Il arrive souvent qu’entre un client et son coach divers transferts aient lieu à leur insu, telles des dynamiques inconscientes qui se rejouent et influencent à la fois la relation et l’accompagnement.

Ces phénomènes, bien que subtils, peuvent avoir un impact significatif sur la qualité du travail et la progression du client.

Dans cet article, nous allons explorer ces mécanismes en mettant en parallèle deux séances distinctes : une séance de coaching avec le client, puis la séance du coach avec son superviseur.

Nous verrons comment des échos se manifestent entre ces deux espaces, les déductions que le coach pourra en faire pour préparer sa prochaine séance avec son client, et les bénéfices profonds d’une supervision systémique.

La Séance de Coaching : Un Océan de Complexité et d’Ennui

La salle de coaching est baignée d’une lumière douce, mais l’atmosphère est lourde, presque palpable. Le coach, malgré son engagement professionnel, ressent une fatigue inhabituelle s’installer dès les premières minutes. Son client, le Secrétaire général d’un syndicat professionnel majeur, est en train d’exposer sa problématique : les jeux politiques labyrinthiques au sein de l’assemblée générale de son organisation.

Le client parle, longuement, avec une lenteur exaspérante. Son phrasé est hésitant, émaillé de répétitions. Il se reprend, reformule la même idée sous des angles légèrement différents, comme s’il cherchait à se donner de l’élan et de la confiance à travers cette élaboration itérative. « Vous voyez, c’est comme je vous disais la dernière fois, ce dossier sur le ‘Réglement Intérieur des Instances’ – le RII, vous suivez ? – eh bien, il est lié au ‘Plan Stratégique de Développement’ – le PSD, bien sûr – et là, la difficulté, c’est que le ‘Comité Exécutif’ – le ComEx – a une vision qui diverge du ‘Conseil d’Administration’ – le CA. Et donc, quand on parle de la ‘Commission des Affaires Sociales’ – la CAS – il faut comprendre que le ‘Bureau Fédéral’ – le BF – a déjà posé des jalons, mais le ‘Groupe de Travail Ad Hoc’ – le GTAH – n’a pas encore validé l’approche des ‘Partenaires Sociaux’ – les PS. Vous voyez ce que je veux dire, n’est-ce pas ? »

Le coach hoche la tête, un sourire forcé aux lèvres. Intérieurement, il se débat. Les acronymes s’enchaînent, formant une soupe indigeste. RII, PSD, ComEx, CA, CAS, BF, GTAH, PS… Chaque sigle est un mur, chaque phrase inachevée suivie d’un « vous voyez ce que je veux dire… » est une invitation à une complicité qu’il ne peut pas honorer, faute de comprendre le contexte. Il se sent piégé dans un dédale de références internes, de sous-entendus politiques et de non-dits qui lui échappent totalement.

L’ennui s’insinue, pernicieux. Non pas l’ennui du sujet en soi, mais l’ennui de la forme, de cette incapacité à saisir le fil, à se connecter à la substance. Il se rend compte qu’il perd son écoute fréquemment. Son esprit vagabonde, il pense à la liste de courses, au rendez-vous de l’après-midi, à la météo. Puis, il se reprend, se force à revenir, à capter un mot clé, une intonation. Mais c’est un effort colossal.

L’impatience monte, une irritation sourde. « Pourrait-il aller droit au but ? Pourrait-il simplifier ? Pourrait-il me parler comme à quelqu’un qui n’est pas immergé dans son monde ? » Ces pensées traversent son esprit, rapides comme des éclairs, aussitôt réprimées. Le coach sait que son rôle est d’être présent, d’accueillir, de ne pas juger. Mais la réalité de son vécu interne est tout autre. Il gère son embarras de ne pas comprendre, sa frustration de ne pas pouvoir être pleinement utile, son agacement face à cette lenteur et cette complexité auto-entretenue.

Il tente de poser des questions de clarification : « Quand vous dites ‘le ComEx a une vision divergente’, quelle est la nature de cette divergence ? Est-ce sur le fond, la forme, le timing ? » Le client répond en plongeant encore plus profondément dans les méandres de son univers, ajoutant de nouvelles couches de complexité, de nouvelles anecdotes, de nouvelles références à des personnages dont le coach ignore l’existence. Le coach se sent aspiré dans un vortex de détails, sans point d’ancrage.

Chaque séance est une épreuve. Il en ressort saturé, la tête pleine d’informations non digérées, d’acronymes sans signification, et d’une sensation d’épuisement mental. La qualité de son accompagnement, il le sait, est impactée. Il ne parvient pas à poser les questions percutantes, à identifier les leviers, à aider son client à prendre du recul. Il se sent impuissant, et cette impuissance nourrit son propre désintérêt. Il sait qu’il doit en parler, mais à qui ?

