L’Ikigai « classique » est un concept japonais qui désigne la raison d’être, ce qui donne envie de se lever le matin. Représenté souvent sous forme de diagramme de Venn à 4 cercles, il croise :

1. Ce que j’aime (passion)
2. Ce en quoi je suis doué (vocation)
3. Ce dont le monde a besoin (mission)
4. Ce pour quoi je peux être payé (profession)

Le point d’intersection central représente l’Ikigai : un espace d’équilibre entre plaisir, utilité, compétence et viabilité économique. C’est à la fois une boussole de sens personnel et un outil de réflexion stratégique pour aligner vie professionnelle et aspirations profondes.

Ce modèle a été popularisé en Occident par des auteurs comme Ken Mogi et Héctor García, bien qu’il simplifie une notion japonaise plus nuancée, liée au bien-vivre au quotidien, pas forcément à la réussite ou à la rentabilité.

A Retenir

• L’Ikigai revisité aide à aligner plaisir, réussite, talent naturel et utilité au sein des équipes.
• La cartographie collective révèle les complémentarités et zones d’excellence pour renforcer la cohésion.
• Identifier les « creux » dans les cercles met en lumière la fatigue ou le manque de reconnaissance d’équipe.
• Un Ikigai collectif favorise sens, engagement et adaptation face aux évolutions organisationnelles.
• L’intégration régulière de l’outil améliore l’engagement, la coopération et la motivation durablement.
• Des exemples concrets montrent l’impact sur la redéfinition des missions et la gestion des tensions.

Ikigai revisité pour le coaching d’équipe

Utiliser un Ikigai collectif en coaching d’équipe, revisité avec ces 4 cercles – Réussite, Plaisir, Talent Naturel, Résonance Écosystémique – en coaching d’équipe peut devenir un puissant outil d’alignement collectif, de clarification des rôles, ou encore de redynamisation des missions.

• Réussite : les activités, les missions, les tâches, où j’ai déjà eu des réussites et connu du succès dans ma vie (professionnelle notamment)
• Plaisir : là où j’ai pris du plaisir, ce qui m’a donné de la satisfaction en le faisant
• Talent naturel : là où j’ai de la facilité, je sais le faire sans effort (que ce soit inné ou acquis)
• Résonance écosytémique : les activités qui créent de la valeur pour mon environnement direct, que mon réseau (même étendu) peut être à même d’apprécier

1. Cartographie des zones de force collectives

L’exercice commence par une exploration individuelle où chaque membre de l’équipe identifie ses propres cercles, puis s’ouvre vers une vision collective. Cette approche révèle naturellement les complémentarités : là où certains excellent naturellement (Talent Naturel), d’autres trouvent leur épanouissement (Plaisir), créant ainsi une mosaïque de compétences et de motivations qui enrichit l’ensemble.

Objectif : Identifier les zones d’excellence partagées de l’équipe.

Comment :
Chaque membre complète son propre Ikigai. Ensuite, on regroupe les zones communes par cercles. On visualise les recoupements pour détecter des « territoires d’excellence » collectifs.

Exemple :
Une équipe commerciale pourrait découvrir qu’elle excelle collectivement dans la prise de parole en public (Talent Naturel + Réussite) mais que peu y trouvent du Plaisir → cela interroge sur la soutenabilité de leur performance.

Chiffre inspirant :
Selon Gallup (2022), les employés qui utilisent leurs points forts chaque jour sont 6 fois plus engagés au travail.

2. Réalignement des rôles dans l’équipe

Le cercle Réussite prend une dimension collective particulièrement intéressante. Il ne s’agit plus seulement des succès individuels, mais de définir ensemble ce que représente la réussite pour l’équipe. Cette redéfinition permet souvent de dépasser les indicateurs purement quantitatifs pour intégrer des valeurs plus profondes et mobilisatrices.

Objectif : Ajuster les missions de chacun en fonction de ce qui fait sens ET produit de la valeur.

