Trouver sa place dans la vie est un voyage personnel unique qui demande du temps et de la patience avec soi-même. Voici une approche progressive pour vous accompagner :
A Retenir
- Trouver sa place passe d’abord par une meilleure connaissance de soi et de ses valeurs.
- Nos schémas familiaux influencent fortement notre rôle dans les groupes sociaux et professionnels.
- Prendre conscience de ses automatismes relationnels permet de transformer ses blocages en ressources.
- S’intégrer dans une équipe nécessite d’observer, d’adapter sa communication et de valoriser sa contribution unique.
- La quête de sa juste place est un processus évolutif impliquant authenticité, adaptabilité et intelligence relationnelle.
- Le coaching peut aider à consolider son positionnement et à développer un leadership aligné sur ses forces.
Commencer par se connaître profondément
La première étape consiste à faire un véritable inventaire de qui vous êtes. Identifiez vos valeurs non négociables – ces principes qui vous guident même dans les moments difficiles. Reconnaissez vos talents naturels, pas seulement vos compétences acquises, mais ces capacités qui vous viennent naturellement. Observez aussi ce qui vous donne de l’énergie versus ce qui vous en prend.
Écouter vos émotions et votre intuition
Vos émotions sont des boussoles précieuses. Quand vous vous sentez épanoui, énergisé, en paix ? Quand ressentez-vous de la frustration ou de l’ennui ? Ces signaux vous indiquent si vous êtes sur la bonne voie. Votre intuition, cette petite voix intérieure, connaît souvent la réponse avant votre mental.
Identifier et dépasser vos freins
Nous portons tous des bagages qui nous empêchent d’avancer : peurs de l’échec ou du jugement, croyances limitantes héritées de l’enfance, blessures non guéries. Prenez conscience de ces obstacles. Parfois, un accompagnement thérapeutique peut vous aider à vous en libérer.
Expérimenter sans pression
Votre place ne se trouve pas uniquement dans la réflexion – elle se découvre dans l’action. Testez de nouvelles activités, rencontrez des personnes inspirantes, explorez des domaines qui vous intriguent. Chaque expérience vous apprend quelque chose sur vous-même, même les « échecs » sont instructifs.
Créer de la cohérence
Votre épanouissement vient de l’alignement entre vos valeurs, vos actions et vos relations. Cela peut signifier ajuster progressivement votre travail, vos relations ou votre mode de vie. L’objectif n’est pas la perfection, mais une plus grande authenticité.
Cultiver des relations nourrissantes
Une grande partie de notre sentiment d’appartenance vient de nos connexions humaines. Entourez-vous de personnes qui vous acceptent tel que vous êtes, vous encouragent à grandir et partagent certaines de vos valeurs.
Accepter que c’est un processus évolutif
Votre place dans la vie n’est pas un point d’arrivée fixe. Elle évolue avec vous, vos expériences, vos apprentissages. Ce qui vous convenait hier peut ne plus vous convenir aujourd’hui, et c’est normal.
Le plus important est de commencer ce dialogue avec vous-même, avec bienveillance et curiosité. Trouver sa place, c’est finalement devenir de plus en plus soi-même, dans toutes les dimensions de sa vie.
Trouver sa place dans un groupe
La famille est notre premier « laboratoire social » où nous apprenons à exister avec les autres, et ces premiers apprentissages influencent profondément notre façon d’aborder tous nos groupes d’appartenance futurs.
Les rôles familiaux qui se reproduisent
Dans chaque famille, nous développons un rôle particulier : l’aîné responsable, le petit dernier charmeur, le médiateur qui évite les conflits, le rebelle qui s’oppose, ou encore le bouc émissaire qui cristallise les tensions. Ces rôles deviennent des réflexes que nous reproduisons inconsciemment dans nos équipes professionnelles ou nos groupes d’amis.
Si vous étiez l’enfant qui « réparait » les disputes familiales, vous vous retrouverez souvent à jouer les médiateurs au bureau. Si vous aviez l’habitude de vous effacer pour éviter les conflits familiaux, vous risquez de reproduire cette discrétion excessive en équipe, même quand votre voix serait précieuse.
