Pourquoi y voir clair en soi est-il un prérequis à la réussite ? Mario Para, un collègue consultant, m’a récemment raconté une histoire édifiante, tandis que nous étions ensemble en train d’accompagner une équipe stratégique chez un de ses bons clients. Il vient de m’en envoyer le texte et les références ci-dessous, qui illustrent l’importance d’y voir clair en soi-même, seul et/ou en équipe, pour atteindre un résultat exceptionnel, dépasser les sommets, accéder à une sur performance. Jugez-en plutôt…

Une championne dans le brouillard

Florence Chadwick était une nageuse d’exception. En 1950, elle a établi un record du monde lorsqu’elle a traversé la Manche au départ de la France en 13 heures et 20 minutes. L’année suivante, elle a fait la traversée de l’Angleterre à la France et est rentrée dans l’histoire comme la première femme à avoir traversé la Manche à la nage dans les deux sens. L’histoire se passe 2 ans après son exploit. En 1952, Florence Chadwick décide de nager les 40 kms entre Catalina Island et Palos Verdes en Californie. Ce jour-là l’eau est glaciale et les requins la suivent, mais tous ces obstacles n’ont pas affaibli la volonté de notre héroïne. Après 15 heures de nage dans des eaux tumultueuses, il n’y a toujours aucun signe du littoral. Il n’y avait aucun signe de quoi que ce soit d’ailleurs, parce que le brouillard avait insidieusement enveloppé tout le secteur.

  • Quand elle regarde droit devant, la championne ne voit rien d’autre qu’un épais mur de brouillard.
  • Son corps est tout engourdi.
  • La mer est comme un bain de glace et le brouillard est si dense qu’elle a du mal à distinguer les bateaux de soutien qui l’accompagnent.
  • Des requins foncent vers sa silhouette solitaire avant d’être chassés à coup de carabine.

Pendant des heures, elle lutte contre le froid glacial, qui l’enserre comme dans un étau, tandis que des millions de téléspectateurs l’observent en direct sur une chaîne de télévision nationale. Dans un des bateaux qui l’accompagnent se trouvent sa mère et son entraîneur, qui lui envoient force encouragements. Ils lui disent que ce n’est plus très loin. Mais tout ce qu’elle pouvait voir, c’était le brouillard. Ils l’exhortent à ne pas abandonner. Florence n’abandonne pas en effet. . . du moins jusqu’à cet instant fatidique où tout bascule pour elle : Alors qu’il ne lui reste plus qu’un demi-mile à parcourir, elle finit par demander qu’on la sorte de l’eau. Quelques heures plus tard, encore toute transie de froid, elle confie à un journaliste : “Ecoutez, je ne cherche pas à me justifier, mais si j’avais pu voir la terre, je serais allée jusqu’au bout”. Ce n’était ni la fatigue ni l’eau glaciale qui avait eu raison d’elle. C’était le brouillard. Elle était dans l’impossibilité de voir son but. Elle ne voyait pas clair sur le chemin,  si bien qu’elle ne parvenait plus non plus à voir clair en soi, et du coup elle ne parvenait plus à mobiliser ses ressources… et elle a échoué (voir à ce sujet : « Faire face à l’échec »). Deux mois plus tard, elle essaya de nouveau. Cette fois-ci, malgré le même brouillard épais, elle nagea avec une foi intacte, ayant pris soin de clarifier deux /trois choses encore et de visualiser son but clairement atteint, avec des techniques de préparation mentale adéquates. Elle savait que quelque part derrière le brouillard se trouvait la terre ferme. Et cette fois-ci elle a réussi ! Florence Chadwick devint ainsi la première femme à traverser la mer de Catalina, pulvérisant ainsi le record masculin de deux bonnes heures ! Même si vous ne pouvez pas voir votre but avec vos yeux, vous pouvez toujours le voir avec votre esprit. Que ceci soit la force qui vous amène là où vous désirez aller…. dareauthenticity.com – Erika Kaneza

Y voir clair en soi et sur le but à atteindre est évidemment important. Mais ce que nous enseigne ce récit qu’il faut aussi y voir clair sur la prochaine étape à atteindre, et voir clair en soi dans les derniers mètres, pour focaliser sur les derniers efforts à fournir pour franchir enfin victorieusement la ligne d’arrivée. Vers la fin, il arrive que l’on s’épuise, et voir clair en soi et sur ce qu’il reste à faire est la clé pour aller jusqu’au bout, au lieu de s’arrêter.

