Pourquoi certains managers restent calmes et clairs même dans les tempêtes, tandis que d’autres s’épuisent ou se laissent submerger ?
La réponse se joue souvent dans un espace que l’on sous-estime : le corps.
Le coaching corporel et le coaching de l’énergie, développés notamment par Paul Devaux, offrent aux leaders et professionnels sensibles des outils puissants pour gérer leur stress, garder leur énergie, et améliorer leur posture relationnelle.
Dans cet article, découvrez comment l’ancrage corporel transforme la manière de manager, avec des exemples concrets de séances, des mots-clés SEO pertinents, et des exercices à pratiquer dès aujourd’hui.
Le corps, ce grand oublié du management moderne
Trop souvent, le management se joue dans la tête : objectifs, stratégie, indicateurs.
Mais dans la réalité, ce sont les tensions du corps qui trahissent le stress, les non-dits, les résistances. Un bon manager ne pense pas seulement bien. Il se tient bien, respire bien, se positionne avec justesse.
Le coaching par le corps permet d’aligner le mental, les émotions et les sensations. Il aide à sortir des réflexes automatiques (contrôle, agitation, repli) pour revenir à une posture stable, ouverte et incarnée.
Il est important de préciser que le coaching corporel ou le coaching de l’énergie ne sont en aucun cas des pratiques de manipulation physique ou de soin corporel. Ils restent entièrement conversationnels, et s’inscrivent pleinement dans le cadre professionnel du coaching et du management conscient. Il ne s’agit pas de toucher le corps du client, ni évidemment celui de ses collaborateurs. L’approche consiste simplement à inviter chacun à ramener son attention vers ses propres sensations physiques : respiration, tensions, ancrage, rythme. Ce travail d’écoute corporelle intérieure permet de mieux gérer ses émotions, d’être plus présent à soi, et donc plus disponible à l’autre. Ce n’est pas une démarche thérapeutique, mais une posture de présence lucide, incarnée et respectueuse, qui affine l’intelligence relationnelle sans jamais franchir les limites de la relation professionnelle. Toute confusion entre ces registres est à éviter absolument.
Extrait de séance : « Je m’épuise à absorber l’énergie de mes équipes »
Contexte : Claire, manager d’une équipe médico-sociale. Très empathique, elle sort de ses réunions vidée, avec des douleurs dans les épaules.
Coach : Quand vous sortez d’une réunion en vous sentant épuisée, que dit votre corps ?
Claire : J’ai comme un poids sur la poitrine. Et mes épaules sont lourdes, tendues.
Coach : Si ce poids pouvait parler, que dirait-il ?
Claire : Il me dit que je porte trop. Que j’essaie de tout contenir, les tensions des autres, leurs colères, leurs inquiétudes.
Coach : Et si vous posiez ce poids, maintenant, ici ? Respirez… Laissez-le descendre dans le sol. Ressentez vos pieds. Que se passe-t-il ?
Claire : Je sens que je redescends. Que je peux me recentrer. Il y a un calme qui revient.
Claire découvre ici un principe fondamental du coaching de l’énergie : la prise de terre !
C’est la capacité à s’ancrer physiquement pour ne pas absorber les énergies négatives de l’autre, tout en restant dans une relation claire et présente.
Quand le corps du client devient un allié de sa transformation
Le corps du client en coaching est un détecteur puissant. Il exprime ce que la tête ne sait pas encore formuler.
Un nœud dans la gorge peut signaler une parole retenue. Une tension dans le dos, une charge mentale invisible. Un vide dans le ventre, un sentiment d’illégitimité ou d’incertitude.
En aidant le client à revenir à ses sensations, le coach l’invite à identifier, accueillir puis libérer ces blocages.
Ce n’est pas en parlant du problème que la solution émerge, mais en le ressentant différemment.
Extrait de séance : « Je n’arrive pas à dire non sans culpabiliser »
Contexte : Nicolas, manager dans une PME, accepte trop de tâches par peur de décevoir. Il parle vite, reste en surface.