Comment :
Chaque membre partage son Ikigai (ou une version simplifiée). En sous-groupes, on explore comment répartir les responsabilités pour que chacun reste au cœur de son Ikigai. En séance plénière, on met à jour la « carte des rôles ».

Exemple :
Dans une équipe projet, Julie, qui excelle en structuration mais y trouve peu de plaisir, pourrait coanimer avec Karim, qui adore clarifier les idées même s’il est moins rigoureux → complémentarité activée.

3. Diagnostic de fatigue ou de désalignement

Et révélation des zones d’épanouissement collectif.

Le Plaisir en équipe se manifeste dans ces moments où l’énergie collective s’élève, où la collaboration devient fluide et stimulante. Identifier ces zones d’épanouissement partagé permet de structurer davantage de projets et d’interactions qui génèrent cette dynamique positive.

Objectif : Détecter des signaux faibles d’usure ou de déconnexion.

Comment :
Faire remplir l’Ikigai avec une échelle de satisfaction actuelle (1 à 10) sur chaque cercle. Identifier les cercles « en creux ». Discuter en collectif : Que veut dire un « creux » dans la Résonance ? Dans le Talent ?

Exemple :
Un cercle « Résonance Écosystémique » faible peut indiquer que les efforts de l’équipe ne sont plus reconnus par les parties prenantes – un signal à traiter avant démotivation.

Donnée utile :
Les études sur la reconnaissance montrent qu’un manque de feedback positif entraîne une chute de 37% de la productivité dans les 3 mois (Harvard Business Review, 2021).

4. Design d’une mission d’équipe inspirante

Objectif : Créer une mission collective basée sur ce qui fait sens et ce qui est utile.

Comment :
Chaque membre partage ce qui se situe au croisement des 4 cercles pour lui (Réussite, Plaisir, Talent Naturel, Résonance Écosystémique). On cherche ensuite à faire émerger une mission commune qui maximise ces zones. Cela devient le cœur du « récit d’équipe », plus vivant et aligné que les habituelles descriptions de poste ou objectifs formels.

Exemple inspirant :
Dans une équipe RH au siège monde d’un grand groupe industriel de l’énergie (20 personnes, fonctions globales en recrutement, leadership et culture), l’atelier Ikigai a été utilisé lors d’un séminaire stratégique. L’équipe avait récemment subi des réorganisations et une perte de repères, avec une forte pression pour « aligner les RH avec la performance business ».

À travers l’exercice, plusieurs prises de conscience émergent :

• La Réussite passée était très orientée vers la livraison de projets complexes (intégration post-fusion, digitalisation des formations), mais sans toujours générer de Résonance visible.
• Beaucoup expriment du Plaisir et un Talent naturel dans la co-construction avec les pays, la facilitation interculturelle, mais ces dimensions étaient peu valorisées.
• Le croisement des 4 cercles révèle une aspiration commune à devenir des « architectes de connexions humaines dans un système global », pas seulement des exécutants de process RH.

À l’issue de l’atelier, l’équipe reformule collectivement sa mission :

« Nous sommes là pour activer, connecter et faire rayonner les talents du groupe, en partant de ce qui est vivant dans chaque culture. »

Cette mission devient un fil conducteur pour :

• Reprioriser les projets (ex. : mise en pause d’une refonte de process pour relancer une communauté RH interrégionale dormante)
• Faire évoluer les rôles (ex. : deux membres passent d’un rôle purement corporate à un rôle d’ambassadeur régional, au plus proche du terrain)
• Donner du sens au reporting en le reconnectant à l’impact humain et collectif, et non uniquement aux KPIs.

Résultat 6 mois plus tard :

• Hausse de +22 % de l’engagement dans le baromètre interne de l’équipe.
• Une meilleure coopération avec les RH locales, mentionnée comme un « game changer » par deux VPs régionaux.
• Une équipe qui déclare « avoir retrouvé une fierté d’être RH », en phase avec ce qu’elle aime faire, sait faire, et ce qui est attendu d’elle.