La Séance de Supervision : Un Écho Révélateur

Le coach arrive à sa séance de supervision, le pas lourd, l’esprit encore embrumé par la séance précédente. Il s’installe face à son superviseur, un professionnel expérimenté doté d’une écoute fine et d’une capacité à percevoir les dynamiques sous-jacentes.

« J’ai eu une séance particulièrement difficile cette semaine, » commence le coach, et il se lance dans le récit. Il explique la problématique de son client, le Secrétaire général, et les enjeux politiques. Mais très vite, sans s’en rendre compte, il commence à rejouer la même dynamique qui l’a épuisé avec son client.

« Donc, le client parle du RII, vous savez, le Réglement Intérieur des Instances, qui est lié au PSD, le Plan Stratégique de Développement. Et là, le ComEx, c’est-à-dire le Comité Exécutif, a une position qui n’est pas alignée avec le CA, le Conseil d’Administration. Et donc, la CAS, la Commission des Affaires Sociales… vous voyez ce que je veux dire, n’est-ce pas ? »

Le superviseur écoute attentivement. Il ne l’interrompt pas. Il observe le coach s’enfoncer dans ses explications, utiliser les mêmes acronymes sans les définir, faire les mêmes pauses, les mêmes appels à la complicité. Il perçoit la même lenteur dans le phrasé, la même tendance à se répéter pour structurer sa pensée. Il voit le coach s’épuiser à expliquer un contexte qu’il a lui-même eu du mal à comprendre.

Après un long moment, le superviseur intervient, d’une voix calme et posée : « Je vous écoute, et je perçois une certaine… densité dans votre récit. Je me demande si, par moments, je ne ressens pas une légère difficulté à suivre tous les fils, tous les acronymes. Est-ce que cela résonne avec ce que vous avez pu vivre avec votre client ? »

Le coach marque une pause, surpris. Il n’avait pas réalisé qu’il était en train de reproduire le schéma. Un éclair de lucidité traverse son esprit. « Oui ! Exactement ! C’est exactement ça ! Je me sens perdu, je ne comprends rien, et je me sens… ennuyé, je dois l’avouer. C’est terrible à dire, mais je m’ennuie en séance avec lui. Et je perds le fil, je ne sais plus où je suis. »

Le superviseur hoche la tête. « Et quand vous ressentez cet ennui, cette perte de fil, que se passe-t-il en vous ? Quelles sont les sensations, les pensées qui émergent ? »

Le coach décrit son impatience, son agacement, la sensation de lourdeur, la fatigue post-séance. Le superviseur l’aide à nommer ces émotions, à les accueillir sans jugement. « Et si ces émotions, cette sensation d’être perdu, d’être submergé par la complexité, n’étaient pas seulement les vôtres, mais aussi un écho de ce que votre client lui-même ressent dans son environnement ? Et si sa façon de parler, de se répéter, de vous noyer sous les détails, était sa propre manière de gérer cette complexité, cette incertitude, ce besoin de se rassurer ou de se sentir compris dans un monde qu’il trouve lui-même difficile à naviguer ? »

Le superviseur explore ensuite la demande d’accompagnement du client, non pas telle qu’elle a été exprimée, mais telle qu’elle pourrait être en profondeur. « Jusqu’où va sa demande ? Est-ce qu’il cherche vraiment des solutions concrètes à ces jeux politiques, ou est-ce qu’il cherche avant tout un espace où il peut déposer cette charge, où il peut se sentir entendu dans sa complexité, même si l’autre ne comprend pas tous les détails ? »

Le superviseur modélise alors comment il pourrait faire avec son coaché. « Si vous percevez qu’il est en train de vous noyer, comment pourriez-vous l’aider à remonter à la surface ? Non pas en le coupant, mais en l’invitant à la synthèse, à l’essentiel. Par exemple, ‘Si je devais résumer ce que vous venez de dire en une phrase, quelle serait cette phrase ?’ Ou ‘Qu’est-ce qui est le plus important pour vous que je retienne de tout cela ?’ Ou encore, ‘Quelle émotion principale se dégage de cette situation pour vous ?' »

La séance de supervision devient un miroir, un espace où le coach peut observer ses propres réactions, non pas comme des faiblesses, mais comme des indicateurs précieux des dynamiques en jeu.

Analyse des Échos Systémiques et Bénéfices de la Supervision

La séance de supervision a mis en lumière des échos systémiques profonds. Le coach, en se sentant ennuyé, submergé par la complexité et la lenteur, n’était pas simplement confronté à ses propres limites de patience ou de compréhension. Il était, sans le savoir, en résonance avec le système de son client. Le client, Secrétaire général d’un syndicat professionnel, évolue dans un environnement intrinsèquement complexe, lent, répétitif (les processus syndicaux, les négociations, les assemblées générales sont souvent des marathons de répétitions et de détails). Son phrasé, ses itérations, son besoin d’expliquer le contexte sont des manifestations de la manière dont il navigue lui-même dans ce système.

