On se préoccupe beaucoup du temps qui passe trop vite, quand on a l’impression d’en manquer :
- on a trop de choses à faire dans le temps dont on dispose,
- les journées ne sont jamais assez longues,
- les semaines passent et on ne parvient pas à faire tout ce qu’on avait prévu, tout ce qu’on aurait aimé
- le temps semble s’accélérer… il semble brûler entre vos doigts
Et pourtant, on essaie de s’organiser avec des Todo-listes, mais c’est décourageant, parce qu’elles se remplissent plus vite qu’elles ne se vident… Du coup on n’y arrive pas et on se sent encore plus « coupable » ! Mais soyons réaliste : au sens propre, le temps ne se gère pas !
Le temps se vit, il ne se gère pas !
Le problème est donc ailleurs : la vraie question est de choisir « comment je vis l’instant présent ».
L’instant présent ne peut pas être géré, il ne peut être que vécu : nous n’avons pas besoin de plus d’une seconde pour vivre la seconde en cours ! Donc en fait, au sens propre, nous ne manquons jamais de temps.
En revanche, quand nous sommes absents au présent, il nous semble toujours ne pas disposer de suffisamment de temps pour « être », et par voie de conséquence nous nous sentons débordés, stressés, fatigués … C’est uniquement quand nous cherchons à remplir l’instant présent avec des choses à faire, que la seconde, l’heure, l’année ou le siècle nous semblent toujours trop courts.
Découvrez des astuces simples pour mieux vous organiser, gagner du temps et être plus efficace. Un coaching pour transformer votre quotidien avec succès.
En savoir plusGestion du temps : trouver sa place !
Les personnes qui ne se satisfont pas de leur gestion du temps sont des personnes qui ont du mal à trouver leur place, dans l’espace. Oui, oui : en fait, souvent la gestion du temps masque une question de gestion de sa place dans l’espace. On n’est jamais au bon moment à la bonne place, toujours en retard, toujours débordé, parce qu’on n’est pas : là, ici, dans notre propre corps, qui est notre place ! Où est-on alors ? Dans la tête, occupé à des pensées, pendant que la vie passe, sans nous…
Coaching de gestion du temps
Vous pouvez lire des tas de livres sur la gestion du temps et des priorités, vous pouvez suivre des séminaires. Et on vous apprendra des choses très utiles, mais elles ne résoudront pas votre manière d’être là ou pas. Et puis, c’est une chose d’apprendre des méthodes, des théories, mais c’en est une autre de les mettre en oeuvre, une fois de retour dans vos habitudes, pris par vos conditionnements. Il faut d’abord vous émanciper de vos réflexes, et entrer dans une discipline personnelle… Bien sûr un coaching vous aidera à :
- savoir dire non et renoncer au faux combats pour pouvoir vous concentrer sur les enjeux stratégiques, à faire du tri, dans votre tête, dans votre vie, dans votre agenda, sur votre bureau…
- planifier et déléguer convenablement
- prioriser et à vous concentrer sur une seule chose à la fois
Mais surtout :
- Un coaching de gestion du temps vous aidera surtout à vous INCARNER, ici et maintenant, à vous installer dans l’instant présent, pour apprécier la vie autrement, depuis une autre partie de vous qui est calme et vaste, qui n’est absolument pas pressée, mais qui est très efficace. Cette partie de vous, qui est peut-être votre être véritable, fait les choses sans effort, aussi étonnant que cela puisse vous sembler
- Cette partie essentielle de vous-même, votre perte profond, ne s’occupe que de ce qui relève de sa vocation profonde, qui est l’appel profond de sa véritable nature et pour quoi elle est naturellement douée ! Un coaching vous aidera aussi à repérer ce qui est votre véritable vocation (voir à ce sujet : « Trouver sa vocation« , pour retrouver votre énergie fondamentale, votre fraîcheur d’enfant, en faisant en quoi vous êtes naturellement doué(e).
Vous savez, ça changerait tout pour vous si vous cessiez de vous agiter en vain, au profit d’un plaisir sans cesse renouvelé à faire ce qui vous plaît.