Cet usage de l’Ikigai revisité a donc permis bien plus qu’un diagnostic : un ré-ancrage identitaire, un réalignement stratégique, et une nouvelle dynamique collective.

5. Suivi dans le temps des évolutions

Objectif : Mesurer l’évolution du sens et de la motivation au fil du temps.

Comment :
Réaliser un Ikigai tous les 6 mois par personne, en demandant une auto-évaluation qualitative sur chaque cercle :

• Où en suis-je aujourd’hui dans mes Réussites ?
• Est-ce que j’éprouve toujours du Plaisir dans mes activités clés ?
• Est-ce que je mobilise vraiment mes Talents naturels ?
• Mon travail génère-t-il une Résonance positive dans mon écosystème (collègues, clients internes, partenaires) ?

Comparer ensuite les cartes Ikigai dans le temps permet de visualiser les glissements, les montées en énergie… ou les signaux faibles de désalignement. En collectif, la discussion porte sur :

« Qu’est-ce qui a changé dans notre Résonance ? Dans nos Talents exprimés ? Que faire pour retrouver un Ikigai collectif vivace ? »

Exemple inspirant :
Dans une direction RH d’un groupe agroalimentaire, l’équipe Learning & Development (12 personnes) a intégré l’Ikigai dans ses revues semestrielles. Suite à une transformation du modèle d’affaires (passage du B2B vers le B2C), les projets ont profondément changé de nature.

La comparaison entre les Ikigai de mars et d’octobre a mis en évidence plusieurs tendances :

• Des projets toujours couronnés de succès (Réussite), mais dont la Résonance avec les métiers et les collaborateurs de terrain avait chuté (moins de feedbacks, moins d’interactions).
• Une baisse marquée du Plaisir chez ceux qui, auparavant, animaient des programmes présentiels très interactifs, remplacés désormais par des modules e-learning plus industrialisés.
• L’un des membres les plus expérimentés a confié :

« Je suis devenu un producteur de contenu. Ce n’est pas ce pourquoi j’ai rejoint ce métier. »

Ce diagnostic collectif a ouvert un espace stratégique de repositionnement :

• L’équipe a décidé de réinjecter du « learning en live », à petite échelle, mais avec fort impact humain.
• Une cellule d’écoute terrain a été lancée pour remonter les attentes et renouer avec la résonance écosystémique.
• Deux collaborateurs ont pu évoluer vers des rôles plus en lien avec leur Talent Naturel de facilitation et d’animation, en rejoignant les équipes régionales.

3 mois après ce réalignement :

• Une hausse de +18 % du score « motivation à long terme » dans le baromètre interne.
• Une demande croissante des métiers pour des formats mixtes (présentiel + digital), redonnant du sens aux offres de formation.
• Et surtout, une équipe qui se sent à nouveau à sa juste place, avec une boussole claire pour guider ses choix.

L’Ikigai revisité a ainsi agi comme un sismographe du sens au travail : discret mais précieux pour anticiper l’érosion de la motivation avant qu’elle ne devienne un problème de performance.

6. Facilitation des feedbacks à 360°

Objectif : Développer un langage commun autour de la reconnaissance et du développement.

Comment :
Chaque membre complète le cercle Résonance Écosystémique à partir des retours reçus de ses collègues, managers ou partenaires internes. L’idée est de ne pas rester seul juge de ce qui a de la valeur, mais d’intégrer le regard des autres. Cet exercice peut être mené dans le cadre d’un atelier de feedback croisé ou à partir d’un questionnaire collectif. En retour, cela permet d’enrichir les autres cercles de l’Ikigai (ex. : un talent que je n’avais pas identifié, une réussite oubliée, une activité qui donne du plaisir mais que j’avais négligée).