Les acronymes et les sous-entendus sont la langue de ce système. En les utilisant avec son coach, le client ne cherche pas nécessairement à l’exclure, mais plutôt à le faire entrer dans son monde, à le tester, ou peut-être même à se rassurer en se disant que quelqu’un pourrait enfin « comprendre » l’ampleur de sa tâche. Le désintérêt et l’ennui du coach sont alors un reflet de l’épuisement que le client lui-même peut ressentir face à cette complexité qu’il est obligé de gérer au quotidien. L’impatience du coach est un écho de l’impatience que le client pourrait avoir vis-à-vis de la lenteur des processus internes.

Les « tours de main » de la supervision systémique sont ici essentiels :

  1. L’Écoute en Profondeur et la Résonance Corporelle : Le superviseur n’écoute pas seulement les mots du coach, mais aussi sa manière de les dire, son énergie, ses émotions. Il perçoit la résonance de la dynamique client-coach dans la narration du coach. En ressentant lui-même une forme de « densité » ou de « difficulté à suivre », il utilise sa propre expérience comme un diagnostic.
  2. La Mise en Lumière du Transfert et du Contre-transfert : Le superviseur aide le coach à identifier ses propres réactions émotionnelles (ennui, agacement, fatigue) comme des indicateurs de ce qui se joue dans la relation. Ces réactions ne sont pas des « défauts » du coach, mais des informations précieuses sur le système du client et sur la dynamique relationnelle.
  3. L’Exploration de la Demande Cachée : Au-delà de la problématique explicite, le superviseur invite le coach à se questionner sur la demande implicite du client. Est-ce un besoin de validation ? Un besoin d’être entendu sans être jugé ? Un besoin d’un espace de décharge ?
  4. La Modélisation des Interventions : Plutôt que de donner des conseils directs, le superviseur modélise des approches. En invitant le coach à la synthèse de son propre récit, il lui montre comment il pourrait faire avec son client. Il propose des reformulations, des questions ouvertes qui invitent à la clarification et à la prise de recul.
  5. Le Recadrage et la Normalisation : Le superviseur normalise les émotions du coach, lui faisant comprendre qu’il est « normal » de ressentir de l’ennui ou de l’agacement face à une telle complexité. Cela déculpabilise le coach et lui permet d’utiliser ces émotions comme des outils plutôt que de les refouler.

Les bénéfices de cette supervision sont multiples et profonds :

La supervision systémique est bien plus qu’un simple débriefing de séance. C’est un espace de co-construction, de révélation des dynamiques invisibles, et de développement professionnel continu. Elle permet au coach de transformer ses défis en opportunités d’apprentissage, au bénéfice de sa propre pratique et, in fine, de ses clients.

Contactez-moi dès aujourd’hui pour découvrir comment la supervision systémique peut transformer votre pratique et enrichir votre accompagnement de vos clients. Si vous ressentez le besoin d’un espace pour déposer, clarifier ou approfondir ce qui se joue dans vos séances de coaching, la supervision systémique est certainement un atout précieux pour vous. Appelez-moi directement au 06.71.84.97.06 Consultez nos tarifs de supervision

A Retenir

Supervision Systémique pour Coach
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Clés pour les coachs

Le coach ressent ennui, agacement, fatigue cognitive et saturation face à un client dont :

Enjeux pour le coach

  1. Maintenir un cadre professionnel malgré son désintérêt
  2. Gérer ses états internes pour ne pas les projeter
  3. Clarifier s’il est en capacité réelle d’accompagner ce client

Étapes à envisager

1. Passer par la supervision
Explorer ce que l’agacement révèle. Travailler ce qui est projection personnelle (besoin de clarté, intolérance à la lenteur) et ce qui est limite professionnelle. Identifier les dynamiques systémiques (par exemple : confusion du client = reflet du système qu’il décrit).

2. Clarifier le cadre avec le client
Dire ce qui échappe, poser la nécessité de construire un langage commun. Exemples d’interventions :

3. Travailler en méta-position
Abandonner l’idée de tout comprendre. Observer comment le client parle, se perd, tourne en boucle. Faire de cette manière d’être le cœur du travail. Exemples :

4. Envisager une clôture ou un relais éthique
Si la relation reste pénible et improductive malgré ces tentatives, il est professionnel d’ouvrir une discussion sur la pertinence de poursuivre. Propositions possibles :

Synthèse finale

Symptômes fréquents : ennui, fatigue, incompréhension, agacement
Risques : perte d’écoute, projection, dégradation de la posture
Leviers : supervision, clarification du cadre, posture méta, sortie responsable

Supervision systémique : mieux comprendre les dynamiques coach-coaché

FAQ dédiée à l'exploration des transferts, échos émotionnels et bénéfices de la supervision en coaching professionnel.