- Votre vie n’est pas qu’une succession de faux devoirs à remplir, en essayant de caler quelques plaisirs dans les interstices résiduels.
- Elle n’est pas non plus, une recherche de ces plaisirs à tout prix, passant avant votre sens du devoir.
Ces deux extrêmes participent de la même logique. Une logique « mentale, qui se raconte une histoire à propos de la vie (ce qui est bien ce qui est mal, ce qu’il faut faire et ne faut pas faire), au lieu de la vivre, tout simplement.
Un coaching de gestion du temps va vous aider à revenir à vos fondamentaux, à laisser émerger ce qui compte vraiment à vos yeux. Après vous pourrez travailler sur vos 20/80 (les 20% de vos activités qui génèrent 80% de l’impact recherché) et travailler sur vos priorités. Il est possible aussi que vous ayez besoin de repenser quelques éléments clés de votre hygiène de vie. ensemble nous verrons lesquels et comment aménager votre vie en prenant du temps pour vous, pour pratiquer ce qui est bon pour vous et vous procurer du plaisir et du temps (du sport ? de l’art ? des la vie de famille ? de la méditation ? etc…) Pour approfondir votre réflexion à propos de coaching de gestion du temps :
- 5 conseils d’efficacité personnelle pour mieux gérer son temps
- Osons une autre gestion du temps !…
- L’assise silencieuse pour gérer son stress
Arrêtez de travailler trop
Quand on travaille trop, on finit par avoir le sentiment d’être moins performant, de ne plus s’appartenir, de perdre sa vie à la gagner, d’être plus dispersé, irritable et fatigué… Cet état, proche du burn-out, n’est pas agréable, on n’y ressent plus le bien-être et tout finit pas sembler un peu mécanique et absurde. Beaucoup de personnes semblent épuisées et fonctionner surtout à partir de leur énergie nerveuse. Dans ce cas-là, elles manquent de temps de façon chronique… et finissent souvent par en perdre encore davantage :
- Ainsi, par exemple, avez-vous remarqué que les personnes qui commencent un entretien par “je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer à cet entretien”, sont justement celles dont les entretiens durent le plus longtemps (avec en plus un “rendement” plutôt plus faible) ? C’est peut-être parce qu’elles ne parviennent pas bien à se concentrer sur l’objectif de l’entretien, et se laissent aller à des digressions, qui leur font passer du temps à autre chose que leur but véritable ?
- Avez-vous remarqué aussi que quand arrivent enfin les vacances, bien méritées et tant attendues, on commence souvent par tomber malade (avant, il n’y avait pas la place, donc le corps a dû docilement attendre un espace pour s’exprimer !) ? Ou bien on est tellement fatigué, qu’il faut déjà plusieurs jours pour décompresser avant d’entrer dans les véritables vacances… Si bien que le « bon temps » semble amoindri ou amputé d’une partie, par contamination de la période d’avant, qui continue à infuser malgré soi pendant les vacances…
- Plusieurs personnes, qui souffrent de ne pas avoir de vie privée, m’ont avoué qu’elles doivent passer une partie de leur week-end à dormir pour récupérer, et pouvoir repartir au combat le Lundi… Ainsi même leurs temps libres, sont perdus pour leur vie privée.
Travailler trop n’est certes pas une fatalité, mais par contre c’est un cercle vicieux, dans lequel on s’enlise et duquel on ne peut pas toujours sortir seul.
4 heures de travail en moins par semaine !
Quand on travaille trop, on finit par avoir le sentiment d’être moins performant, de ne plus s’appartenir, de perdre sa vie à la gagner, d’être plus dispersé, irritable et fatigué… Cet état, proche du burn-out, n’est pas agréable, on n’y ressent plus le bien-être et tout finit par sembler un peu mécanique et absurde.