L’importance d’y voir clair en soi

Dans la réussite ou l’échec, un facteur déterminant est la perspective : y voir clair en soi et sur la situation, être objectif par rapport aux forces en présence, permet d’ajuster son action, de doser son effort, de bander sa volonté juste ce qu’il faut. Etre certain de sa motivation, être bien sûr que son ambition est alignée avec sa vocation (voir à ce propos : « Vocation et ambition« ) est encore une question d’y voir clair en soi -même. Des fois, il faut juste un petit changement de perspective, pour voir l’horizon se dégager et pouvoir se focaliser sur l’action qui mène à la réussite.

Selon Timothy Galwey dans “la dynamique interne du travail”, la performance serait égale au potentiel moins les empêchements qui parasitent l’action. C’est un point de vue qui paraît plein de bon sens.
Les parasites, c’est le bavardage intérieur, ce sont ces histoires qu’on se raconte à propos de la réussite ou de l’échec, ce sont nos désirs et nos peurs qui nous empêchent de nous engager pleinement dans le combat (ou la danse de la vie)…

Dans les accords toltèques, il y a un bon petit chapitre sur le discours intérieur, à propos de la parole impeccable, qui fait référence aussi à la parole intérieure, les pensées qui ne cessent de vire volter, pendant qu’on essaie de vivre ! (voir à ce propos  » Arrêter de penser !« ) Vous parviendrez à changer votre point de vue, en changeant d’abord votre regard, c’est-à-dire les pensées que vous nourrissez à propos de la situation que vous aimeriez améliorer.

C’est une chose que l’on peut faire tout seul. D’ailleurs, vous le faites souvent. Mais si vous lisez cet article, c’est qu’il y a peut-être une situation bien précise, à laquelle vous pensez, et qui ne change pas suffisamment vite ou de façon suffisante, malgré tous vos efforts. Vous savez pourquoi ? Parce que vous n’avez pas réussi encore à changer votre regard sur elle, vous n’avez pas changé d’attitude, et vos comportement sont quasiment toujours les mêmes, malgré des petits changements de détail insuffisants. Si vous voulez vraiment changez les choses : changez-vous, vous-même, d’abord ! (voir notre article : “changer le monde ?“)

Etre serein, trouver la paix intérieure ?

C'est beaucoup plus simple que vous ne l'imaginez. Quelques séances de coaching peuvent vous aider à vous recentrer, à y voir clair et à prendre quelques décisions salutaires. Ne restez pas seul(e) avec votre difficulté. Voyez courageusement comment la résoudre, ou comment vivre avec !

Voyons ce qu'on pourrait faire ensemble...

Aller au-delà des points aveugles

Parce que c’est en dehors de votre « cadre de référence », parce que c’est dans les angles morts de votre vision, parce que c’est caché derrière vos points aveugles ! Voila pourquoi cette situation-là est si difficile pour vous  à changer. Mais rassurez-vous, quand on vous aura un peu challenge sur vos croyances que vous pensiez définitives, vous apercevrez d’autres solutions, qui elles, fonctionneront ! On a tous des points aveugles et nos angles morts :

les angles morts, c’est ce qui est sur les côtés et derrière vous, que vous ne pensez pas à prendre en compte, parce que c’est inhabituel pour vous, dans vos modes de fonctionnement actuels. Et parfois, nos proches ont beau nous dire certaines choses : … on ne parvient souvent pas à les entendre et intégrer les conseils qui nous sont offerts !   Pour parvenir à cela il faut parfois changer de paradigme, et se remettre en question. C’est à cela que le coaching peut vous aider. Il faut souvent juste un petit coup de pouce, pour vous décoller la pulpe, et vous aider à changer de perspective…

Un coaching pour y voir clair en soi

Il faut parfois que cela vienne de quelqu’un d’extérieur à votre système, par quelqu’un en qui vous aurez placé votre confiance et qui vous offrira un feed-back bien ajusté qui tape dans le mille, ou une question puissante qui vous ouvre de nouveaux horizons et favorise le changement de paradigme. Voici des exemples de questions qui aident à changer de perspective et voir clair en soi :

Vous avez compris, toutes ces questions vous détournent du problème et orientent votre attention vers les solutions. Elles créent une aspiration positive vers l’action, au lieu de vous maintenir enfermé dans une analyse sans fin de ce qui est si frustrant pour vous… De telles questions sont des cadeaux précieux, parce qu’elles vous permettent de changer de perspective et d’envisager des solutions là où vous ne regardiez pas.