Les schémas relationnels intégrés
La façon dont nous avons appris à obtenir de l’attention, de l’amour ou de la reconnaissance dans notre famille devient notre mode d’emploi relationnel. L’enfant qui n’était valorisé que pour ses performances excellentes peut devenir l’adulte qui s’épuise à vouloir être parfait au travail. Celui qui obtenait de l’attention par la provocation peut inconsciemment créer des tensions dans ses équipes.
La gestion de l’autorité
Notre rapport aux figures d’autorité se forge d’abord avec nos parents. Un enfant qui a grandi avec un parent très autoritaire peut soit se soumettre excessivement à sa hiérarchie, soit au contraire développer une rébellion systématique. Ces deux extrêmes compliquent l’intégration dans des structures où l’autorité doit être négociée de manière équilibrée.
Les stratégies de survie qui deviennent des handicaps
Dans certaines familles dysfonctionnelles, nous développons des stratégies de protection : hypervigilance, évitement du conflit, surinvestissement dans le travail pour fuir les émotions, ou encore besoin excessif de contrôle. Ces mécanismes, utiles dans l’enfance, peuvent nous desservir dans nos relations adultes en créant des distances ou des malentendus.
La quête de la place « idéale »
Souvent, nous cherchons inconsciemment dans nos groupes d’adultes la place que nous n’avons pas eue dans notre famille. L’enfant qui s’est senti invisible peut avoir un besoin exacerbé d’être vu et reconnu, quitte à en faire trop. Celui qui portait trop de responsabilités jeune peut alterner entre surprendre par son leadership naturel et s’épuiser à vouloir tout gérer.
Les loyautés invisibles
Nous portons parfois des « loyautés invisibles » envers notre famille d’origine qui nous empêchent de nous épanouir ailleurs. Par exemple, réussir mieux que ses parents ou ses frères peut inconsciemment générer de la culpabilité et saboter nos succès professionnels ou sociaux.
Comment transformer ces héritages
Prendre conscience de ces mécanismes est le premier pas vers la liberté. Vous pouvez observer vos réactions automatiques dans les groupes : Quel rôle endossez-vous spontanément ? Quelles émotions émergent face à certains types de personnalités ? Comment réagissez-vous au conflit, à la critique, à la reconnaissance ?
Cette prise de conscience permet de faire des choix plus libres. Vous pouvez décider de garder certains aspects de votre « rôle familial » qui vous servent (votre capacité d’écoute, votre sens des responsabilités) tout en vous libérant des aspects limitants (votre tendance à vous effacer, votre peur du conflit).
Réécrire son histoire relationnelle
Chaque nouveau groupe est une opportunité de réécrire votre histoire relationnelle. Vous pouvez expérimenter de nouveaux rôles, exprimer des facettes de votre personnalité qui étaient bridées dans votre famille, ou apprendre à poser des limites que vous n’avez jamais pu établir enfant.
L’objectif n’est pas de renier votre histoire familiale, mais de transformer cet héritage en ressource consciente plutôt qu’en répétition inconsciente. Trouver sa juste place dans un groupe devient alors un acte de liberté et d’authenticité, et non plus une reproduction automatique de schémas anciens.
Trouver sa place dans une équipe de travail
Cela relève d’une dynamique particulière qui mélange adaptation et affirmation de soi. Voici comment naviguer ces environnements collectifs :
Observer avant d’agir
Quand vous intégrez un nouveau groupe, prenez le temps d’observer les dynamiques existantes.
- Qui sont les leaders informels ?
- Quelles sont les valeurs implicites ?
- Comment les décisions se prennent-elles ?
- Cette phase d’observation vous permet de comprendre les codes sans vous précipiter.
Identifier votre contribution unique
Chaque groupe a besoin de différents profils pour fonctionner. Peut-être êtes-vous celui qui pose les bonnes questions, qui trouve des solutions créatives, qui facilite les relations, ou qui excelle dans l’exécution ? Identifiez ce que vous apportez naturellement et valorisez cette contribution.
Trouver l’équilibre entre adaptation et authenticité
Il faut s’adapter aux codes du groupe tout en restant fidèle à vos valeurs. Vous pouvez ajuster votre style de communication ou vos méthodes de travail sans renier qui vous êtes. L’objectif est de créer des ponts, pas de vous effacer.
