Comment vivre davantage l’expérience de la joie de vivre ? Et si vous décidiez de vivre cet instant comme si c’était le premier et/ou comme si c’était aussi le dernier ? Qu’est-ce que cela changerait…
- Si c’était le premier, vous seriez en train d’explorer sans aucun concept, aucune mémoire, aucune image. Vous seriez comme un bébé qui s’étonne de tout, sans préjugé. Vous seriez dans la pure joie de vivre.
- Si c’était le dernier, vous voudriez peut-être « en profiter » jusqu’à la dernière goutte ? Ou du moins vous cesseriez instantanément de vous prendre la tête avec des conneries, juste pour accueillir l’Essentiel ? Et, retirant ce qui recouvre la joie de vivre, vous seriez peut-être étonné de constater cette « pétillance » de la vie, ces couleurs, ces sons, cette variété, ce changement permanent, cette excitation et ce calme présents tout à la fois, tout le temps…
Vous manquez d’idées, d’enthousiasme et d’élan en ce moment ?
- C’est un peu comme si vous manquiez de souffle, peut-être dans l’attente d’un second souffle ? Oui, comme si vous étiez ou au bout d’une impasse, à l’arrêt déjà depuis un certain temps, sans perspective motivante, et sans désir particulier… Dans ce genre de situations évidemment, il y a de la place pour l’expression des états d’âme…divers sentiments peuvent refaire surface : une tristesse de fond, une certaine mélancolie, éventuellement des regrets, etc…
- Parfois, c’est dans vos relations, que ça piétine, tandis que professionnellement l’horizon est bouché…
- Bref, vous avez l’impression de tourner en rond, vous manquez de perspectives, de projets inspirants et d’idées nouvelles.
La solution ?
- Faîtes de la place, dans votre tête trop encombrée, et peut-être aussi dans des habitudes auxquelles vous ne faites plus attention mais qui vous sont préjudiciables.
- Faîtes ainsi en sorte que la joie de la vie puisse de nouveau s’exprimer librement à travers vous.Se sentir en joie est synonyme d’élan créateur.
Cultiver la joie de vivre
La Joie, c’est la nature même de la vie. Elle s’exprime en peur, en colère, en tristesse aussi. Mais c’est toujours l’expression de la joie de vivre… La joie de vivre est accessible tout le temps, mais nous sommes dans notre tête, occupés à nous prendre pour ce que nous ne sommes pas. Intéressant de se voir fonctionner pour retirer ce qui recouvre la joie d’une pellicule de contrariété artificielle… Vous accompagnez vos clients en coaching, quelle joie de vivre de ce métier !
« Avoir » une vie ? …mais pour quoi faire ?
Il paraît que les chats ont 9 vies, les pauvres… Peut-être qu’une seule est déjà bien suffisante ? Mais ce qui est sûr c’est que vous ne pouvez pas « avoir » de vie ! Si c’était le cas, il y aurait vous et puis il y aurait « votre vie que vous avez »… Mais si vous n’êtes pas cette vie elle-même : qui étiez-vous avant de l’avoir et qui serez-vous après l’avoir perdue ? Chacun sa réponse, évidemment, mais la question est la même pour tous, et elle est vivifiante : Qui suis-je ? Et si j’étais : la vie, elle même … ? Je ne vous demanderai pas ce que vous en « pensez », parce que cela ne se pense pas. Mais quelle est votre expérience ? Comment cette question résonne-t-elle en vous ?… Pour partager la joie de vivre en coaching, parlons-en en supervision : Entrez dans la joie de vivre :
- Maturité émotionnelle
- Vulnérabilité et force intérieure
- En finir avec le sentiment de culpabilité
- Se sentir coupable ou responsable ?
- Lâcher prise
Quelques séances de coaching individuel pour faire le point sur votre situation énergétique, et mettre en place ce qu'il faut pour que vous repreniez votre vitalité naturelle.
Voir les offres3 kifs par jour
Florence Servant Schreiber, journaliste écrivain, propose un rituel quotidien de synthèse de sa journée dans son livre « les 3 kits par jour ».
Un « kif » est un moment de plaisir qui incite à remercier quelqu’un en particulier ou la vie en général.
Identifier 3 kifs par jour permet de repérer dans une journée les petits plaisirs à propos desquels nous pourrions ressentir de la gratitude envers la vie. Cette reconnaissance est en elle-même une source de bonheur et de bien-être.
L’auteur suggère la pratique de la lettre de gratitude envoyée à un collègue, un ami, un proche… (ça c’est plus engageant que d’écrire dans un journal personnel, mais c’est kiffant pour les 2, celui qui envoie et celui qui reçoit !). Souhaiter des anniversaires, offrir des cadeaux, est déjà une bonne pratique. Mais écrire une lettre pour dire à nos proches ce qu’ils nous ont apporté, en quoi on leur est reconnaissant, et leur lire cette lettre lors d’une visite de gratitude, est un rituel puissant pour éprouver et partager de la gratitude avec ses proches. Alors nous vous invitons à découvrir ce rituel pour célébrer chaque jour et remercier les autres.
