de nous-même, que nous n’aurions de valeur qu’à travers ce que nous réalisons, qu’à travers le regard de ceux avec lesquels nous interagissons dans le travail, amène beaucoup de travailleurs à s’engager sans mesure dans leur activité professionnelle. Ils y sacrifient même parfois leur vie privée, et leur santé (sans parler de leur vie intérieure, totalement négligée… Et c’est logique, si elle leur semble vide et sans valeur !)

Workaholisme ou engagement passionné ?

Les workaholiques présentent plusieurs caractéristiques qui les distinguent des personnes à l’engagement personnel fort.

Ces derniers peuvent travailler de longues heures par passion et pour atteindre des objectifs personnels. A contrario des workaholiques, qui semblent être plutôt poussés par une pression interne ou externe qui les amène à travailler de manière compulsive, indépendamment de leur satisfaction personnelle ou de leur propre bien-être.

Ils ont souvent du mal à prendre des pauses, continuent de répondre aux emails et aux appels professionnels en dehors des heures de travail, et trouvent difficile de se déconnecter même lorsqu’ils sont en congé. Ce comportement est souvent accompagné d’une identification de soi à la réussite professionnelle, avec une pression interne intense pour performer.

Etes-vous workaholic ?

  1. Êtes-vous plus attiré par votre travail ou l’activité professionnelle que par les relations privées, les loisirs ou le repos ?
  2. Rapportez-vous du travail chez vous, le soir, durant les week-ends, ou en vacances ?
  3. Êtes-vous plus à l’aise de parler boulot plutôt que de parler d’autre chose ?
  4. Vous arrive-t-il de passer des nuits blanches à travailler ?
  5. Vous ennuyez-vous quand vous n’êtes pas au travail ?
  6. Avez-vous l’impression d’être sous pression à cause de votre travail ?
  7. Résistez-vous à prendre du repos, même lorsque vous vous sentez fatigué, éventuellement à cause de votre sens du devoir ?
  8. ePrenez-vous des stimulants pour rester éveillé plus longtemps, pour être plus concentré, plus efficace, vous sentir plus sûr de vous ?
  9. Acceptez-vous toujours plus de responsabilités supplémentaires (tâches, mandats, bénévolats), parce que vous avez envie de faire progresser votre carrière, ou par crainte que les choses soient mal faites, si vous ne vous en mêlez pas vous-même ?
  10. Vous arrive-t-il régulièrement de sous-estimer le temps nécessaire pour accomplir certains travaux, et de devoir ensuite rester plus tard pour les terminer ?
  11. Vous plongez-vous dans l’activité pour éviter de ressentir l’ennui, la le vide, l’anxiété, la honte, ou la peine ?
  12. Avez-vous peur de perdre votre emploi si vous ne travaillez pas dur tout le temps ?
  13. Etes-vous toujours en train d’effectuer plusieurs tâches simultanément pour en accomplir davantage, et par crainte sinon de ne pas venir à bout de vos divers engagements ?
  14. Vos horaires et conditions de travail ont-ils déjà été cause de soucis de santé ou de problèmes relationnelles en famille ?
  15. Rêvez-vous parfois ou fréquemment de situations professionnelles ?
  16. Diriez-vous que vous êtes anxieux par rapport à la réalisation de vos objectifs professionnels ?
  17. Vous sentez-vous agité quand vous êtes inactif, ou désespéré de trouver un jour l’équilibre ?
  18. Vous sentez-vous prisonnier des mails, sms, messages, et réseaux sociaux à caractère pro ?

Plusieurs réponses affirmatives indiquent que vous êtes susceptible de subir un problème de dépendance au travail. Des associations existent qui peuvent vous aider. Ce questionnaire est inspiré du site de l’une d’entre elles.

Déséquilibre Vie Pro/Vie Perso 

Les addictés au travail tendent à sacrifier leur temps personnel et familial au profit de leur vie professionnelle. Ce déséquilibre peut entraîner des conflits dans les relations personnelles et une diminution du temps consacré à des loisirs et des activités sociales.

L’isolement social est donc un effet fréquent de déséquilibre vie privée vie pro. Les individus accros au travail peuvent se retrouver de plus en plus isolés de leurs collègues et amis, car leur vie tourne principalement autour de leur travail, réduisant ainsi les interactions sociales.

La vie sociale se dégrade, ainsi que la vie intime et le rapport au corps, entraînant avec eux une cohorte de maux divers :

L’équilibre vie professionnelle et vie personnelle se définit comme la conciliation entre la vie professionnelle et la vie privée du salarié. De façon à ce que le temps et l’énergie consacrés à son travail, soit en équilibre avec les loisirs et la vie de famille.

Les femmes défavorisées sur leur équilibre de vie

Selon une étude récente de l’APEC, sur la conciliation entre la vie personnelle et la vie professionnelle, réalisée auprès de 2 000 cadres :

Travailler moins ou travailler mieux ?