Construire des relations individuelles
Au-delà de votre place dans le groupe, cultivez des relations individuelles avec vos collègues. Ces connexions personnelles facilitent souvent votre intégration et créent des alliances naturelles. Prenez un café, proposez votre aide, montrez un intérêt sincère pour les autres.
Communiquer clairement vos besoins et limites
N’hésitez pas à exprimer vos préférences de travail, vos zones de force et vos limites. Un bon équipier sait dire « c’est dans mes cordes » mais aussi « j’aurai besoin d’aide sur ce point ». Cette transparence crée de la confiance.
Gérer les conflits constructivement
Dans tout groupe, des tensions émergent. Plutôt que de les éviter, apprenez à les aborder de manière constructive. Écoutez les autres points de vue, exprimez le vôtre avec respect, et cherchez des solutions qui servent l’objectif commun.
Prendre des initiatives alignées
Proposez des idées, des améliorations ou prenez en charge des projets qui correspondent à vos forces. Cette proactivité montre votre engagement tout en vous permettant de briller dans votre domaine d’excellence.
Accepter que certains groupes ne vous correspondent pas
Parfois, malgré tous vos efforts, un groupe ou une équipe ne vous convient pas. Les valeurs sont trop éloignées, les méthodes de travail incompatibles, ou l’ambiance toxique. Savoir partir ou demander un changement d’équipe fait aussi partie de la recherche de sa juste place.
Développer votre intelligence collective
Apprenez à penser « nous » plutôt que « moi » quand c’est approprié. Célébrez les succès collectifs, soutenez vos collègues dans leurs difficultés, et contribuez à une atmosphère positive. Votre place se solidifie quand les autres vous voient comme un atout pour le groupe.
Évoluer avec le groupe
Les équipes changent, les projets évoluent, les personnes partent et arrivent. Votre place peut se transformer avec ces évolutions. Restez flexible tout en maintenant votre identité professionnelle.
L’art de trouver sa place dans un collectif consiste finalement à être suffisamment adaptable pour s’intégrer et suffisamment authentique pour apporter sa valeur unique. C’est un équilibre délicat qui se construit avec le temps et l’expérience.
Natacha Calestrémé : « Trouver sa place » :
Le bonheur et l’épanouissement tiennent à une chose fondamentale : trouver votre « juste place » – une harmonie avec les autres et avec soi-même dans tous les domaines de la vie : travail, amour, famille, finances, bien-être physique et moral.
La méthode des 22 protocoles
Natacha Calestrémé propose 22 protocoles issus de rituels pratiqués par des chamanes, médiums ou énergéticiens, qu’elle a adaptés après avoir elle-même traversé des épreuves difficiles. Ces protocoles visent à :
Identifier les blocages : Comprendre les liens entre ce qui vous freine et vos épreuves, qu’elles soient personnelles ou héritées de votre famille.
Se libérer émotionnellement : Se défaire des fardeaux émotionnels qui empêchent d’accéder à son plein potentiel. Trouver ma place, 22 protocoles pour atteindre la sérénité
Retrouver son énergie : Réactiver votre potentiel et retrouver votre pleine énergie en comprenant que nos problèmes peuvent être l’expression d’émotions douloureuses, de peurs, de blocages ou de culpabilités.
L’approche pratique
L’auteure combine son expérience de journaliste spécialisée en santé avec dix ans d’expériences pratiques et des centaines d’ateliers et conférences sur les moyens de se reconstruire suite à une épreuve.
La démarche est concrète, avec de nombreux cas pratiques pour aider chacun à identifier ses propres blocages et à appliquer les protocoles adaptés à sa situation.
Cette approche holistique considère que trouver sa place implique un travail sur soi profond, alliant guérison émotionnelle et repositionnement dans tous les aspects de sa vie.
« Le manager caméléon » — Chronique d’un coaching de repositionnement au CODIR
Contexte
Mathieu a 42 ans. Il est directeur marketing d’une entreprise du secteur agroalimentaire (3000 salariés, siège à Lyon), entrée dans une phase de transformation ambitieuse : nouveaux marchés, digitalisation, refonte des processus internes. Mathieu a été recruté 18 mois auparavant, en externe, après une brillante carrière dans un grand groupe de la grande distribution.