Exemple inspirant : Jean-Charles, développeur taciturne devenu pilier d’équipe

Jean-Charles est développeur full stack dans une équipe IT d’un groupe du secteur bancaire. Il est discret, peu enclin à se mettre en avant. Très compétent techniquement, il est surtout perçu comme un « profil de l’ombre », toujours fiable, mais peu visible. En dehors du travail, Jean-Charles est passionné d’œnologie, qu’il pratique avec rigueur et sens du détail. Il est aussi étonnamment disponible pour les autres : collègues stressés, juniors déboussolés, ou simples collègues qui passent discuter — tous trouvent en lui une présence calme, à l’écoute, sans jugement.

Lors d’un atelier Ikigai en équipe (proposé à l’occasion d’un moment de rétrospective d’équipe), Jean-Charles remplit son canevas, un peu à contrecœur. Pour lui, ses talents sont clairs : structuration du code, optimisation des flux de données, gestion des bugs. Rien de plus. Il place « discuter avec les collègues » du côté du plaisir personnel, mais secondaire.

Mais lorsque l’équipe partage ses feedbacks croisés (cercle Résonance Écosystémique), plusieurs collègues mentionnent l’écoute de Jean-Charles comme un élément clé de la sécurité psychologique de l’équipe :

« Quand je ne vais pas bien, c’est vers toi que je me tourne. »
« Tu ne parles pas beaucoup, mais tu entends tout. »
« T’es un peu notre boussole émotionnelle silencieuse. »

Ce moment agit comme un déclencheur de prise de conscience. Jean-Charles comprend que cette qualité, qu’il jugeait marginale, a une valeur écosystémique forte. Son talent d’écoute — qu’il ne reliait ni à sa réussite, ni à ses missions officielles — devient un pilier discret mais fondamental de l’équipe.

Suite à cette prise de conscience :

• Il accepte de co-animer les séances de code review, non pas pour parler, mais pour écouter les échanges et pointer les angles morts émotionnels ou relationnels.
• Il devient mentor informel pour deux nouveaux arrivants, ce qui lui permet d’exprimer à la fois son plaisir, sa disponibilité, et sa finesse d’observation.
• En lien avec son intérêt pour l’œnologie, il propose un format d’afterwork d’équipe intitulé « écouter le vin, écouter les gens », moment informel qui devient un rituel apprécié.

Conséquences au bout de 3 mois :

• Meilleure fluidité dans les échanges d’équipe.
• Hausse de la satisfaction perçue dans les rituels agiles.
• Jean-Charles indique dans son second Ikigai :

« J’ai compris que je n’étais pas juste là pour coder proprement, mais pour créer de la présence bénéfique pour le groupe, à travers ma disponibilité et mon équipe. C’est une sorte de soft ski que vous appréciez et qui fait parfois effet de ciment pour souder le groupe. »

Cet exemple montre la puissance du cercle de Résonance Écosystémique pour révéler l’utilité invisible d’un individu — et lui permettre d’en faire un levier de développement, de plaisir et de reconnaissance.

Deux exemples d’applications Stratégiques d’un Ikigai d’équipe

Gestion des Tensions et Conflits

Lorsque des tensions émergent, revenir aux quatre cercles aide à comprendre les sources de désalignement. Un conflit peut révéler une incompatibilité entre le Plaisir individuel et la Résonance Écosystémique, ou entre les Talents Naturels et les exigences de Réussite.

Innovation et Créativité

L’intersection des quatre cercles, appliquée collectivement, devient un terreau fertile pour l’innovation. Les idées les plus créatives naissent souvent à la convergence des talents diversifiés, des plaisirs partagés, des ambitions communes et d’une compréhension fine de l’écosystème.

Processus d’Animation de l’ikigai en groupe

Phase 1 : Exploration Individuelle

Chaque membre cartographie ses propres cercles en silence, prenant le temps d’une introspection authentique.

Phase 2 : Partage et Écoute

Les participants partagent leurs découvertes sans jugement, créant un espace de vulnérabilité constructive qui renforce la cohésion.

Phase 3 : Synthèse Collective

L’équipe identifie les patterns communs, les complémentarités et les zones d’intersection qui révèlent le potentiel collectif.