Votre coach, va vous fournir du feed-back, mais il va aussi vous inviter à envisager d’autres points de vue que le vôtre. Ainsi vous verrez la situation, avec d’autres yeux que les vôtres et cela vous aidera grandement à changer votre façon de voir. (voir : Gérer les rythmes de travail) Par exemple :

Ainsi accompagné dans cette réflexion, vous verrez votre situation avec une autre point de vue, vous repenserez probablement votre problème autrement, et vous apercevrez également qu’en formulant autrement votre objectif, de nombreuses actions efficaces apparaîtront possibles pour vous. Vous ne vous pourrez peut-être pas vous changer complètement vous-êmem (et heureusement), mais vous pourrez changer certains de vos comportements acquis, certaines habitudes mises en place il y a longtemps, et qui ont peut-être fini par devenir contre productives dans un environnement qui a changé (voir : « vulnérabilité et force intérieure » et « le poids des habitudes ») Vous savez, on ne peut pas vraiment changer tout seul, de l’intérieur. Pas plus qu’on peut se remettre tout seul en place une vertèbre au milieu du dos. En revanche, à deux, on balaye mieux les angles morts et on peut travailler efficacement sur ce qui nous retient de changer nos habitudes. On peut identifier ce qui bloque et voir comment le retirer pour déclencher le changement en soi. Pour travailler sur vous-même, en profondeur, en n’y passant pas plus de temps qu’il n’en faut, pour avancer en sécurité,  en assurant vos premiers pas vers vos nouveaux objectifs, envisagez sérieusement un coaching individuel. Vous gagnerez beaucoup de temps, parfois plusieurs années, et mobiliserez vos énergies pour atteindre des résultats en rupture…

L’importance de persévérer

L’histoire de notre nageuse, revoie non seulement,nt à l’importance d’y voir clair, mais aussi à celle de persévérer.

L’important c’est d’y voir clair et d’aller jusqu’au bout ! Voici à ce propos un conte bien connu, qui illustre l’importance de persévérer :

Deux grenouilles étaient tombées dans une jatte de crème. Elles ne pouvaient pas nager dans la crème qui était trop épaisse, et elles ne pouvaient pas sortir de la jatte à cause des rebords de la jatte. Après quelques minutes à se débattre, elles étaient épuisées d’essayer de sortir, et elles allaient se noyer. L’une d’elles n’ayant plus de force, et n’ayant plus d’espoir, finit pas cesser de se débattre, et cessa de lutter. Elle disparut bientôt, engloutie par l’épais liquide blanc. L’autre grenouille, plus obstinée, se dit : « C’est impossible ! Il n’existe aucun moyen de s’en sortir. Pourtant, bien que la mort soit proche, je lutterai jusqu’à mon dernier souffle. Je refuse de mourir ainsi sans rien faire ». Elle continua donc de s’agiter au même endroit, pendant des heures et des heures, pour le principe, par dignité. Et puis soudain, à force de battre des cuisses, la crème commença à se transformer en beurre à cet endroit là. Alors, prenant appui sur cette consistance plus ferme, la grenouille réussit à faire un bond hors de la jatte….Elle aurait pu, elle aussi, se décourager et abandonner. Il se trouve qu’elle choisit d’aller jusqu’au bout…

Ceci dit, pédaler dans la semoule (comme on dit), ça n’avance pas à grand-chose ! Il est impératif de voir clair sur nos priorités, afin de ne pas nous épuiser en agitations improductives. Voici à ce propos une autre histoire édifiante, qui complète cette aventure de grenouilles.