Son arrivée avait été saluée comme un souffle d’air frais. Pourtant, après un an et demi, quelque chose cloche. Il ne s’impose pas au sein du CODIR, composé de sept personnes, dont cinq sont là depuis plus de dix ans. Les décisions se prennent souvent sans lui, ou en décalage avec ses préconisations. Il dit se sentir « toléré mais pas pleinement intégré ». Son DG, Éric, me contacte : « Je sens qu’il est compétent, mais il n’arrive pas à jouer collectif. On ne peut pas se permettre d’avoir un directeur marketing isolé. »
Phase 1 – Diagnostic : « Je suis là, mais je ne suis pas là »
Le premier entretien avec Mathieu est révélateur. Il parle vite, très vite, avec une énergie nerveuse. Il se définit comme « un créatif qui pense en dehors des cases ». Il dit aussi : « Je suis souvent celui qui remet en cause les décisions trop vite prises. Mais j’ai l’impression de déranger, d’être trop… intense. »
Il décrit un CODIR silencieux, peu confrontant, où les non-dits priment sur les débats ouverts. Ses collègues évitent les conflits, avancent en mode consensus ou en réunions bilatérales. « Moi, je suis cash, j’aime débattre », dit-il.
Je lui propose de poser un regard systémique sur la situation : et si le problème n’était pas lui ou les autres, mais l’interaction ? Nous réalisons ensemble une cartographie du CODIR (inspirée du modèle de sociogramme d’Anzieu et Martin, 1982), identifiant les alliances, les figures dominantes, les zones d’exclusion. Mathieu y découvre un terrain de jeu dont il n’a pas les codes.
Phase 2 – Prise de recul : sortir du mode combat
Mathieu s’aperçoit qu’il est perçu comme brillant mais individualiste. Un audit 360° (format allégé, 8 interviews semi-directives) vient confirmer cela. Une citation revient plusieurs fois : « Il veut bien faire, mais il veut le faire seul. »
Cette perception est renforcée par ses comportements en réunion : il coupe la parole, challenge sans bienveillance, présente des chiffres brillants sans créer de lien avec les enjeux des autres directions. Il admet : « J’ai voulu impressionner, mais j’ai oublié de m’inscrire dans le collectif. »
Je lui propose un travail de repositionnement identitaire, inspiré du modèle de la posture basse/posture haute de Jacques Salomé : il découvre qu’il peut être affirmé sans être dominant. Cela passe notamment par une redéfinition de son rôle : il ne s’agit pas seulement de « faire du marketing », mais d’incarner une vision client dans un collectif de décideurs.
Phase 3 – Développement de nouveaux comportements
Mathieu identifie 3 leviers concrets à activer :
- Créer des alliances proactives : il commence à solliciter des échanges réguliers en one-to-one avec les membres du CODIR, non pour « convaincre », mais pour écouter leurs préoccupations. Il adopte la méthode de l’écoute active (reformulation, silence, validation) et découvre que ses collègues sont bien plus ouverts en bilatéral.
- Changer sa façon de présenter ses idées : il structure désormais ses propositions avec une approche « problème > impact > solution > bénéfices pour les autres ». Il utilise le modèle « CQQCOQP » pour anticiper les objections (Qui ? Quoi ? Quand ? Comment ? Où ? Combien ? Pourquoi ?). Résultat : ses propositions sont perçues comme plus stratégiques, moins autocentrées.
- Revaloriser son image au sein du CODIR : il apprend à poser des questions plutôt qu’à imposer des réponses. Il remercie publiquement les autres directeurs quand leurs contributions enrichissent ses projets. Il devient, lentement, un catalyseur d’intelligence collective plutôt qu’un électron libre.
Phase 4 – Ancrage et feedback
Au bout de six mois, le changement est perceptible. Le DG me confie : « Il y a un avant et un après. Il reste exigeant, mais il écoute mieux. Il est respecté, là où avant il était redouté. »
Un exemple emblématique : lors du séminaire stratégique annuel, Mathieu co-anime une session avec la DRH sur l’expérience collaborateur. Son ton est plus posé, son contenu moins technique, et surtout, il intègre les enjeux RH, commerciaux et opérationnels dans sa présentation. Une directrice dira après coup : « C’est la première fois que je me suis sentie incluse dans un sujet marketing. »
Enseignements clés
Ce cas illustre un point crucial : l’intégration au CODIR ne repose pas que sur la compétence métier, mais sur la capacité à jouer les bons rôles dans un théâtre collectif. D’après une étude de Korn Ferry (2023), 67 % des échecs de cadres dirigeants sont liés à des problèmes de comportement ou d’alignement culturel, non à un déficit de performance.