  • Pourquoi ressens-je parfois de l’ennui ou de la lassitude lors de certaines séances de coaching ?

    Il est fréquent de ressentir de l’ennui, de la fatigue ou même de l’agacement face à un client dont le discours est complexe, lent, truffé d’acronymes et manquant de clarté. Ces émotions ne reflètent pas forcément un manque de professionnalisme : elles sont souvent l’écho du système dans lequel le client évolue et peuvent révéler des dynamiques sous-jacentes importantes à accueillir et à explorer.

  • Comment savoir si mes réactions viennent de moi ou si elles sont liées à la problématique du client ?

    Distinguer ce qui vous appartient de ce qui relève de la dynamique du client passe par un travail réflexif, souvent facilité par la supervision. Observer vos réactions corporelles et émotionnelles, questionner la résonance avec le vécu du client et en discuter avec un superviseur permet de mieux comprendre ces échos et d’éviter les projections.

  • Qu’est-ce qu’un transfert ou un écho systémique en coaching ?

    Le transfert désigne l’ensemble des émotions ou attentes inconscientes que le client projette sur le coach. L’écho systémique, plus large, englobe la manière dont le coach expérimente dans la relation certaines sensations que le client vit dans son propre environnement. Cela peut se manifester par de la confusion, de la lassitude ou de la saturation chez le coach lors des échanges.

  • En quoi la supervision systémique aide-t-elle face à ces situations ?

    • Prenez du recul sur vos ressentis et différenciez projection personnelle et informations précieuses sur le client.
    • Identifiez les dynamiques inconscientes qui se rejouent entre vous et votre client.
    • Recevez des pistes concrètes d’intervention (questions de méta-position, clarification de cadre, etc.).
    • Acquérez de nouveaux « tours de main » pour gérer des cas complexes sans épuisement.
  • Que faire quand le discours du client est trop complexe ou envahi de jargon ?

    • Clarifiez le cadre : N’hésitez pas à formuler vos difficultés (« Certains acronymes m’échappent, aidons-nous à trouver un langage commun »).
    • Invitez à la synthèse : Demandez au client de résumer en une phrase ou de cibler l’essentiel.
    • Travaillez sur la dynamique de communication : Observez et partagez vos ressentis pour aider le client à prendre du recul sur ses propres habitudes d’expression.
  • Comment intervenir auprès d’un client qui se perd dans les détails ou tourne en boucle ?

    Adoptez une posture de méta-position : observez et verbalisez ce que vous remarquez dans la conversation (par exemple : « Plus vous expliquez, plus cela semble confus. Vivez-vous la même chose dans votre environnement professionnel ? »). Cela permet de recentrer le travail sur « comment » le client s’exprime plutôt que sur le contenu technique.

  • Quels sont les bénéfices concrets de la supervision systémique pour le coach ?

    • Augmentation de la conscience de soi et de sa posture professionnelle
    • Développement de stratégies pour mieux accompagner les clients « difficiles »
    • Meilleure gestion émotionnelle, réduction de la fatigue et de la saturation
    • Capacité renforcée à maintenir un accompagnement éthique même en cas de difficulté relationnelle
  • Que faire si, malgré tout, la relation de coaching reste pénible et improductive ?

    Si la supervision et la clarification du cadre n’apportent pas d’amélioration, il est professionnel et éthique d’envisager une clôture ou un relais. Proposez au client d’échanger sur la pertinence de poursuivre et orientez-le, si besoin, vers un autre coach mieux aligné avec ses enjeux.

  • Comment transformer mes difficultés en séance en leviers pour progresser ?

    Utilisez vos ressentis comme des indicateurs, non comme des faiblesses. En les accueillant en supervision, vous développez des compétences précieuses pour accompagner la complexité, trouver de nouvelles formes d’intervention et enrichir la relation avec vos clients.

  • Pourquoi la supervision systémique est-elle essentielle pour les coachs accompagnant des environnements complexes ?

    La supervision systémique agit comme un miroir qui révèle les dynamiques invisibles à l’œuvre dans la relation coach-coaché. Elle permet d’éviter l’épuisement, d’améliorer l’empathie, d’acquérir des outils concrets et de garantir un accompagnement éthique et efficace, même avec des interlocuteurs complexes ou des systèmes très techniques.

  • Comment prendre rendez-vous pour une supervision systémique ?

    Contactez directement Paul Devaux au 06.71.84.97.06 pour échanger sur vos besoins ou consultez la page tarifs de supervision pour en savoir plus.

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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