 Une récente étude de l’Ifop a révélé que 61 % des salariés français préféraient gagner moins d’argent mais avoir plus de temps libre, alors que c’était le contraire en 2008 ! 

L’exemple de la semaine de 4 jours 

Opter pour une organisation du travail flexible (horaires, télétravail, travail hybride, travail à temps partiel, semaine de 4 jours). Pourquoi ne pas travailler 4 jours au lieu de 5 en étant payé à taux plein ?

Vous savez probablement que 20 % de vos activités produisent 80 % de vos résultat (selon la célèbre loi de Pareto). En prisant vos efforts sur les activités qui créent le plus d’impact, vous réduirez votre temps de travail, tout en augmentant vos résultats.

Si le collaborateur s’engage sur sa productivité et son efficacité, ce discours est tout à fait recevable pour un employeur, dans la mesure où sa masse salariale ne varie pas, et que cela lui évite divers problèmes tels que le présentéisme (présence avec faible productivité), l’absentéisme (arrêts maladies), ou le turnover. 

Choisir la bonne formule pour soi-même

Lister vos besoins en termes de revenu, de sécurité, de rythme, de charge de travail, de localisation, et d’envies diverses (par exemple : diversifier ses activités, ou se libérer du temps).

Pour cela, il pourrait être utile d’éplucher toutes vos dépenses pendant un mois ou deux pour voir où va votre argent et quelles dépenses vous pourriez éventuellement éliminer.

Gagner éventuellement un peu moins, est une éventualité à considérer, à condition que cela ne vous prive pas de ce qui est le plus important à vos yeux, ou que cela ne déséquilibre pas trop votre budget (familial notamment).

Rappelez-vous aussi que : La qualité de vie n’a pas de prix !

Désabusés par l’absence de reconnaissance financière, certains cadres pratiquent l’auto-augmentation, pour travailler moins en gagnant autant :

  • Réduction de leur temps de présence (partir plus tôt, arriver plus tard…)
  • Déconnection accentuée (mieux profiter de ses temps libres, en toute légalité et bonne conscience)
  • Déplacements plaisirs (prendre la vie du bon côté, et profiter des avantages en nature que procurent les déplacements professionnels)
  • Pauses rallongées et plus fréquentes
  • Préférence donnée aux tâches les plus gratifiantes, au détriment d’autres, créatrices de valeur pour l’entreprise, mais plus ingrates
  • Télétravail avec amplitudes horaires moindres (sans en faire la publicité évidemment).

Les astuces sont nombreuses pour se payer sur le dos de la bête. Cela a toujours existé, mais cela semble se répandre. Ainsi, davantage de travailleurs semblent recourir à ces astuces pour compenser la charge mentale qu’ils estiment subir à cause de leur travail.

Quelques astuces pour équilibrer vie pro et vie perso, en gagnant en efficacité

1. Poser des limites

Refuser les réunions après 18 h, les horaires à rallonge, les interruptions toutes les dix minutes pour poser une question…

Suggérer à ses collègues de noter leurs questions et d’en discuter lors d’un créneau dédié, planifié à l’avance.

Exprimer ses besoins tout en respectant ceux des autres, permet d’atteindre un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle.

2. Se fixer des objectifs prioritaires

Partir de votre but à long terme, celui dont l’atteinte résonne vraiment avec vos valeurs, et vous rendrait vraiment fier de vous-même.

En déduire des objectifs cohérents pour les 3 ou 5 prochaines années, puis des objectifs annuels, puis mensuels, puis hebdo et enfin ceux d’aujourd’hui.

Dans votre liste, de choses à faire, sélectionner celles qui créent le plus de valeur (comme nous l’avons vu avec la loi de Pareto). Et en garder 3 seulement pour aujourd’hui. Planifier votre journée en fonction d’eux et commencer tout de suite à agir pour le premier d’entre eux.

Ce qui vous fera avancer, ce ne sont pas les objectifs ou la pression, mais les actions, calmes et déterminées. (voir notre article sur la « gestion du temps« )

3. Compartimenter votre vie privée et votre vie professionnelle

Pour trouver l’équilibre entre vie pro et vie perso, il est important d’établir une frontière entre le travail et la maison (en dehors des heures de télétravail) Éviter au maximum de ramener du travail à la maison le soir et le WE.

Se déconnecter, quitte à aménager une demi-heure montre en main de connexion par exemple  près le dîner ou une fois les enfants couchés.

(voir notre article sur « Comment apaiser le stress ?« )

4. Eviter de gaspiller votre temps

  • Planifier ses journées et ne pas remplir son agenda à 110 %, afin de laisser de la place aux inévitables imprévus.

  • Poser sur papier tout ce qui encombre l’esprit. Tout noter permet d’alléger la charge mentale et d’éviter la surchauffe. Pour éviter les to-do list sans fin, ,e retenir que trois à cinq priorités par jour. 