Le coaching a permis à Mathieu de :
- Repenser son identité professionnelle (de « l’expert flamboyant » à « l’architecte d’un dialogue stratégique »)
- Comprendre les logiques de pouvoir et d’appartenance
- Maîtriser les codes implicites d’un collectif dirigeant (le « soft power » de la posture)
Trouver sa place dans un CODIR n’est ni une affaire de charisme ni de légitimité purement technique. C’est un jeu d’ajustement, d’écoute, de synchronisation. Ce que Mathieu a appris, c’est que dans ces arènes de décision, il ne suffit pas d’avoir raison : encore faut-il que les autres aient envie de vous suivre. Et cela, ça se travaille.
Vous êtes un manager et vous vous sentez « en quête de votre place » ?
Diriger une équipe est un rôle complexe, et il n’est pas rare de se sentir parfois en décalage, de douter de sa légitimité ou de chercher comment affirmer son leadership de manière authentique. Peut-être arrivez-vous dans un nouveau poste, votre équipe a changé, ou vous avez l’impression que vos méthodes habituelles ne fonctionnent plus. Ce sentiment de ne pas trouver sa place peut être isolant et freiner votre potentiel.
Ne laissez pas ce questionnement vous freiner.
Le coaching de manager est une démarche stratégique et personnalisée conçue pour vous aider à redéfinir et consolider votre positionnement.
Avec un coaching ciblé, vous allez pouvoir :
- Clarifier votre vision du leadership : Définir le manager que vous voulez être, en accord avec vos valeurs et vos forces uniques.
- Renforcer votre légitimité : Identifier et valoriser vos compétences, votre expérience et votre personnalité pour asseoir naturellement votre autorité.
- Affirmer votre style de management : Développer une communication percutante et un leadership qui inspire, sans chercher à copier les autres.
- Naviguer les dynamiques d’équipe : Comprendre les enjeux relationnels, gérer les résistances et fédérer autour d’objectifs communs.
- Gagner en confiance et en sérénité : Transformer le doute en assurance, pour manager avec plus d’impact et de bien-être.
Le coaching vous offre un espace confidentiel et sans jugement pour explorer ces questions, tester de nouvelles approches et construire pas à pas le manager que vous avez toujours aspiré à être. C’est un investissement dans votre carrière et votre épanouissement.
Prêt(e) à prendre pleinement votre place et à laisser votre empreinte ?
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Trouver sa place : Guide complet pour s’épanouir personnellement et professionnellement
Toutes les réponses pour comprendre comment découvrir sa juste place dans la vie, au sein d’un groupe ou d’une équipe
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Qu’est-ce que « trouver sa place » exactement ?
Trouver sa place, c’est identifier le rôle qui nous correspond le mieux dans les différentes sphères de notre vie : personnelle, familiale, professionnelle ou sociale. Cela implique de vivre en accord avec ses valeurs, de se sentir épanoui dans ses relations et dans ses actions, et de contribuer de façon authentique au collectif tout en respectant qui l’on est.
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Quelles sont les étapes clés pour trouver sa place dans la vie ?
- Se connaître en profondeur : identifier ses valeurs, talents naturels et sources d’énergie.
- Écouter ses émotions et son intuition pour repérer les situations qui nous conviennent ou non.
- Reconnaître et dépasser ses freins : peurs, croyances limitantes, blessures passées.
- Expérimenter sans pression : agir, tester de nouveaux environnements, rencontrer diverses personnes.
- Créer de la cohérence : aligner ses valeurs, ses relations et ses choix de vie.
- Cultiver des relations nourrissantes : s’entourer de personnes qui soutiennent notre évolution.
- Accepter l’évolutivité du processus : comprendre que sa place évolue au fil du temps et des expériences.
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Pourquoi notre famille influence-t-elle autant la place que l’on occupe dans les groupes ?