Etre positif par-dessus tout
Rien n’est en soi positif ou négatif, et ce pour plusieurs raisons :
– Toute situation présente toujours deux aspects indissociables et complémentaires, l’aspect positif et l’aspect négatif ! Il y aura donc toujours du positif dans le négatif et réciproquement, et ce à l’infini.
– Entre le « positif » et le « négatif » symboliques dont nous parlons de façon un peu manichéenne pour nous faire comprendre à gros traits, il existe bien évidemment une infinité de « nuances de gris ».
– Enfin, tout dépend du regard porté sur une chose, pour la qualifier symboliquement de positive ou négative. En nous plaçant du point de vue subjectif et expérimental de quelqu’un, nous dirons simplement que si l’expérience lui plaît, elle sera perçue comme « positive », tandis que si elle lui déplaît : ce sera pour lui une chose « négative ». Bien sûr, cette même chose pourra être perçue différemment par quelqu’un d’autre, ou par cette personne elle-même dans d’autres circonstances. La chose n’est donc ni positive ni négative par elle-même. C’est l’interaction entre le sujet et l’objet, qui fait qualifier l’objet de « positif » ou de « négatif », en quelque sorte par abus de langage …
A l’évidence, la vie est relativité : elle ne propose pas que du « positif » à vivre (des expériences gratifiantes, des situations agréables, etc…). Il serait donc aussi absurde que vain de ne vouloir ne vivre que des expériences « positives » (au sens d’agréable par exemple), car c’est l’alternance de plaisir et douleur, de facile et difficile, de chaud et froid, etc… qui font la vie complète et équilibrée.
Cependant, nous sommes libres de considérer d’abord ce qui nous plaît, au lieu de trop nous centrer sur ce qui nous déplaît, comme on a tendance à le faire quand on s’est laissé enfermer dans un processus de plainte. Plus qu’un simple choix de bon sens, accueillir l’intégralité de l’expérience tout en appréciant pleinement ses aspects positifs est donc un véritable « art de vivre », qui repose sur une décision, sur un choix fondamental de se prendre en charge et de cultiver délibérément le bien-être. Et ce n’est pas si simple de toujours y parvenir.
Marche de la joie
La façon dont vous marchez vous est propre. Elle évolue, s’imprègne de votre vécu, de votre âge, traduit vos états internes.
Deux exemples simples :
- Si vous marchez tête baissée, le dos voûté, cela laisse à penser que vous êtes dans une période où vous subissez des événements lourds à porter.
- Si vous marchez le torse en avant et la tête haute, cela évoque plutôt une attitude interne de fierté.
La marche de la joie que nous vous proposons consiste à lâcher tout sentiment de tristesse, de fierté, ou d’égo mal placé, pour en libérer votre corps. C’est la marche de propulsion sautillante, d’origine nordique, qui libère tout le corps et participe au grand nettoyage mental. Elle se pratique sur un terrain plat d’au moins 50 m de longueur.
Protocole pour éprouver de la joie
- La marche sautillante sans bâton
Effectuer une marche sautillante d’enfant, pour ressentir le mouvement, le balancement des bras et trouver votre rythme. Monter vos genoux le plus haut possible, adapter votre respiration.
- La marche sautillante avec bâtons
Effectuer la même marche en laissant les bâtons se planter naturellement dans le sol.
- La marche sautillante en propulsion
Une fois que vous êtes à l’aise avec ce type de marche, prenez de l’impulsion sur vos bâtons pour rendre la rendre plus dynamique et allongez votre foulée et gagnez en vitesse.
De tels exercices peuvent vous aider à renforcer votre vibration positive grâce à la gratitude attitude, à projeter votre désir dans une vision qui augmentera votre force d’attraction de ce que vous désirez. Vous envisagerez une autre façon de gérer vos priorités, laissant plus de place à l’énergie et au plaisir.
Marche de gratitude
C’est un véritable acte de maîtrise de soi que de choisir les sentiments que l’on souhaite ressentir et de les convoquer en soi-même de façon consciente. Ainsi, au lieu de se laisser chahuter par le chaos relatif des évènements extérieurs, on peut choisir de cultiver des sentiments qualifiés, comme la gratitude.