Un brin d’organisation ne nuit pas

Un jour, un professeur de gestion du temps fut engagé pour donner une formation d’efficacité personnelle à un groupe de dirigeants. Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux professeur n’avait donc qu’une heure pour transmettre l’essentiel de son enseignement. Face à ce groupe d’élites, le professeur les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « Nous allons réaliser une expérience ». De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un pot de verre de plus de 4 litres qu’il posa sur la table en face de lui. Ensuite, il sortit une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : « Est-ce que ce pot est plein ? » Tous répondirent : « Oui ». Il attendit quelques secondes et ajouta : « Vraiment ?  Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot. Le vieux prof leva les yeux vers son auditoire et redemanda « Est-ce que ce pot est plein ? » Cette fois, ses élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux, les yeux brillants de malice, répondit : « Probablement pas ! ». Le professeur se pencha alors de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un petit sac de sable. Il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : « Est-ce que ce pot est plein ? » Cette fois, sans hésiter et en chœur, les élèves répondirent « Non ! » Et comme s’y attendaient maintenant les élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot. Puis il demanda au groupe : « Quelle grande vérité nous enseigne ce que nous venons de voir ? »

  • Un des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : « Cela démontre que même lorsque l’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ».
  • « Non, répondit le professeur, ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite ». Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience, de l’évidence de ces propos.
  • Il poursuivit alors : « Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? Votre santé ? Votre famille ? Vos proches ? Réaliser vos rêves ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Etc… Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir… sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus suffisamment de temps à consacrer aux éléments importants. Alors, n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?. Ensuite, mettez-les en premier dans votre vie.

Histoire extraite des conférences de Stephen Covey

Pour vous organiser, il n’y a pas besoin de beaucoup de séances. ON regarde ensemble vos priorités, on les place au centre de vos actions, et le reste viendra tout seul…

Et pour finir  avec le sourire, voici une fable que j’attribue au célèbre Nasr Eddin, un célèbre maître soufi de la folle sagesse, un peu fantaisiste comme vous allez pouvoir le constater :

Nasr Eddin, le  possédait un coq, qui chantait, toujours à la même heure, quelques minutes avant l’apparition du soleil. Assurément pensait-il, c’était le chant de son coq, qui faisait lever le soleil.  Les voisins dérangés par le volatile finir par s’en plaindre à Nasr Eddin, qui s’en fut vivre dans un autre village, emmenant évidemment son coq avec lui. Au premier matin de sa nouvelle installation, il fut comme d’habitude réveillé par le chant du coq quelques minutes avant le lever du soleil.   Peu à peu la lumière inonda les lieux.  C’est ainsi que notre bonhomme pensa : “Je plains bien les habitants de l’autre village, qui resteront dans l’obscurité pour toujours, maintenant que mon coq est parti…”

Parfois, il est bon de se remettre en question. Et parois, il est bon de croire en sa propre vision. Nasr Eddin est un maître de l’absurde. C’est sa spécialité. c’est pourquoi une autre fois, alors qu’on l’interrogeait sur l’astronomie, il répondit de façon étrange, pour faire rire et réfléchir ses élèves, lorsqu’ils lui demandèrent : – Nasr Eddin, toi qui est versé dans les sciences et les mystères, dis-nous quel est le plus utile, du soleil ou de la lune. Face à cette question oiseuse et parfaitement absurde, le sage répondit : – La lune, sans aucun doute. Elle éclaire quand il fait nuit alors que ce stupide soleil luit quand il fait jour. Certes, le soleil n’est pas stupide, mais tout de même… la lune qui éclaire quand il fait nuit a bien du mérite ! Dans la même veine d’absurdité paradoxale qui fait changer de perspective, en voici une autre :

Dans un village où Nasr Eddin était imam, les gens avaient l’habitude de collectionner des pièces d’or, de les mette dans une jarre et d’enterrer cette dernière dans leur jardin. Une fois par an, ils déterraient la jarre, admiraient les pièces puis l’enterrait de nouveau. Nasr Eddin prit des cailloux, les mit dans une jarre et l’enterra. – Eh là, ça ne va pas : tu dois remplir ta jarre d’or, lui dirent les gens. – Braves gens, dit Nasr Eddin, considérant que vous ne dépensez pas votre argent, qu’importe que ce soit de l’or ou des cailloux ?

Toute une vie qui part en fumée lors d’un incendie, toute une histoire qui s’effondre lors d’une séparation, tout une image de soi qui s’écroule lors d’un licenciement… Cela me fait penser aux économies qu’on a parfois quelques temps, et qui ne sont en fait que des chiffres sur un compte. Tout cela n’est que poussière, et on s’en rend bien compte lors des crises économiques, lorsqu’il ne vaut soudain plus rien. Et que dire de la beauté, qui fane comme neige au soleil, au fil de très peu d’années, tandis que s’envole la jeunesse… Que reste-t-il après le soleil de l’été et le decrescendo de l’automne ? La lumière sans soleil ou la lune sans nuit…

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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