La famille est notre premier groupe d’appartenance et le « laboratoire social » où nous apprenons à interagir, à tenir certains rôles (médiateur, leader, rebelle, etc.) et à gérer l’autorité. Ces schémas relationnels et rôles appris dans l’enfance se rejouent souvent inconsciemment dans nos relations d’adultes, que ce soit en équipe ou dans nos cercles amicaux.
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Comment repérer et dépasser les anciens schémas relationnels hérités de l’enfance ?
Pour repérer ces schémas, il est conseillé d’observer vos réactions automatiques dans les groupes : rôle adopté spontanément, façon de réagir au conflit, besoins de reconnaissance.
La prise de conscience permet ensuite de faire des choix plus libres, en transformant les aspects limitants (comme le besoin de contrôle ou la peur du conflit) tout en conservant ceux qui vous servent (responsabilité, écoute, etc.). Un accompagnement thérapeutique ou un coaching peut grandement accélérer ce processus. -
Quels sont les conseils pour bien trouver sa place dans une équipe de travail ?
- Observer les dynamiques existantes avant d’agir : identifiez leaders, valeurs et modes de décision.
- Identifier votre contribution unique et la valoriser.
- Équilibrer adaptation et authenticité : s’ajuster sans se renier.
- Construire des relations individuelles avec des collègues clés.
- Communiquer clairement besoins et limites.
- Gérer les conflits de façon constructive.
- Prendre des initiatives alignées avec vos forces.
- Accepter que certains groupes ne vous correspondent pas et savoir partir si besoin.
- Développer l’intelligence collective et célébrer le succès du groupe.
- Rester flexible pour évoluer avec le collectif.
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Quels blocages peuvent empêcher de trouver sa place et comment les dépasser ?
Les principaux blocages sont les peurs (échec, rejet, jugement), les croyances limitantes héritées de l’enfance, certaines blessures émotionnelles ou encore les « loyautés invisibles » envers la famille. Prendre conscience de ces freins, les verbaliser, les examiner parfois avec un professionnel ou à travers des protocoles de libération émotionnelle, permet de s’en libérer progressivement et d’accéder à son plein potentiel.
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En quoi consiste la méthode des 22 protocoles de Natacha Calestrémé pour trouver sa place ?
Natacha Calestrémé propose 22 protocoles inspirés de rituels énergétiques, adaptés à nos contextes de vie modernes, afin d’identifier les blocages, se libérer émotionnellement et retrouver son énergie. Sa démarche, à la fois concrète et holistique, s’appuie sur des cas pratiques et vise à accompagner chacun dans la reconquête de sa justesse intérieure dans toutes les sphères (famille, travail, amour, finances, bien-être). Découvrir le livre
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Quels enseignements retenir du cas du manager caméléon (Mathieu) ?
- L’intégration en comité de direction (CODIR) ne dépend pas uniquement des compétences techniques mais surtout de la compréhension des dynamiques collectives et de l’alignement avec la culture du groupe.
- Pour s’intégrer, il faut ajuster ses comportements, écouter, créer des alliances et valoriser le travail collectif.
- Le repositionnement passe par l’écoute active, le respect des codes implicites du collectif, le développement du « soft power ».
L’enjeu est de devenir un catalyseur d’intelligence collective plutôt qu’un expert isolé.
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Que peut apporter un coaching quand on ne trouve pas sa place en tant que manager ?
Le coaching de manager est un accompagnement stratégique et confidentiel qui permet de clarifier sa vision du leadership, renforcer sa légitimité, développer une communication impactante, naviguer les dynamiques d’équipe, et gagner en confiance. Il aide à dépasser le sentiment de décalage ou de doute, à asseoir son autorité sans « jouer un rôle » artificiel, et à mener avec authenticité.
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Pourquoi est-il normal que sa place évolue au fil du temps ?
Trouver sa place n’est pas une manifestation statique ou définitive : nos aspirations, notre environnement, nos relations et même notre personnalité changent avec l’expérience. Ce qui nous convenait autrefois peut ne plus nous satisfaire aujourd’hui, et c’est tout à fait naturel. L’essentiel est de rester à l’écoute de soi-même et d’accueillir ces évolutions avec bienveillance et curiosité.