Coach : Où sentez-vous cette difficulté à dire non ?
Nicolas : (silence) Dans ma gorge. Comme un nœud.
Coach : Si vous respiriez là, dans la gorge. Laissez le souffle toucher cette zone, sans forcer. Que se passe-t-il ?
Nicolas : (pause) C’est désagréable. Mais en respirant, j’ai l’impression que ça s’ouvre un peu…
Coach : Que vous autorisez-vous à dire, maintenant ?
Nicolas : Que j’ai le droit de poser une limite. Même si l’autre n’est pas content.
Le coaching corporel permet ici à Nicolas de ne pas rester dans l’abstraction psychologique, mais de traverser une sensation physique pour retrouver un positionnement plus juste.
Le coach aussi, à travers son corps, devient un outil de transformation
Dans cette approche, le coach ne guide pas seulement par la parole. Il s’engage avec son propre corps comme instrument de présence.
En étant lui-même ancré, respirant, aligné, il favorise un espace de sécurité et de régulation émotionnelle pour son client.
Ce leadership intérieur du coach — calme, attentif, sans agitation — est contagieux. Il active chez le client une descente dans son propre corps, une clarté, une confiance.
La relation devient alors un espace d’écoute profonde, d’attention chaleureuse, et de transformation silencieuse mais puissante.
Exercice pratique pour un manager-coach : se préparer en 3 minutes à un entretien individuel important
Objectif : être centré, présent et pleinement disponible pour le client
- Avant chaque séance, asseyez-vous confortablement
- Fermez les yeux. Prenez 3 respirations longues et profondes
- Portez votre attention sur votre ventre, puis sur vos appuis dans la chaise
- Laissez tomber tout objectif. Entrez dans un état d’accueil silencieux
- Ouvrez les yeux et accueillez la séance comme un espace vivant, sans attentes
Le leadership de demain sera incarné, ou ne sera pas
Dans un monde trop mentalisé, le coaching corporel et le coaching de l’énergie offrent une voie précieuse : revenir à soi, à son centre, pour mieux accompagner les autres.
Pour les managers, les coachs, les professionnels de la relation, c’est un levier puissant pour :
- réguler leur stress au travail
- améliorer leur intelligence émotionnelle
- renforcer leur posture de leader
- décider avec clarté et présence
- et surtout : rester fidèles à eux-mêmes tout en restant ouverts aux autres
Le coaching de l’énergie : une voie d’ancrage pour les managers sensibles
Dans un monde professionnel souvent surstimulé, où les interactions humaines se multiplient sans relâche, nombreux sont les managers, soignants, enseignants, accompagnants ou collaborateurs qui se retrouvent « vidés » en fin de journée. Non pas à cause du travail lui-même, mais parce qu’ils absorbent les énergies des autres — leurs tensions, leurs attentes, leurs émotions. C’est pour répondre à cette problématique que Paul Devaux a conçu le « coaching de l’énergie », une approche innovante, à la croisée de la posture intérieure, du développement personnel et de la conscience corporelle.
Une méthode pour apprendre à ne plus absorber l’énergie des autres
Le coaching de l’énergie repose sur une intuition simple, mais puissante : le niveau d’énergie d’un individu influence sa clarté mentale, sa posture relationnelle et sa capacité à décider. Pour ceux qui sont dotés d’une sensibilité accrue — et c’est souvent le cas chez les leaders empathiques — cette énergie est poreuse. Elle fluctue au contact des autres.
C’est ici qu’intervient l’un des concepts clés de la méthode : la « prise de terre », à laquelle il a déjà été fait allusion plus haut.
La prise de terre : un ancrage énergétique pour rester soi-même
Inspirée des lois de l’électricité, la notion de « prise de terre » désigne la capacité à s’ancrer dans son corps, à redescendre dans ses appuis (notamment les pieds), à être pleinement là, sans être perméable aux tensions de l’environnement. C’est une posture physique, mentale et énergétique à la fois. Elle permet d’éviter les court-circuits émotionnels et énergétiques dans son propre corps.