Phase 4 : Plan d’Action

À partir de cette compréhension approfondie, l’équipe co-construit des actions concrètes qui honorent à la fois les aspirations individuelles et les objectifs partagés.

Bénéfices Observés

Cette approche génère généralement une authenticité relationnelle nouvelle, où chaque membre se sent reconnu dans sa singularité tout en contribuant à un projet qui le dépasse. Elle favorise également une agilité organisationnellenaturelle, l’équipe s’adaptant plus facilement aux évolutions parce qu’elle comprend intimement ses propres ressources et motivations.

L’Ikigai revisité devient ainsi bien plus qu’un outil de développement personnel : il se transforme en boussole collective, guidant l’équipe vers un épanouissement partagé et une performance durable.

Bonus : Mur Ikigai vivant

Créer un grand tableau au mur avec 4 zones correspondant aux cercles. Chaque membre y positionne ses post-its.

Ou plus fort encore : Créer un espace au sol, où chaque membre se positionne avec des post-its.

Cette « spacialisation » de quelque chose qui est finalement assez abstrait, devient un outil de dialogue collectif évolutif, utilisable sur plusieurs ateliers.

Et si votre équipe trouvait enfin son Ikigai collectif ?

Offrez à votre équipe un espace pour révéler ses talents cachés, réconcilier plaisir et performance, et redonner du sens à l’action collective.
Un atelier sur-mesure, fondé sur l’Ikigai revisité, pour cultiver la clarté, la coopération… et l’élan.

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Format adaptable (présentiel ou distanciel) – de 2h à 2 jours – pour équipes projet, CODIR, ou fonctions support.

Quand une équipe (re)trouve ce qui la rend vivante, utile et alignée, tout change : la coopération devient fluide, les rôles prennent sens, les tensions deviennent des signaux à écouter, pas à fuir.

En vous appuyant sur un accompagnement externe, vous offrez à votre équipe bien plus qu’un atelier :

• Un cadre neutre et sécurisant, pour que les non-dits puissent s’exprimer sans peur du jugement.
• Une posture de coaching qui transforme un simple diagnostic en leviers d’engagement durables.
• Un effet miroir structurant : ce que l’équipe découvre d’elle-même a bien plus de valeur que ce qu’on lui explique.
• Un confort de facilitation, pour que chacun soit pleinement présent dans l’échange sans devoir gérer la dynamique.

À travers l’Ikigai revisité, les équipes redécouvrent ce qui les relie profondément : ce qu’elles aiment, ce qu’elles savent faire, ce qu’on attend d’elles… et ce qui donne envie de continuer à construire ensemble.

Prenez contact, ou appelez-moi au 0671849706, pour explorer comment cet accompagnement pourrait s’adapter à votre équipe, vos enjeux, et votre tempo.
Formats disponibles : 2h, ½ journée ou accompagnement complet (3 à 5 séances). En présentiel ou à distance.

Exemple de journal d’ikigai d’équipe

Journal d’Évolution Ikigai collectif— Relecture semestrielle

Nom : ………………………………………….
Période concernée : [ex. Janvier–Juin 2025]

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1. Réussite

Là où j’ai obtenu des résultats visibles, mes « victoires » concrètes.

• Quelles sont mes 2 à 3 plus grandes réussites récentes ?
  •
  •
  •
• Ces réussites me semblent-elles alignées avec ce que je veux continuer à développer ?
  [ ] Oui
  [ ] Partiellement
  [ ] Non
• Niveau de satisfaction actuel (1 = très faible, 10 = très fort) : ………

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2. Plaisir

Là où j’ai pris du plaisir, ce que j’ai aimé faire ou vivre.

• Quelles activités m’ont procuré le plus de plaisir ces 6 derniers mois ?
  •
  •
  •
• Est-ce que je ressens encore de l’envie et de l’enthousiasme dans mon quotidien ?
  [ ] Oui
  [ ] Par moments
  [ ] Non
• Niveau de plaisir actuel (1 à 10) : ………

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3. Talent Naturel

Là où j’ai le sentiment d’être fluide, compétent, naturellement à l’aise.