Beaucoup de personnes semblent épuisées et fonctionner surtout à partir de leur énergie nerveuse. Dans ce cas-là, elles manquent de temps de façon chronique… et finissent souvent par en perdre encore davantage :
- Ainsi, par exemple, avez-vous remarqué que les personnes qui commencent un entretien par “je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer à cet entretien”, sont justement celles dont les entretiens durent le plus longtemps (avec en plus un “rendement” plutôt plus faible) ? C’est peut-être parce qu’elles ne parviennent pas bien à se concentrer sur l’objectif de l’entretien, et se laissent aller à des digressions, qui leur font passer du temps à autre chose que leur but véritable ?
- Avez-vous remarqué aussi que quand arrivent enfin les vacances, bien méritées et tant attendues, on commence souvent par tomber malade (avant, il n’y avait pas la place, dans l’agenda ! Donc le corps a dû docilement attendre un espace de disponibilité pour s’exprimer !) ? Ou bien on est tellement fatigué, qu’il faut déjà plusieurs jours pour décompresser avant d’entrer dans les véritables vacances… Si bien que le « bon temps » semble amoindri ou amputé d’une partie, par contamination de la période d’avant, qui continue à infuser malgré soi pendant les vacances… Plusieurs personnes, qui souffrent de ne pas avoir de vie privée, reconnaissent qu’elles doivent passer tout une partie de leur week-end à dormir pour récupérer, et pouvoir repartir au combat le Lundi… Ainsi même leurs temps libres sont perdus pour leur vie privé
Travailler trop n’est certes pas une fatalité, mais par contre c’est un cercle vicieux, dans lequel on s’enlise et duquel on ne peut pas toujours sortir seul.
Et s’il vous était posible de travailler une demi-journée de moins chaque semaine ?
Vous vous rendez compte : une demi-journée économisée pour vous, jusqu’à la fin de votre vie ! Ce serait énorme…C’est pourtant à votre portée. Très simplement.
Que feriez-vous de plus et de mieux, si vous disposiez de 4h par semaine de disponibilité en plus, pour vous ?
- 4 heures par semaine en plus pour pratiquer un sport ou un art de votre choix ?
- 4 heures par semaine en plus pour aller vous promener, visiter un musée ou aller à une conférence ?
- 4 heures par semaine en plus à consacrer à votre famille pour vos amis ?
- 4 heures par semaine en plus pour méditer et vous développer ?
- 4 heures par semaine en plus pour lire et vous former ?
- Etc…
Peut-être pensez-vous que ce n’est pas possible pour vous, avec toutes ces choses que vous avez à faire ?
Prenons un instant le problème dans l’autre sens : si vous pouviez travailler 4 heures par semaine en PLUS, vous ne vous en sortiriez probablement pas mieux et auriez toujours autant de travail qu’aujourd’hui ! C’est bien la preuve que ce n’est pas une question de plus ou moins de temps.
Alors, à ce compte-là, reconnaissez, que vous pourriez très bien travailler 4 heures de moins, cela ne changerait pas grand-chose non plus !
Et là, il y a des astuces, des tours de mains, des bonnes pratiques. Mais, honnêtement, tout cela, qui fonctionne pourtant très efficacement, ne marchera pas de façon pérenne si vous ne prenez pas d’abord le problème par le bon bout : celui d’un changement en profondeur de votre relation au travail.
Protocole pour gagner 4 heures par semaine
Rien de plus simple, accordez-vous :
- deux heures par semaine, sur votre temps de travail, pour prendre du recul et réfléchir à vos priorités stratégiques
- deux fois dans la semaine arrivez une demi-heure plus tard le matin ou lors d’une pause déjeuner
- Et le vendredi, partez une heure plus tôt
C’est tout ? Oui, faîtes-le et vous verrez que vous ne serez pas plus débordé la semaine d’après. Bien au contraire, vous aurez repris la main sur la gestion de votre temps et vous disposerez d’une meilleure lucidité !
Bien sûr, vous direz peut-être que pour pouvoir faire cela, il faut une certaine liberté dans son emploi du temps. C’est vrai. ET C’EST JUSTEMENT VOTRE CAS. A vous de trouver comment…