En supervision de coach, il m’arrive d’enseigner à mes clients à :
- respirer profondément pour calmer le mental et densifier leur présence,
- sentir le poids du corps sur le sol pour ne pas se laisser « happer » par les émotions ambiantes,
- identifier les moments où ils commencent à « porter » l’énergie d’autrui (épuisement soudain, raideur dans les épaules, pensées parasites),
- visualiser un retour à soi, un recentrage énergétique, simple mais efficace.
C’est une forme de pleine présence incarnée, qui n’a rien d’ésotérique. Elle vise à permettre à chacun de rester dans la relation sans confusion, avec clarté et disponibilité, mais sans absorption.
Exercice pratique : pratiquer la « prise de terre » au quotidien
Objectif : éviter de se laisser happer par le stress ou les émotions des autres
- Debout, pieds parallèles, légèrement écartés, genoux souples
- Fermez les yeux. Portez votre attention sur vos pieds, sentez le contact avec le sol
- Visualisez un poids imaginaire qui descend dans le sol, vous enracinant profondément
- Respirez lentement pendant 2 minutes
- Rouvrez les yeux, bougez doucement. Remarquez ce qui a changé dans votre état intérieur
À pratiquer avant une réunion difficile, une prise de parole, ou après un échange émotionnel
Une ressource puissante pour les professionnels de l’accompagnement et les managers
Le coaching de l’énergie est particulièrement pertinent pour les métiers exposés à la charge émotionnelle d’autrui : coachs, thérapeutes, RH, managers, enseignants… Ceux qui, par empathie naturelle ou par obligation de rôle, reçoivent beaucoup de projections, de demandes, de stress.
Prenons l’exemple de Claire, manager d’équipe dans une association médico-sociale. Elle sortait régulièrement des réunions avec des migraines, de la lassitude, sans comprendre pourquoi. Le coaching de l’énergie lui a permis de prendre conscience qu’elle portait inconsciemment les malaises des autres, au lieu de les écouter simplement. En apprenant à pratiquer la prise de terre avant chaque interaction à enjeu, elle a retrouvé de la légèreté et de la lucidité.
Une approche corporelle, pragmatique et responsabilisante
Ce qui distingue le coaching de l’énergie de bien d’autres approches, c’est son aspect pragmatique et expérientiel. On n’y parle pas d’énergie au sens flou ou mystique, mais d’états internes observables : tension, ouverture, centrage, dispersion. L’objectif est clair : développer une écologie personnelle de son énergie pour mieux fonctionner, mieux décider, mieux vivre.
Le coaching de l’énergie enseigne aussi à :
- identifier ses fuites énergétiques (trop d’attention portée aux autres, pensées incessantes, volonté de plaire ou de sauver…),
- poser des limites sans se couper de l’autre,
- recharger son énergie par des rituels simples (marche consciente, silence, respiration).
Une écologie intérieure pour un leadership incarné
Dans une époque qui valorise la lucidité, la maîtrise de soi et la qualité relationnelle, le coaching de l’énergie devient un allié stratégique pour les leaders de demain. Il permet d’installer une posture managériale stable, alignée, fluide, qui ne se laisse pas déborder par les émotions des autres, mais qui reste ouverte, ancrée et responsable.

En définitive, le coaching de l’énergie, tel que pensé par Paul Devaux, est une pédagogie de la présence. Une manière d’être là, avec soi et avec l’autre, dans un espace clair, où l’on ne porte plus ce qui ne nous appartient pas, mais où l’on accompagne avec justesse et discernement
Le corps, allié du coaching : s’ancrer pour quitter l’abstraction
Le coaching de l’énergie tel que l’a pensé Paul Devaux ne se limite pas à une posture mentale ou émotionnelle. Il rejoint des approches corporelles plus larges, dans une perspective d’intégration corps-esprit. Car le corps joue un rôle essentiel dans le bien-être, le discernement et la qualité de présence. C’est dans le corps que nous nous ancrons dans le présent, que nous trouvons notre centre de gravité, que nous quittons l’abstraction mentale pour une interaction plus juste et authentique.