• Qu’est-ce que je fais facilement, mieux ou plus naturellement que la moyenne ?
  •
  •
  •
• Ai-je l’occasion d’exprimer ces talents dans mes missions actuelles ?
  [ ] Oui pleinement
  [ ] En partie
  [ ] Rarement
• Degré d’expression de mes talents (1 à 10) : ………

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4. Résonance Écosystémique

Là où ce que je fais est reconnu, attendu, valorisé dans mon écosystème.

• Ai-je reçu des retours positifs sur ce que j’apporte ? De qui ?
  •
  •
• Ai-je le sentiment que mes actions ont un impact utile et visible ?
  [ ] Oui
  [ ] Pas toujours
  [ ] Non
• Niveau de résonance perçue (1 à 10) : ………

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Synthèse personnelle

• Qu’est-ce qui a évolué dans mon Ikigai par rapport à il y a 6 mois ?
  •
  •
  •
• Qu’est-ce que je souhaite ajuster, relancer ou faire évoluer pour les mois à venir ?
  •
  •
  •

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Partage en équipe (facultatif mais recommandé)

• Un point que je choisis de partager avec l’équipe : …………………………………..
• Une question que je me pose : ………………………………………………………..

Prenez contact, ou appelez-moi au 0671849706,

FAQ – L’Ikigai revisité au service des équipes

Découvrez comment l’Ikigai collectif dynamise l’engagement, la coopération et la performance au sein des organisations.

• Qu’est-ce que l’Ikigai classique et comment se présente-t-il ?

  L’Ikigai classique est un concept japonais qui incarne la raison d’être et ce qui motive à se lever chaque matin. Il est généralement représenté par un diagramme de Venn à 4 cercles croisant : Ce que j’aime, Ce en quoi je suis doué, Ce dont le monde a besoin et Ce pour quoi je peux être payé. L’intersection centrale de ces cercles révèle l’Ikigai, point d’équilibre entre plaisir, utilité, compétence et viabilité économique.

• Comment l’Ikigai a-t-il été adapté pour le coaching d’équipe ?

  Le modèle Ikigai a été revisité en collectif autour de 4 cercles spécifiques : Réussite, Plaisir, Talent Naturel, Résonance Écosystémique. Cet outil de coaching d’équipe favorise l’alignement, la clarification des rôles et redynamise les missions en mettant en lumière les complémentarités et les aspirations partagées.

• Quels sont les bénéfices majeurs d’un atelier Ikigai collectif pour une équipe ?

  • Clarification des forces collectives et motivation des membres.
  • Réajustement des rôles pour une meilleure efficacité et un engagement durable.
  • Diagnostic des zones d’usure ou de désalignement pour prévenir la démotivation.
  • Construction ou reformulation d’une mission d’équipe inspirante et alignée sur les valeurs du groupe.
  • Suivi régulier de l’engagement et adaptation proactive à l’évolution de l’équipe.

• Comment fonctionne un atelier Ikigai revisité pour une équipe ?

  1. Exploration individuelle : chaque membre cartographie ses propres cercles, en introspection.
  2. Partage et écoute : les membres échangent leurs perceptions et ressentis dans un cadre sécurisé.
  3. Synthèse collective : l’équipe identifie les complémentarités, motifs communs et potentiels collectifs.
  4. Plan d’action : co-construction d’actions concrètes alignant aspirations individuelles et objectifs communs.

• Quels signaux révèlent une perte de sens ou de motivation collective dans une équipe ?

  Des facteurs comme un faible score de Plaisir ou de Résonance Écosystémique au sein de l’Ikigai collectif signalent un risque d’usure ou de déconnexion. Études à l’appui, un déficit de reconnaissance peut entraîner une chute notable de la productivité. L’outil Ikigai aide à détecter précocement ces signaux pour y répondre concrètement.