La gratitude est le sentiment de reconnaissance que nous éprouvons lorsque nous éprouvons la saveur de la vie…
Choisir la gratitude est une décision volontariste (parce que ce n’est pas toujours spontané) et une option intelligente (parce que cela contribue à notre rayonnement personnel). Cultiver la gratitude, suppose et induit un regard positif, qui nous attire en retour de la sympathie et des opportunités sans cesse renouvelées…
Faites une marche de gratitude, quand vous sentez que vous avez besoin d’air.
Protocole :
Après une réunion tendue, après un entretien difficile, après un rendez-vous un peu chaud : faîtes votre petit tour pour changer votre état intérieur, en choisissant délibérément des pensées d’appréciation positive et de gratitude.
Nous vous suggérons cette pratique d’hygiène personnelle, consistant à faire une promenade de 15 à 20 minutes, avec pour seul objectif d’accueillir avec un filtre positif tout ce qui vous vient aux yeux (et aux 5 sens en général).
A chaque fois que vous appréciez quelque chose (la forme d’un arbre, la pertinence d’un panneau indicateur, le côté pratique de cet élément urbain, la variété de cette vitrine, la beauté du ciel, les formes des nuages, la douceur de l’air, les bons vêtements qui vous protègent de l’humidité, etc…), prenez le temps de savourer, d’apprécier, dîtes intérieurement : « Merci ! ». Merci à qui vous voudrez, cela importe peu. Le plus important est d’éveiller en vous le réflexe de gratitude. Il nous réconcilie avec nous-mêmes, en nous permettant d’apprécier ce qui est là ici présent plutôt que de déplorer ce qui nous manque ou nous contrarie.
Dîtes-vous qu’il s’agit d’une marche de remerciement, juste pour le plaisir de remercier la beauté environnante, ou la chance d’être en vie, simplement de marcher et d’apprécier de marcher. Le corps se déplace et respire, tout à son affaire.
Vous pourriez assez vite vous surprendre à changer de climat intérieur, et à esquisser un sourire. Ne vous en privez surtout pas ! Le sourire provoque des effets très puissants sur votre métabolisme et votre psychisme.
Votre courte marche de gratitude pourrait ainsi devenir une marche du sourire intérieur, et une formidable occasion de vous ressourcer, de vous changer les idées, en choisissant délibérément de nourrir des pensées et des émotions, qui vous stimulent !
Gratitude attitude
La psychologie positive est une discipline récente datant de 1998, fondée par Martin Seligman et qui s’appuie sur des études scientifiques identifiant les conditions du fonctionnement optimal d’une personne, d’un groupe ou d’une organisation.
« Les personnes qui éprouvent de la gratitude repèrent davantage les événements positifs de leur vie et les retiennent mieux que les personnes moins reconnaissantes ». Elles ont ainsi une représentation plus positive de leur environnement social et de leurs conditions de vie. La gratitude réduit la tendance au matérialisme et à la comparaison sociale et augmente l’empathie, ce qui génère des relations de meilleure qualité. Il existe une pratique toute simple et pourtant très efficace qui consiste à noter, chaque soir pendant deux semaines consécutives, trois choses pour lesquelles on est reconnaissant Il s’agit d’apprendre à réorienter son attention vers les choses positives qui se produisent au cours d’une journée et d’identifier grâce à qui ou à quoi cela a pu nous arriver.
Selon une étude américaine publiée dans la revue Health Behavior and Policy Review, le Pr Rosalba Hernandez de l’université de l’Illinois (États-Unis), démontre que les personnes les plus optimistes, qui éprouvent plus volontiers de la gratitude, ont deux fois plus de chance d’avoir une bonne santé cardiovasculaire.
D’après des études scientifiques réalisées par les Dr Emmons, Mc Cullough et Seligman , les personnes rapportant des sentiments de reconnaissance, d’appréciation, et de gratitude se sentent aussi plus aimantes, plus enclines à pardonner, plus joyeuses et enthousiastes. Notre cerveau libère de la dopamine et de la sérotonine, hormones supports de nos émotions, et qui nous font sentir bien. Les effets de la gratitude quand elle est pratiquée quotidiennement renforce alors ces voies neuronales. Les personnes qui la cultivent, vivent plus longtemps et résistent mieux aux agressions, aux stress, à l’anxiété, font preuve d’une meilleure immunité face aux virus.
Pour l’anecdote : une étude sur des étudiants a prouvé que les plus joyeux d’entre eux auraient gagné en moyenne 25.000 Dollars de plus par an que leurs camarades de promotion plus austères…
Selon d’autres études, toujours réalisées par le professeur Emmons : éprouver de la gratitude le soir en se mettant au lit aide à s’endormir et à vivre un sommeil plus réparateur.
La gratitude est donc un sentiment excellent pour la santé morale et physique. Il est intéressant de le cultiver délibérément, au lieu de ne l’éprouver que de temps en temps, à l’occasion des évènements extérieurs agréables, que nous rencontrons incidemment.