Dans ce que l’on appelle aujourd’hui le coaching par le corps, le praticien intègre la dimension physique du client comme un levier de transformation. On ne cherche pas à « parler du problème », mais à le sentir, l’habiter, et parfois le traverser par le mouvement, la respiration ou la simple observation des sensations. Le coach ne travaille pas surle mental, mais depuis le corps.
Quitter le mental pour résoudre autrement
Les pratiques corporelles comme le yoga, la marche consciente, ou des techniques somatiques simples aident à réapprendre à habiter ses sensations. Ce n’est pas un luxe : c’est une compétence clé dans un monde où l’on vit souvent « hors de soi », happé par les écrans, le stress, l’urgence.
Lorsqu’un client est pris dans une boucle mentale — doute, rumination, auto-critique — revenir au souffle ou à la sensation des pieds sur le sol peut transformer la séance. Ce recentrage corporel crée un espace d’intériorité, dans lequel les réponses émergent autrement. Loin des solutions intellectuelles, le corps nous offre des réponses plus enracinées, souvent plus justes.
En coaching, la respiration devient un outil central. Respirer profondément, c’est redescendre en soi. C’est ralentir, sentir, accueillir. C’est une manière d’installer un silence fécond, à partir duquel peut émerger une décision plus claire, un ressenti plus stable, une posture plus alignée.
Le coaching corporel, une voie vers le leadership incarné
Pour les professionnels qui portent des responsabilités relationnelles — managers, dirigeants, coachs — cette approche est précieuse. Elle permet de retrouver du calme, de la clarté et de la stabilité intérieure, même dans l’incertitude. Elle renforce la capacité à rester présent face à la pression, à prendre des décisions sans se dissocier de ses ressentis.
Le coaching par le corps ne remplace pas les approches cognitives ou émotionnelles : il les complète. Il invite à une écologie intérieure, où le corps n’est plus un simple véhicule mais un partenaire de transformation. Le manager, comme le coach, y gagne une qualité de présence rare : enracinée, fluide, lucide.
Le corps comme révélateur et transformateur des blocages intérieurs
Dans le cadre du coaching de l’énergie et du coaching par le corps, le corps du client n’est pas simplement un « support » d’attention : il devient un instrument d’exploration, un territoire vivant où les tensions, les résistances et les aspirations peuvent être ressenties, nommées et transformées.
Les manifestations corporelles du client sont ses meilleures alliées. Une gorge nouée peut révéler une peur de s’exprimer. Un poids dans la poitrine, une difficulté à poser ses limites. Une sensation de vertige, une peur de l’exposition ou du changement. Le corps dit souvent ce que le mental ne sait pas encore formuler. En s’y connectant consciemment, le client peut repérer les ramifications physiques de ses blocages — ces endroits où « ça ne passe pas », où « quelque chose coince ».
Mais ce travail ne s’arrête pas au constat. Car en amenant de la conscience dans ces zones, en respirant avec, en laissant circuler ce qui est figé, le client commence à dissoudre ces tensions. Il crée ainsi un espace intérieur plus libre, plus fluide, plus propice à l’action juste. L’alignement intérieur qu’il construit par cette voie corporelle facilite ensuite des changements extérieurs concrets, plus stables, plus durables.
Le corps du coach : un instrument de présence et d’écoute profonde
Le coaching par le corps engage également celui du coach. Il ne s’agit pas seulement d’inviter le client à s’ancrer, mais d’être soi-même pleinement aligné, enraciné, bien investi dans une posture juste. Car un coach tendu, mentalisé, ou coupé de ses propres sensations, n’est pas disponible de façon fine et stable.