• En quoi l’Ikigai collectif peut-il prévenir ou gérer les tensions au sein d’une équipe ?

  L’Ikigai collectif facilite l’identification des sources de tensions, souvent liées au déséquilibre entre plaisir, talents et reconnaissance. En recentrant le dialogue sur les quatre cercles, l’équipe peut comprendre les incompatibilités, trouver des solutions – et transformer les conflits en leviers d’amélioration relationnelle.

• L’Ikigai d’équipe favorise-t-il l’innovation et la créativité ?

  Oui. L’intersection collective des quatre cercles permet d’identifier des terrains communs et fertiles pour l’innovation. La diversité des talents, l’envie partagée et la compréhension fine de l’écosystème deviennent ainsi des catalyseurs pour générer des idées créatives et pertinentes.

• Comment suivre dans le temps l’évolution du sens et de la motivation dans une équipe avec l’Ikigai ?

  Il est recommandé de réaliser un Ikigai individuel et collectif tous les 6 mois. Chaque membre s’autoévalue sur chaque cercle et l’équipe visualise ensemble les évolutions. Cette démarche favorise l’adaptation continue, l’identification proactive de signaux faibles et l’ajustement des missions pour maintenir l’engagement.

• Quels sont les avantages d’un accompagnement externe pour un atelier Ikigai collectif ?

  • Un cadre neutre et sécurisant pour libérer l’expression authentique.
  • Une posture de coaching qui transforme le diagnostic en leviers d’engagement durables.
  • Un effet miroir collectif structurant pour révéler les dynamiques invisibles.
  • Un confort de facilitation, libérant l’équipe des enjeux hiérarchiques ou relationnels internes.

• Qu’est-ce que le « mur Ikigai vivant » et à quoi sert-il ?

  Le mur Ikigai vivant consiste à matérialiser les quatre cercles sur un grand tableau mural ou au sol, chaque membre y positionnant ses post-its. Cette spatialisation concrète favorise le dialogue collectif, la visualisation des liens et des écarts, et rend l’Ikigai un outil évolutif et interactif au fil du temps.

• Un exemple concret d’impact : quels résultats mesurables après un atelier Ikigai collectif ?

  • Augmentation forte de l’engagement d’équipe (+22% dans un baromètre RH selon un cas réel).
  • Meilleure coopération entre services ou régions.
  • Plus grande fierté et sentiment d’utilité retrouvés chez les membres.
  • Redéfinition d’une mission collective alignée sur les valeurs et les talents.

• Comment enrichir la dimension de feedback avec l’Ikigai collectif ?

  En intégrant les feedbacks 360° dans le cercle Résonance Écosystémique, chaque membre capitalise sur le regard des autres pour identifier ses talents parfois invisibles et élargir sa conscience de son propre impact. Cet exercice nourrit la reconnaissance mutuelle et renforce la connexion entre membres.

• Pour quel type d’équipes et sous quel format peut-on organiser un atelier Ikigai revisité ?

  L’atelier Ikigai revisité s’adresse à tous types d’équipes : projets, CODIR, équipes support, RH, IT, etc. Il existe en format présentiel ou distanciel, sur des durées adaptées (2 heures à 2 jours, voire en accompagnement multi-séances).

• Comment mesurer et garder trace des évolutions collectives grâce à l’Ikigai ?

  Un journal d’Évolution Ikigai accompagne la démarche : il permet à chaque membre de consigner ses réussites, plaisirs, talents naturels et niveau de résonance, de mesurer sa progression et de partager, au besoin, ses enjeux avec l’équipe lors de temps de relecture collectifs.

• Comment organiser un atelier Ikigai sur-mesure pour mon équipe ?

  Pour co-construire un atelier Ikigai adapté à vos enjeux, il suffit de prendre contact ou d’appeler le 0671849706. Le format est modulable selon le contexte, la taille et les objectifs de votre équipe.