  • Bloquer sur son agenda des créneaux rien que pour soi, afin de prendre du recul et pour s’organiser. En effet pour être lucide, il faut organiser sa prise de recul. Et s’organiser demande aussi un peu de temps, qu’il faut penser à planifier ! Il y a beaucoup à gagner en efficacité, en s’autorisant des moments pour se ressourcer. Prendre un thé, lire un peu, marcher dans le qu’ortie même 10 minutes, cela permet de s’aérer, s’accorder une petite sieste (là encore : 10 minutes suffisent !), pratiquer quelques minutes de cohérence cardiaque. Voir notre article : « Se recharger en énergie positive« 

  • A la maison en famille : Privilégier des activités extra-scolaires pour vos enfants proches de la maison. Faire les courses sur votre pause déjeuner ou en ligne. Préparer quelques repas à l’avance pour ne pas devoir cuisiner tous les soirs. Partager les tâches domestiques de manière équitable, en co-créant un tableau de répartition des tâches en fonction des goûts et de l’emploi du temps de chacun. Même les jeunes enfants peuvent déjà contribuer en faisant des choses simples comme ranger leurs jouets. 
 

5. Privilégier le télétravail

Bien évidemment, le télétravail fait  gagner du temps en transports et fait gagner en concentration (surtout quand on travaille en open-space). 

C’est une formule qui non seulement fait gagner en flexibilité, mais permet d’avancer beaucoup plus vite sur les dossiers à traiter. 

Et bien entendu cela ne remplace pas l’importance du présentiel pour les liens humains nécessaires au travail en équipe.

Questions clés

  • Pourquoi chercher un meilleur équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est-il devenu une aspiration ?

    La recherche d’un meilleur équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle est devenue une priorité car aujourd’hui, seulement 24% des personnes considèrent le travail comme « très important » dans leur vie, contre 60% en 1990. Les priorités ont changé : 61% des salariés déclarent préférer réduire leur revenu pour avoir plus de temps libre.

    Les enjeux environnementaux accentuent également cette tendance, car face aux risques écologiques majeurs, les enjeux des entreprises peuvent sembler dérisoires.

    La quête de sens et l’équilibre personnel priment désormais sur la recherche de statut ou de richesse.

  • Comment les outils numériques impactent-ils l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle ?

    La technologie a un double impact sur l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Au travail, les outils numériques aident à planifier nos priorités et automatiser les tâches routinières, particulièrement utiles pour les équipes en mode hybride.

    Cependant, ces mêmes outils compliquent la capacité à concilier vie professionnelle et vie privée car la possibilité de travailler de n’importe où crée une pression à être constamment disponible, rendant difficile de déconnecter après les heures de travail. Cette situation brouille les frontières entre le travail et la vie personnelle, risquant de mener à l’épuisement professionnel sans limites claires.

  • Quels sont les avantages de la semaine de 4 jours pour l’équilibre vie professionnelle et vie personnelle ?

    La semaine de 4 jours au lieu de 5 jours améliore considérablement l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée en offrant deux options : réduire les heures travaillées ou augmenter l’amplitude journalière pour libérer une journée complète. En appliquant la loi de Pareto (20% des efforts produisent 80% des résultats), vous pouvez cibler les activités à fort impact, réduisant ainsi votre temps de travail tout en augmentant votre productivité.

    Pour les employeurs, ce modèle peut maintenir la masse salariale inchangée tout en réduisant le présentéisme, l’absentéisme et le turnover. Ce type d’arrangement constitue un socle important pour consacrer plus de temps aux activités personnelles et responsabilités familiales.

  • Comment poser des limites efficaces pour préserver son équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle ?

    Pour établir un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, posez des limites claires : refusez les réunions après 18h, les heures supplémentaires systématiques et les interruptions constantes.

    Proposez à vos collègues de noter leurs questions pour en discuter lors d’un créneau dédié. Exprimer vos besoins tout en respectant ceux des autres permet d’atteindre un bon équilibre qui protège votre temps personnel et vous permet de déconnecter efficacement pour vos loisirs, repas en famille ou sorties entre amis.

    Ces frontières préservent votre santé mentale et physique tout en améliorant votre productivité au travail sur le long terme.

  • Comment le télétravail aide-t-il à concilier vie professionnelle et vie privée ?

    Le télétravail offre des avantages majeurs pour concilier vie professionnelle et vie privée : économie de temps en supprimant les trajets, meilleure concentration (surtout par rapport aux open-spaces), et progression plus rapide sur les dossiers. Cette flexibilité vous permet d’organiser votre journée selon vos besoins, d’insérer des pauses régulières adaptées à votre rythme, et de créer un environnement de travail personnalisé.

    Combiné avec des horaires de travail flexibles ou la semaine de 4 jours, le télétravail maximise votre qualité de vie tout en maintenant, voire en améliorant, votre productivité. Le présentiel reste important pour les liens humains, mais le télétravail est un outil puissant pour un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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