Au contraire, lorsqu’il se met à l’écoute de son propre corps, le coach devient capable de percevoir les échos systémiques qui circulent dans l’espace de la séance. Une tension subite, une respiration qui s’accélère, un mouvement intérieur subtil peuvent l’informer — non pas pour interpréter, mais pour affiner sa qualité de présence.
Cet ancrage corporel permet au coach de se placer dans un état d’écoute profonde, stable et chaleureuse. Une présence qui ne cherche pas à remplir le silence, ni à apporter une solution, mais qui offre un espace d’accueil inconditionnel. Un espace dans lequel le client, lui aussi, peut se détendre, ralentir, sentir, et laisser émerger ce qui était prêt à se dire.
C’est souvent dans cette qualité d’attention incarnée que les vraies bascules se produisent. Non pas dans l’accumulation de techniques, mais dans la simplicité d’une relation humaine, enracinée, consciente, libre de toute posture.
Qu’est-ce que l’écologie personnelle ?
L’écologie personnelle désigne un état d’alignement intérieur dans lequel nos pensées, nos émotions et notre attitude corporelle fonctionnent en cohérence. C’est une forme de justesse globale : ce que l’on pense, ce que l’on ressent et ce que l’on exprime à travers le corps sont harmonisés. Cette cohérence génère de la clarté, de la stabilité émotionnelle et une présence authentique. À l’inverse, lorsque l’on pense une chose, que l’on ressent autre chose et que l’on en montre encore une autre, on crée du flou, pour soi comme pour les autres — un décalage énergétique qui fatigue et fragilise la relation. L’écologie personnelle, telle qu’on l’aborde en coaching corporel, consiste à cultiver cette unité intérieure par l’écoute de soi, le retour au corps, et la régulation de ses états internes. C’est un levier puissant pour un leadership serein, car une personne alignée n’a plus besoin de surjouer : sa posture parle pour elle.
Se respecter est la base même du respect de l’environnement
Le respect de soi est le socle invisible mais essentiel de toute relation véritablement respectueuse — qu’elle soit humaine ou environnementale. Lorsque nous sommes alignés intérieurement, que nous habitons notre corps avec justesse, que nous écoutons nos besoins, nos limites, nos émotions, alors nous devenons capables d’entrer en relation sans projeter, sans imposer, sans fuir. Ce respect de soi crée un cadre éthique personnel, dans lequel on ne se trahit pas, et donc on n’a pas besoin de contrôler l’autre. C’est cette stabilité intérieure qui permet de poser des limites claires sans violence, d’écouter sans se laisser envahir, de donner sans s’épuiser.
L’écologie commence par prendre soin de soi-même
En ce sens, respecter les autres commence par ne pas se négliger soi-même. Sans cette écologie personnelle, on cherche souvent dans la relation une réparation, une validation ou un pouvoir, ce qui mène à des rapports déséquilibrés. Et ce respect fondamental ne s’arrête pas aux individus : il s’étend naturellement à l’environnement. Car une personne connectée à elle-même, qui vit dans une forme de cohérence et de présence, développe une sensibilité plus fine au vivant, au rythme, à l’impact de ses gestes. En apprenant à se respecter, on apprend à ne pas épuiser, ni soi, ni les autres, ni les ressources. C’est une éthique incarnée, discrète, mais profondément transformatrice.
Si cette approche vous parle, si vous sentez qu’il est temps pour vous de vous réaligner intérieurement pour mieux incarner vos engagements professionnels et environnementaux, je vous invite à envisager un accompagnement individuel.
Le coaching de l’énergie, tel que je le pratique, vous permettra de retrouver votre axe, de clarifier vos priorités, et de développer une posture incarnée, authentique et durable.
Vous pouvez me contacter directement par téléphone au 06.71.84.97.06 ou visiter la page contact pour prendre rendez-vous ou poser vos questions.
Prenons le temps d’en parler ensemble. Une première conversation peut déjà ouvrir un espace.